FLASH INFO
...............................................................................................................................................................
SOS
HOMOPHOBIE,
Association
nationale
de lutte
contre
les
discriminations
homophobes,
se
réunit à
20h le
3ème
jeudi de
chaque
mois à
La
Princière
23 place
des
Corps
Saints à
AVIGNON
(84)
Présentation
des
activités
de
l'association,
informations,
rencontres,
débats,
convivialités.
Venez
nous
rencontrer
!
Infos:
06 19 20
24 85
PACA :
www.sos-homophobie.org/search/node/paca
Grygiel
"Make It
Out "
En plus
d'être
chanteuse,
Grygiel
est
aussi
activiste
LGBT. Du
coup,
dans son
dernier
clip,
elle
mets en
scène
trois
jeunes
homos
lycéens
et
apporte
sa
pierre à
l'édifice
du
mouvement
«It Gets
Better».>>
HOMOPHOBIA
.............................................................................................................................................................................
retour
ANGLETERRE
: Une
ProfesseurE
de musique
Lesbienne
«hautement
recommandée»
Source
pinknews.co.uk
12/07/2012
Mme
Barnes
(photo)
est un
professeur
de musique
dans le nord
de Londres
Lesbiennes
professeur
de musique
Elly Barnes
a été
«hautement
recommandée»
à la
cérémonie
annuelle de
remise des
prix tenue
par le Times
Educational
Supplement
pour son
travail de
promotion
des
questions
LGBT dans
les écoles.
La Mention
élogieuse a
été dans la
catégorie
des
«enseignants
Inspiré de
l'année"
et est en
reconnaissance
de son
engagement
en faveur de
l'éducation
des élèves
et du
personnel
sur les
questions
LGBT pour
éliminer
l'homophobie
dans son
école à
Stoke
Newington,
au nord de
Londres.
Les
stratégies
se sont
révélées
tellement à
succès que
Mme Barnes
partage
désormais
les bonnes
pratiques
avec
d'autres
enseignants
à travers le
pays par son
professeur
du programme
de formation
«Éduquer et
célébrer -
Comment
faire de une
école LGBT
friendly
'.Elle est
la
représentante
nationale
des écoles
pour
SchoolsOUT,
une
organisation
qui milite
pour faire
des écoles
des lieux
sûrs pour le
personnel et
les
étudiants à
être dehors
et fiers.
Mme Barnes a
déclaré:
«Dans le
climat
actuel dans
les écoles,
il est
passionnant
de savoir
que les
égalités
sont
reconnus par
l'enseignement
professionnels...
et il est
important de
montrer
qu'il existe
des
stratégies
efficaces
que les
écoles
peuvent
utiliser
pour lutter
contre
l'homophobie.
Les
statistiques
montrent que
les
établissementsqui
mettent
œuvre un
programme
LGBT-friendly
constatent
que
l'intimidation
homophobe
est
considérablement
réduite.
SchoolsOUT
ont commandé
des plans de
leçon et des
ressources,
qui peuvent
être trouvés
sur le site
Internet en
classe Les plans
de leçon
sont
également
disponibles
par le biais
des
ressources
et du réseau
TES
Education
Guardian.
SchoolsOUT
dit qu'ils
vif succès
auprès des
enseignants
à travers le
monde.
SchoolsOUT
médias et
professeur
de
mathématiques
Sue Caldwell
a déclaré:
«Des
rapports
récents ont
montré les
conséquences
désastreuses
qui peuvent
en découler
lorsque les
écoles
ignorer ces
questions,
et nous
espérons que
les écoles
de profiter
des
possibilités
de formation
et
d'utiliser
les
ressources
appropriées.
-"Vous
avez raison
de ne
m'attends
pas à ce
qu'école de
nos jours
utilise
uniquement
des
ressources
pour les
gens blancs
et qui
ignorerait
les groupes
minoritaires;.
Aussi il ne
devrait pas
être
acceptable
pour les
écoles
d'ignorer
les
personnes
LGBT et
leurs
familles"
Source et
article
complet en
VO /www.pinknews.co.uk/2012/07/12/lesbian-music-teacher-highly-commended-in-national-teaching-awards/
COMING
OUT : Le
soutien
des
parents
est
crucial
pour sa
santé
Cette
étude de
l'Université
de
Boston
School
of
Public
Health (BUSPH)
montre
que les
deux
tiers
des
lesbiennes
et des
adultes
gays ou
bisexuels
ont reçu
un
soutien
positif
de leurs
parents
après
s’être
déclarés.
Ce
soutien
des
parents
révèle,
dans la
dernière
édition
du
Journal
of
Homosexuality,
d’importantes
implications
bénéfiques
pour la
santé de
leurs
enfants,
avec, en
particulier
une
incidence
réduite
de
troubles
psychologiques,
d’usage
de
drogue
ou
autres
comportements
à
risque. La
chercheuse
Emily
Rothman
(photo),
professeur
agrégé
de
sciences
de la
santé
communautaire
à la
BUSPH
explique,
que
selon
son
étude,
menée
dans le
Massachusetts,
les
trois
quarts
des
personnes
lesbiennes,
gays et
bisexuelles
ont fait
leur «
coming
out »
auprès
de leurs
parents
et
généralement
aux
alentours
de l’âge
de 25
ans.
Emily
Rothman
et ses
collègues
ont
interrogé
5.658
adultes
âgés de
18 à 64
ans et
pris en
compte,
leur
coming
out (ou
non),
leurs
relations
avec
leurs
parents,
l'âge,
la race,
le
niveau
d’éducation…La
réponse
des
parents,
à ce
coming
out
conduit
à des
résultats
différents
de
santé,
selon
les
chercheurs.
Les
hommes
gays et
bisexuels
en
contradiction
avec
leurs
parents
ou non «
soutenus
», ont
un
risque
de 6 à 7
fois
plus
important
de
dépression
grave et
d’ivresses,
alors
que les
femmes
lesbiennes
et
bisexuelles
ont un
risque
multiplié
par 5 de
développer
une
grave
dépression
et
multiplié
par 11
de
consommer
de la
drogue..."
Source
www.santelog.com/news/sante-de-l-enfant/homosexualite-soutenir-son-enfant-dans-son-coming-out-est-crucial-pour-sa-sante_8054_lirelasuite.htm#lirelasuite
Journal
of
Homosexuality
Volume
59,
Issue 2,
2012 DOI:10.1080/00918369.2012.648878
États-Unis:
Deux
lesbiennes
élues reines
de leur
lycée
Source
tetu.com
04/11/2011
En
Californie
le week-end
dernier, au
lycée
Patrick
Henry, à San
Diego en
Californie,
un couple de
filles a été
couronné
«King and
Queen» des
fêtes de
rentrée.
Mais le
lycée des
deux ados
n'a par la
suite pas
échappé aux
mails et
coups de fil
haineux...
(...) Il
y a une
semaine,
Rebeca
Arellano et
Haileigh
Adams
(photo) ont
remporté le
titre de
"Roi" et
Reine des
festivités
de rentrée
de leur
établissement.
Et tout ça
sous les
applaudissement
enthousiastes
de leur
camarades de
classe!
Comme le
veut la
tradition
américaine,
le couple
lesbien...
présidait
donc les
festivités.
Un privilège
qui est
habituellement
réservé aux
amoureux
hétéros:
bals de
promo et
autres fêtes
du lycée,
très
courantes
chez les
Anglo-Saxons,
posent en
effet
souvent
problème aux
LGBT. Cette
fois,
l'ensemble
des élèves
et
professeurs
de
l'établissement
avaient bien
accueilli le
couronnement
des
adolescentes,
qui ont pu
savourer
leur soirée.
(...).
"Vivement
le jour où
tous les
étudiants
pourront se
rendre à
l'école en
étant
débarrassés
du
harcèlement
et des
intimidations..."
Article
complet +
www.tetu.com/actualites/international/tats-unis-deux-lesbiennes-elues-reines-de-leur-lycee-20446
Jeunes
homos
exclus:
Le
Refuge
déclaré
d'utilité
publique
Source tetu.com 19/08/2011
C'est une belle reconnaissance pour cette association qui héberge des jeunes homosexuels majeurs, lorsqu'ils sont rejetés par leur famille. Campagne d'affichage 2011 du Refuge «Nous sommes la première association de lutte contre l'homophobie à être déclarée d'utilité publique, c'est une reconnaissance de notre action face au problème sociétal de ces jeunes en détresse», a déclaré à l'AFP le président du Refuge, Nicolas Noguier.Cette association qui accueille des jeunes homosexuels majeurs des deux sexes rejetés par leur famille est reconnue d'utilité publique, selon un décret du 16 août publié jeudi au Journal officiel. A Montpellier, Paris, Lyon, Marseille… Créée en 2003 à Montpellier, l'association est la seule structure en France conventionnée par l'Etat à proposer un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical et psychologique aux jeunes majeurs, filles et garçons, victimes d'homophobie. Depuis 2005, elle affirme avoir accueilli environ 300 jeunes homosexuels dans ses structures à Montpellier, Paris, Lyon et Marseille.
Elle est en train de créer des antennes à Toulouse, Lille et à Saint-Denis-de-la-Réunion.
Avec cette reconnaissance d'utilité publique, l'association, qui dispose d'un budget annuel de 200.000 euros, est «désormais habilitée à recevoir des donations et des legs en plus des dons manuels», indique Le Refuge dans un communiqué. Treize fois plus de risques de suicide Le rejet lié à la sexualité, la rupture, le doute, peuvent avoir des conséquences dramatiques pour ces jeunes en détresse: isolement, solitude, pratiques à risque, prostitution, voire tentative de suicide.
Selon une étude réalisée par le Dr Marc Shelly (hôpital Fernand-Widal à Paris), «les jeunes gays ou bisexuels ont treize fois plus de risque de faire une tentative de suicide que les hétérosexuels de même âge et de même condition sociale».
Site internet de l'association "Le Refuge"
(Montpellier)
-www.le-refuge.org
:- 06 31 59 69 50
Mais qu'est-ce que "Le Refuge" ? (Association nationale) C'est un havre de paix - de répit - et de prévention des risques pour jeunes victimes d'homophobie.
Le Refuge est la seule structure en France, conventionnée par l'Etat, à proposer un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical et psychologique aux jeunes majeurs, filles et garçons, victimes d'homophobie...
La structure offre un accompagnement d'un mois renouvelable, éventuellement un hébergement temporaire au sein de ses appartements-relais, ce qui permet au jeune de se reconstruire. Il décide lui-même s'il souhaite retourner dans sa famille - la structure engage alors un travail de médiation familiale - ou faire une rupture totale. Le travail du psychologue consiste alors à l'armer pour ce deuil.
Grace à un travail en réseau et au soutien de ses partenaires, l'association est en mesure de proposer, au-delà de l'hébergement temporaire, des accompagnements individualisés coordonnés par une assistante sociale et incluant : l'aide alimentaire, le soutien psychologique et de nombreuses actions de prévention. Il faut en effet savoir que certains jeunes homosexuel(le)s sont purement et simplement rejeté(e)s par leur famille quand celle-ci apprend leur homosexualité !
Lire à ce sujet l'ouvrage "décapant" qu'a publié Jean-Marie Périer, "Casse-toi !" (Oh! Editions); il est édifiant et... terrifiant !
+
L'association Le
Refuge agréée par
l'Agence nationale du Service Civique
Une
Étude du Massachusetts trouve une
tendance alarmante à l'itinérance
chez les jeunes LGBTQ
Source
lgbtnation.com 23/07/2011
CAMBRIDGE, Massachusetts - Dans une
étude réalisée par la Division de
médecine adolescents et jeunes
adultes à l'Hôpital pour enfants de
Boston, les chercheurs ont trouvé
que 25% des gays et
lesbiennes du public des élèves du
secondaire dans le Massachusetts
étaient sans abri.
L'étude, publiée en ligne jeudi, a
également constaté que 15% des
bisexuels et 3%des hétérosexuels du
Massachusetts publics lycéens
étaient sans abri. L'auteur de
l'étude, le Dr Heather Corliss
(photo) , a noté que de minorités
sexuelles garçons et filles auraient
eu une probabilité de 4 à 13
fois plus de chance de se retrouver
sans-abri cque leurs pairs
hétérosexuels. L'étude, publiée par l'American
Journal of Public Health, définit
l'itinérance comme n'ayant pas de
lieu fixe régulièrement où dormir
avec des soins adéquats et la
séparation du parent / famille ou
les tuteurs des unités liées à la
discrimination fondée sur l'identité
de genre ou l'orientation sexuelle.
Le rapport conclut que
l'itinérance globale des jeunes est
lié à de nombreuses menaces comme la
violence, la consommation de
substances /abus, et les questions
de santé mentale. Dans une interview
vendredi après-midi, le Dr Corliss a
déclaré à Nation LGBTQ que la
principale préoccupation des
professionnels des soins de santé du
Massachusetts était que la
discrimination et la victimisation
liée à l'orientation sexuelle ou
identité de genre semblent suivre un
modèle, que diverses études ont
documenté -montrant sont beaucoup
plus élevés risques basée sur la
maltraitance familiale entre les
individus LGBT par rapport à ceux
subis par les jeunes
hétérosexuels...."
Suite
de l'article complet en VO
www.lgbtqnation.com/2011/07/massachusetts-study-finds-alarming-trend-in-homelessness-among-lgbtq-youth/
............................................................................................................................................................................. .
retour
Proposition d'un Master en études de Genre en Belgique Sophia asbl (Réseau belge de coordination des études féministes) réalise pour l’Institut pour l’Egalité des Femmes et des Hommes une étude de faisabilité pour la création d’un master inter-universitaire en études de genre. Vous trouverez des explications sur le projet, ses motivations, ses objectifs, son déroulement
et le rapport final www.sophia.be/app/index.php/fr/pages/view/15Contactez-nous pour toute question àinfo@sophia.be
Faculté des sciences sociales et politiques Centre en études genre LIEGE www.unil.ch/liege
L'Association
RIMBAUD
à
LYON
comme
l'association
E
REFUGE,
offre
un
Accueil
d’Urgence
avec
hébergement
des
jeunes
garçons
ou
filles
de
15 à
25
ans
en
situation
de
rupture
familiale
et/ou
en
difficulté
d’adaptation
sociale
du
fait
de
la
découverte
de
leurs
attirances
sentimentale
et
sexuelle
pour
une
personne
de
même
sexe."...
www.association-rimbaud.org
-
Contact
:
contact@association-rimbaud.org
Campagne La lutte contre l'homophobie s'affiche dans les grandes écoles SourceE-llico.com 15/02/2011
Le Collectif des Associations Etudiantes LGBT d'Ile-de-France a lancé sa campagne annuelle de lutte contre l’homophobie à l’occasion de la Saint-Valentin.
Le Collectif des Associations Etudiantes LGBT d'Ile-de-France (Caélif) est reparti en campagne contre l'homophobie à l'occasion de la Saint-Valentin avec une série d'affiches barrées du slogan "Quand notre cœur fait boum!" destinées à lutter contre les préjugés homophobes en milieu étudiant.
"Fautes de modèles positifs, les jeunes homo- et bisexuels ont souvent des difficultés à s’accepter, ce qui peut parfois mener à des conséquences dramatiques", souligne le collectif...."
Za-gay est un site pour les jeunes gays et les jeunes lesbiennes.
Il donne la possibilité de discuter à l'aide d'un T chat, une messagerie et un forum gratuit.
Za-gay propose également des services annexes de videos ainsi qu'une rubrique d'actu gay rédigé par des jeunes gays. www.za-gay.org/actu/
Etude - L'homophobie à l'école causerait des troubles mentaux chez les jeunes LGBT Source E-llico.com 03/02/2011 Les jeunes homosexuels seraient plus susceptibles de souffrir de troubles de santé mentale que les hétérosexuels en raison de la discrimination subie à l’école, selon une étude de l’université canadienne Concordia.
Selon une étude du département de psychologie de l’université canadienne Concordia, le stress et la discrimination vécus par les jeunes LGBT entraîneraient un dérèglement hormonal qui ne serait pas sans lien avec des symptômes accrus de dépression, d’anxiété et de pensées suicidaires.
L’"homophobie internalisée", c’est-à-dire le fait d’éprouver des émotions négatives en raison de son orientation sexuelle, serait liée à une production plus élevée de cortisol, une hormone de stress.
L’étude a également constaté un taux de suicide jusqu’à 14 fois plus élevé chez les élèves LGBT que chez leurs camardes hétérosexuels.Les jeunes LGBT qui ont un bon réseau social et qui bénéficient d’un soutien de leurs parents et amis présentent moins de symptômes de dépression, constate encore l'étude.
Pour la directrice de GRIS-Montréal, un organisme communautaire qui intervient sur l'homosexualité en milieu scolaire, "la spécificité de la discrimination envers les homosexuels est que les jeunes n’ont souvent aucune certitude quant au soutien familial. Un jeune noir victime de racisme n’hésitera probablement pas à en parler à son père. C’est différent pour un jeune homosexuel, car en parler équivaut à un coming-out". >>> voir Homosexuel(le)s & Bisexuel(le)s Célèbres
Envoyé
Spécial
du
Jeudi
06/01/2011
à
REVOIR
:"Adolescents
homosexuels
: la
révélation"
Un
reportage
de
Mathilde
Pasinetti
et
Valérie
Lucas
Source
citegay.fr
"Ils
sont
adolescents
et
homosexuels.
A
l’âge
des
premiers
amours,
ils
découvrent
le
rejet
et
l’angoisse.
Affirmer
aujourd’hui
sa
différence
n’est
pas
chose
facile.
Comment
vivre
son
homosexualité
?
Comment
le
dire
?
Cette
différence
est
très
chère
payée,
parfois
jusqu’à
la
mort.
Léa,
Anthony,
Lysiane,
Franck
ont
vu
leur
vie
bouleversée
par
leur
Coming
Out,
l’instant
qui
signe
la
fin
des
secrets
auprès
de
la
famille
et
des
proches.
Certains
de
ces
enfants
ont
été
jetés
à la
rue
par
leurs
parents.
Aujourd’hui
ces
jeunes
en
ont
assez
de
se
taire,
de
se
cacher…
Nous
sommes
allés
à
leur
rencontre.
Parcours
d’adolescents
qui
veulent
sortir
de
la
clandestinité…
A
visage
découvert." http://envoye-special.france2.fr/index-fr.php?page=reportage&id_rubrique=1886
"It's elementary, talking about gays issues in school "
(C'est élémentaire - Parler de l'homosexualité à l'école) - Debra Chasnoff - Etats-Unis - 1996 - Documentaire - 01h20 - VOSTF
"Premier documentaire à traiter de l'homosexualité expliquée aux enfants dans les écoles publiques américaines, It's elementary suit les interventions des enseignants des classes allant du primaire au lycée. Tourné en 1996, il a fait le tour des écoles américaines et a gagné de nombreux prix. Un excellent support didactique à montrer à tous les élèves et leurs professeurs lorsque l'on appartient au monde de l'éducation. La projection sera suivie d'un débat avec l'association G.A.G.L 45 qui organise depuis 2007 des Interventions en Milieu Scolaire dans le Loiret." www.festivaldunbordalautre.com/talking-about-gays-issues-in-school/
Démystifier
l'homosexualité,
ça commence
à l'école...
"Le
GRIS-Montréal
réalise
en moyenne
850
interventions
par année.
L'an
dernier,
l'organisme
a connu une
année record
en visitant
988 classes
réparties
dans 169
établissements.
En plus de
son travail
de
démystification,
le
GRIS-Montréal
effectue des
travaux de
recherche
sur
l'homophobie
à l'école et
est appelé
régulièrement
à partager
son
expertise
sur le sujet
au Québec
comme à
l'étranger"...
Couleurs
Gaies:
«Les jeunes sont
plutôt sous-informés
qu'homophobes»Depuis
deux
ans,
l'association
de l'Est
de la
France
prend la
parole
dans le
milieu
scolaire.
Comment
se
passent
ces
interventions?
Quelles
sont les
questions
posées?
Mathieu Gatipon-Bachette,
le
président
de
Couleurs
Gaies,
raconte.
Source
tetu.com
06/09/2010
Il y a
deux
ans,
l’association
Couleurs
Gaies
obtenait
l'agrément
lui
permettant
d'intervenir
dans les
lycées
de
l'académie
de
Nancy-Metz
(lire
«Couleurs
Gaies en
justice,
ça
paie»).
Pour
cela, il
a fallu
mener
une
bataille
judiciaire:
les
objectifs
de
l’association,
défaire
les
clichés
sur
l’homosexualité
à
l'école,
avaient
fait
polémique
à
l’époque.Sésame
en
poche,
Couleurs
Gaies
multiplie
désormais
les
interventions:
depuis
janvier,
les
militants
ont
sensibilisé
plus de
1500
élèves à
l'homophobie.
Mais le
travail
des
bénévoles
ne se
cantonne
pas à la
salle de
classe,
explique
Mathieu
Gatipon-Bachette,
le
président
de
l'association.
L'intervention
est
l'objet
d'une
longue
préparation
en
amont.
D'une
part
parce
que
celle-ci
ne peut
se faire
sans
l'accord
du chef
d'établissement
(l'association
vient
d'ailleurs
d'en
solliciter
300). Et
d'autre
part
parce
qu'il y
a, comme
l’explique
le
président,
«une
séance
d’information
préalable
du
personnel
éducatif»....
Suite
article
www.tetu.com/actualites/france/couleurs-gaies-les-jeunes-sont-plutot-sous-informes-quhomophobes-17822
Photo :Un bénévole de
Couleurs Gaies lors
d'une intervention.
Près de 300 chefs
d'établissements ont
été sollicités pour
accueillir ces
prises de paroles.
Un questionnaire
concernant le coming out
étude
par la psychologue de l'association G-stud pour son Doctorat Ce questionnaire
peut être rempli par tous les jeunes ayant entre 16 et 26 ans,
quelque soit leur orientation sexuelle.
Il a pour objectif d'évaluer
l'impact qu'un évènement stressant peut avoir, et comment y faire
face. - " Je désire mieux comprendre les difficultés rencontrés
par les jeunes en lien avec les évènements stressants qu'ils
rencontrent. Comme il est précisé sur le fichier, il faut répondre
aux questions en considérant UNE situation, la situation la plus
stressante que vous avez rencontré au cours de votre vie. La
passation du questionnaire dure environ 20-30 minutes, et il peut
etre retourné à l'adresse mail suivante:
charbonnier.elodie@gmail.com
Les participants le désirant recevront les résultats de l'étude une
fois qu'elle sera finie."
MIlly Grégory
Responsable PACA DU REFUGE ET SECRETAIRE A G-Stud pour Elodie
psychologue de g-stud -
www.g-stud.fr
Association G-stud - Cité des Associations BP 101 - 93 La
Canebière - 13001 Marseille E-mail : assogstud@gmail.com
................................................................................................................................................................................
. .
retour
La
ligne d'écoute de
SOS Homophobie
est ouverte 7 jours sur 7
Ligne
d'écoute anonyme 01.48.06.42.41 dulun au ven de 20 à
22h
SOS HOMOPHOBIE -
BP 177, 75523 PARIS Cedex11
Numéro AZUR 0 810 108 135 www.sos-homophobie.org
-
contact :sos@sos-homophobie.org >>>>>RAPPORT
2010
Sos
homophobie
lance
“C’est
comme
ça”, un
site
dédié
aux
jeunes LGBT
Communiqué
21/05/2010
Un site
spécialement
dédié
aux
adolescent-e-s
pour
parler
d'homosexualité,
d'identité
de
genre,
et
d'homophobie
(au sens
large).Issue
d'échanges
avec des
représentants
du
ministère
de la
Jeunesse
et des
sports
en 2007,
cette
initiative
part du
constat
que les
adolescent-e-s
non
hétérosexuel-le-s
souffrent
encore
beaucoup
trop
d’un
manque
d’informations,
d’isolement
voire de
rejet de
la part
de leur
entourage.
Autant
de
circonstances
qui
peuvent
avoir
des
effets
désastreux
sur leur
parcours.
Forts de
notre
expérience
depuis
plusieurs
années
en
intervenant
dans des
collèges
et
lycées
dans
toute la
France,
il nous
faut
aujourd’hui
créer un
outil
spécialement
destiné
aux
adolescent-e-s LGBT.
Témoignages, Médiathèque, Portrais, Liens utiles
>>>
www.cestcommeca.net
"Rimbaud
06"
est la toute nouvelle
association LGBT des jeunes et
des étudiant-e-s niçois-es.
Objectifs :
"Accueil, écoute et aide des
jeunes rencontrant des problèmes
dans l’acceptation de leur
sexualité, Organisation de
soirées, fêtes, Organisation
d’activités de detente ( sortie
cinéma ) culturelles ( concours
artistiques) sportives (activité
de plein air, Promouvoir la
culture homosexuelle (
littérature, peinture ? ),
Initier ou participer (à) des
actions contre l’homophobie,
Initier ou participer (à) des
actions d’information et de
sensibilisation sur le Sida,
Organiser des conférences sur
les thèmes de l’homosexualité,
Aider les famille à accepter
l’homosexualité ou bisexualité
de leurs enfants"
>>>>
Voir aussi
Les Associations G & L dans les Ecoles
Adresse : RIMBAUD06- 643 route
d’Aspremont 06670 Castagniers -
Contact :
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La Fidl demande à Luc Chatel de lutter contre l'homophobie au lycée Source e-llico.com18/04/2010
La Fidl (Fédération indépendante et démocratique lycéenne) a adressé dimanche au ministre de l'Education nationale Luc Chatel un appel à lutter contre l'homophobie au lycée et contre les préjugés qu'elle entraîne.
"La lutte contre l'homophobie est l'un des enjeux majeurs pour la jeunesse, pour le vivre ensemble", écrit la Fidl dans ce texte. "Nous ne pouvons plus accepter que des jeunes soient mis en situation d'exclusion à cause de leur orientation sexuelle. Personne n'est sans savoir que l'orientation sexuelle est la première cause de suicide chez les jeunes aujourd'hui, il y a donc urgence à s'attaquer aux préjugés et aux fantasmes liés à l'homosexualité, à briser le tabou afin de faire évoluer les mentalités et faire comprendre que l'homophobie est une haine comme les autres", dit-elle encore. >>>Le site de la Fidl homophobie.fidl.org Le Fidl demande au ministre de mettre en place :
- l'intégration dans les programmes scolaires de la lutte contre l'homophobie
- une semaine nationale obligatoire d'éducation contre l'homophobie dans les établissements scolaires
- un plan pluriannuel de recrutement d'un(e) psychologue et d'un(e) infirmière scolaire à temps plein par établissement afin de prévenir et de répondre à la souffrance des jeunes
- une formation spécifique des personnels de l'éducation nationale afin qu'ils puissent détecter les situations d'exclusion due à l'homophobie. (...)
Les lycéens de la Fidl lancent une campagne choc contre l'homophobie Source e-llico.com16/04/2010
La Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), deuxième organisation lycéenne, a présenté jeudi à Paris sa campagne de sensibilisation contre l'homophobie qui déclinera le thème: "l'homosexualité n'est pas un problème, l'homophobie en est un". Cette campagne, lancée le 17 avril et qui s'achèvera le 17 juin, veut alerter les lycéens contre l'homophobie ordinaire au sein des établissements dont les conséquences peuvent être dramatiques.
"Tous les jours, on entend dans les cours de récré des insultes comme 'pédé, tapette, broutte minou, gouine, camionneuse". Pour ceux qui les subissent, cela peut provoquer une perte de confiance, des décrochages scolaires, du rejet, de la solitude, de la dépression et dans certains cas cela peut même conduire au suicide", a expliqué Toufike Mohamed, 18 ans élève de première et nouveau président de la FIDL, pendant une conférence de presse. - "L'orientation sexuelle est la première cause de suicide chez les jeunes et on a sept fois plus de chance de se suicider quand on est homosexuel", a ajouté Massira Baradji, 18 ans, et secrétaire général de la FIDL.
Des affiches, des spots radios et des clips vidéos volontairement "chocs" ont été réalisés pour cette campagne. Ils sont visibles sur le site homophobie.fidl.org
Sur les affiches, les membres du bureau de la FIDL se sont mis en scène avec le torse nu couvert de tatouages indiquant différentes facettes de leur personnalité. Sur celle où pose le président de la FIDL, on peut ainsi lire "Nul en math, basketteur, geek, rebeu, musulman, homo, fêtard..."
"Etre homosexuel, cela devrait avoir la même importance que d'être bon en anglais", a indiqué Toufike Mohamed pour illustrer le slogan de la campagne.
Des actions de terrain complèteront le dispositif médiatique dans les 62 départements où la FIDL est présente, avec distributions de documents devant les lycées et des débats. La FIDL revendique 7.000 adhérents. (...)"
Rappel : Le coming-out mal
vécu nuit gravement à la
santé !
Un coming out
mal accueilli peut vous
pourrir la santé. C'est la
conclusion d'une étude
américaine selon laquelle
les jeunes homosexuels, bi
ou trans dont la famille a
réagi négativement à
l'annonce de leur
orientation sexuelle
risquent beaucoup plus de se
suicider, de plonger dans de
graves dépressions ou de
prendre de la drogue. Caitlin Ryan, la chercheuse
de l'Université d'Etat de
San Francisco qui a dirigé
l'enquête publiée dans la
revue "Pediatrics" de
janvier, conseille donc aux
parents ou tuteurs d'essayer
de modérer leur réaction
plutôt que de rejeter
brutalement les jeunes gays
et lesbiennes, dont la santé
mentale pourrait en être
fortement fragilisée.
Il apparaît par exemple
qu'empêcher un jeune homo
d'en fréquenter d'autres
peut s'avérer aussi
traumatisant pour
l'intéressé que de
l'insulter ou le frapper.
L'étude montre comme la
plupart des travaux sur la
question que les jeunes gays
et lesbiennes ont en moyenne
moins de 11 ans la première
fois qu'ils se sentent
attirés par le même sexe, un
peu plus de 14 quand ils
comprennent qu'ils sont
homosexuels, et moins de 16
ans quand ils l'annoncent à
la famille.
Source Blog
Ltoutes 30/12/2008
Metz:
Couleurs Gaies en justice, ça
paie !Source
tetu.com 12/10/2009
L'association
LGBT de Metz n'a pas peur de
s'adresser aux magistrats.
Après une victoire contre
l'Education nationale, la Halde
lui donne raison sur le droit de
manifester contre la mairie de
Metz. Rares sont les associations
LGBT qui osent s'adresser à la
justice, dans le combat pour
l'égalité des droits. Couleurs
Gaies le fait pourtant avec
bonheur, depuis plusieurs
années, en Lorraine.
www.couleursgaies.org/
-
Couleurs Gaies a obtenu
l'agrément de l'Education
nationale avec l'aide de la
Halde. Sa victoire contre le
recteur de l'académie de
Nancy-Metz, en 2008, après cinq
ans de procédures devant les
juridictions administratives,
lui a permis d'obtenir un
agrément de l'Education
nationale qui l'autorise,
désormais, à pénétrer dans les
écoles pour y effectuer des
opérations de sensibilisation
contre l'homophobie.
(*)
L'intervention de la Halde a été
déterminante.
La Haute autorité de lutte
contre les discriminations,
sollicitée par l'association
messine, a rendu au juge
administratif un avis
défavorable au recteur, et le
juge s'est rangé à la position
de la Halde, alors qu'il avait
pris une décision contraire, en
premier ressort.
voir dans la page
Couleurs
Gaies, centre LGBT Lorraine-Nord - Le scénario semble se
reproduire, aujourd'hui, dans
une bataille engagée par
l'association LGBT pour faire
condamner la mairie de Metz, qui
a refusé de laisser passer les
chars de la Gay Pride par le
centre ville piétonnier, en juin
2004. «Présomption de
discrimination» La mairie
justifie sa décision par
l'interdiction de tout véhicule
à moteur dans le secteur. Et
campe sur sa position, malgré un
basculement de la municipalité à
gauche. «Les services de la
Ville défendent la Ville»,
assure la nouvelle équipe
municipale socialiste. Qui
autorisera, pourtant, la Marche
des fiertés lorraine à emprunter
les rues piétonnes, en juin
prochain... Couleurs Gaies, de
son côté, plaide la
discrimination. Assurant qu'en
2004, d'autres associations ont
pu manifester dans le centre
piétonnier avec des véhicules à
moteur. Déboutée en premier
ressort, Couleurs Gaies s'est
adressée à la Halde, qui lui
donne raison, et va même plus
loin.
Dans une délibération transmise
au juge administratif, qui
tranchera prochainement, la
Haute autorité estime que
«l'obligation positive qu'a
l'Etat de veiller au respect
effectif de la liberté
d'association et de réunion,
revêt une importance
particulière pour les personnes
ayant des opinions impopulaires,
ou appartenant à des minorités,
et particulièrement susceptibles
d'être victimes de
discriminations».La Halde
fait également référence à «une
présomption de discrimination»,
dans ce genre de cas. Puisant
ses arguments dans une décision
de la cour européenne des droits
de l'Homme de 2007 contre
l'interdiction d'un défilé
homo... en Pologne! "
"Une mallette
pédagogique intitulée «
vivre ses différences,
comment parler de
l'homophobie » a été
créée par Couleurs Gaies
afin de donner aux
professionnels de
l'éducation et de la
santé un outil pour
aborder le rejet de la
différence. Cet
outil pédagogique a été
élaboré pour aider les
jeunes à développer leur
capacité à vivre
ensemble tout en
respectant les
différences de chacun.
Il utilise le thème de
l'homophobie comme
vecteur de découverte et
d'analyse des
différentes formes
d'intolérance (le
sexisme, le racisme,
l'antisémitisme, le
rejet des handicapés, le
rejet lié aux apparences
physiques.). Douze
fiches pédagogiques
permettent d'aborder
quatre thèmes principaux
: la société (vivre sa
différence à l'école,
vivre sa différence au
travail, vivre sa
différence dans le
sport), la famille, (les
couples,
l'homoparentalité, notre
enfant est homosexuel),
l'individu (les
apparences de la
différences, subir sa
différence, affirmer sa
différence, ich bin
anders) et l'histoire
(l'homophobie dans
l'histoire, influence
des mouvements sociaux).
Certaines fiches peuvent
être utilisées
conjointement avec une
cassette vidéo (« être
et se vivre homo »). La
mallette a obtenue le
prix 2003 de la
Solidarité Associative
décerné conjointement
par le Ministère de
l’Education Nationale et
l’association Jeunesse
au Plein Air. Elle a été
testée pendant deux ans
en milieu scolaire. La
mallette a été diffusée
en 150 exemplaires dans
plus de cinquante
départements ainsi qu’au
Luxembourg et en
Belgique."
Une
campagne
contre l’homophobie dans les
facs
Source tetu.com 10/06/2009 Valérie Pécresse,
ministre de l'Enseignement
supérieur, répond ainsi à
une promesse faite aux
associations il y a un an.
Presque un an jour pour
jour après s'être engagée
devant l'Inter-LGBT à lutter
contre l'homophobie à
l'université, la ministre de
l'Enseignement supérieur et
de la recherche, Valérie
Pécresse, passe à l'action.
Une campagne d'information
et de lutte contre les
discriminations liées à
l'orientation sexuelle
(photos), créée en
collaboration avec
l'Inter-LGBT et GayLib, va
être lancée dans les facs
dans le tout prochains
jours.Son objectif est,
selon le ministère, de
«sensibiliser les étudiants
et l’ensemble des personnels
universitaires aux
difficultés rencontrées par
certains étudiants encore
trop souvent victimes de
discrimination en raison de
leur orientation sexuelle,
ainsi qu’aux conséquences
parfois dramatiques d’actes
et de comportements
homophobes». Une campagne
trop tardive?
Plus de 40.000 affiches
seront diffusées, pour une
moitié dans les résidences
étudiantes, les Crous, les
foyers et les universités,
et pour l'autre moitié à
disposition des associations
luttant contre l'homophobie.
C'est la première fois
qu'une telle action est
entreprise dans le milieu
universitaire.
Affiche de la nouvelle
campagne contre l'homophobie
à l'université
Mais, trois semaines avant
la fin de l'année
universitaire, elle n'aura
probablement pas d'impact
avant l'année étudiante
prochaine - le ministère
précise qu'il «envisage bien
entendu de la prolonger à la
rentrée universitaire 2009».
L'Education fait ses devoirs
:Le bilan des ces actions
contre l'homophobie est très
attendu par les associations
pour juger de la volonté
réelle du gouvernement de
lutter efficacement contre
les discriminations liées à
l'orientation sexuelle. En
ce qui concerne les écoles
et lycées, le ministre de
l'Education nationale,
Xavier Darcos, a encouragé
dans sa lettre de rentrée,
en 2008, tous les personnels
à «lutter contre toutes les
violences et toutes les
discriminations, notamment
l'homophobie
Association universitaire
LGBT Dégel le
vendredi
...Ecoles
voir
Homo
Boulot
"chaque
vendredi, l’association
Dégel propose un rendez-vous
à Jussieu ouvert aux
étudiant-e-s de Jussieu et
des autres facs et écoles, à
tous les jeunes se posant
des questions sur leur
sexualité, leur identité
transsexuelle ou transgenre,
voulant rompre avec leur
solitude, rencontrer des
jeunes gay, lesbiennes, bi,
trans, partager des
activités conviviales et
militantes, autour d'un
verre. Accueil et
permanence de l'association
Dégel,
tous les vendredis de 18h00
à 20h00 au local de l'UNEF,
Bat A, Jussieu."
http://degel.asso.fr
SOS
homophobie
se réjouit des
recommandations de la Halde
relatives à la prévention
des discriminations à raison
de l’orientation sexuelle en
milieu scolaire
Le Collège de la HALDE a
examiné le 12 janvier 2009
le rapport issu du groupe de
travail « prévention des
discriminations à raison de
l'orientation sexuell e en
milieu scolaire ». Il a
souhaité reprendre à son
compte l'essentiel des
recommandations émises par
le groupe dans le cadre
d'une délibération portant
recommandations au ministère
de l'éducation nationale,
aux associations de lutte
contre les discriminations
liées à l'orientation
sexuelle, ainsi qu'aux
fédérations des parents
d'élèves.
Le Collège de la Haute
Autorité a adopté plusieurs
recommandations visant à :
- renforcer les actions
destinées à prévenir les
discriminations et veiller à
aborder les questions
d’homophobie dans le cadre
pédagogique ainsi que dans
le cadre de la vie scolaire
;
- développer les actions de
prévention en milieu
scolaire en favorisant
l’intervention des
associations.
En outre le Collège a émis
plusieurs recommandations
destinées au ministère de
l’éducation nationale, aux
associations et aux
fédérations de parents
d’élèves visant à assurer
une interprétation non
restrictive de la notion
d’intérêt général qui pe
rmet aux associations de
lutte contre les
discriminations d’intervenir
en milieu scolaire. Ceci
notamment afin de mettre un
terme aux arguments de
soi-disant prosélytisme
homosexuel utilisé trop
souvent pour empêcher la
lutte contre les
discriminations homophobes
au sein des établissements
scolaire.
SOS homophobie se réjouit de
ces recommandations et
demande au gouvernement de
veiller à leur mise en
œuvre.
Association loi 1901 de
lutte contre l'homophobie
créée le 11 avril 1994
c/o Centre LGBT Paris IDF -
63 rue Beaubourg - 75003
Paris
Ligne d'écoute : 0 810 108
135 - Web :
http://www.sos-homophobie.org
Contact presse : 06 28 32 02
50 / sos@sos-homophobie.org
La santé
des jeunes homosexuels directement
influencée par l'attitude de leur
famille, selon une étude
Source NouvelObs/AP | 29/12/2008
La santé des jeunes homosexuels est
directement influencée par l'attitude de
leur famille, selon une étude publiée
lundi dans la revue américaine
"Pediatrics". Les jeunes gays et
lesbiennes dont les parents réagissent
négativement lorsqu'ils révèlent leur
orientation sexuelle seraient davantage
susceptibles de se suicider, de tomber
dans des dépressions graves ou de se
droguer.
"Les parents aiment leurs enfants et
veulent ce qu'il y a de mieux pour eux.
Maintenant que nous avons mesuré tous
ces comportements, nous pouvons observer
que certains d'entre eux prédisposent
les jeunes à des risques extrêmement
élevés, et d'autres favorisent leur
bien-être", explique Caitlin Ryan,
directrice de recherche chargée du
projet à l'Université de San Francisco.
L'étude a montré que les adolescents qui
ont vécu une réaction négative au sein
de leur famille présentent huit fois
plus de risques de tenter de se
suicider, sont presque six fois plus
vulnérables à la dépression sévère et
trois fois plus susceptibles de faire
usage de drogues. Selon Caitlin Ryan, ces travaux
suggèrent que les parents qui réagissent
avec calme plutôt que de rejeter leur
enfant peuvent considérablement
améliorer ses perspectives sur le plan
de la santé mentale.
Pour réaliser cette étude, l'équipe de
chercheurs a d'abord interrogé 53
familles d'adolescent homosexuels pour
identifier 106 comportements spécifiques
qui pouvaient être considérés comme de
l'"acceptation" ou du "rejet". Dire à un
jeune qu'il est tyrannisé à l'école par
sa propre faute, le tenir à l'écart du
reste de la famille ou dénigrer son
apparence parce qu'elle ne correspond
pas aux codes sociaux sont par exemple
des attitudes classées dans la catégorie
"rejet". Les chercheurs ont ensuite
interrogé 224 homosexuels blancs et
latino-américains âgés de 21 à 25 ans
sur le comportement de leur entourage.
Même si ces résultats peuvent paraître
intuitifs, Caitlin Ryan affirme que
l'étude est la première à établir un
lien entre les problèmes de santé
affectant les jeunes homosexuels et leur
environnement familial.
Elle a utilisé ces informations au cours
d'ateliers avec des parents ou tuteurs
ayant des relations tendues avec leurs
adolescents homosexuels, et selon elle
beaucoup ont été suffisamment alarmés
pour changer immédiatement certains
aspects de leur relation avec ces
jeunes. Dans son article pour la revue
"Pediatrics" de janvier, la chercheuse
recommande aux professionnels de la
santé d'interroger leurs jeunes patients
sur la manière dont leur famille a réagi
à leur "coming out".
En concordance avec d'autres études, les
jeunes interrogés dans le cadre de cette
recherche étaient âgés en moyenne de
moins de 11 ans lorsqu'ils ont éprouvé
pour la première fois une attirance
sexuelle pour le même sexe, venaient
d'avoir 14 ans lorsqu'ils ont compris
qu'ils étaient homosexuels, et l'ont
appris à leur famille avant leurs 16
ans.
Sten Vermund, pédiatre à l'université
Vanderbilt, au Tennessee, a découvert le
travail de Caitlin Ryan cet été lors
d'une conférence internationale à Mexico
et partage son point de vue. "Tellement
de familles ayant un enfant homosexuel,
bisexuel ou transsexuel, en particulier
les familles de garçons homosexuels,
pensent qu'en étant dures avec ce jeune
et en lui disant à quel point son style
de vie (...) est insatisfaisant pour la
famille, ça lui passera", déplore-t-il. "Les personnes peuvent n'être
toujours pas à l'aise avec l'orientation
sexuelle de leur enfant, mais si elles
acceptent davantage et font du mieux
qu'elles peuvent, cela fera beaucoup de
bien au jeune. Pour moi, c'est un
message important", conclut le Dr
Vermund.
AP
article :http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/economie/20081229.FAP5748/la_sante_des_jeunes_homosexuels_directement_influencee_.html
SOS
homophobie
intervient
depuis
de
nombreuses
années
en
milieu
scolaire
afin
de
sensibiliser
les
jeunes
lycéens
et
collégiens
aux
questions
relatives
à
l'homophobie
(ses
manifestations,
ses
conséquences
et
les
moyens
pour
agir)
à
travers
l'instauration
d'un
dialogue
avec
les
jeunes
et à
l'aide
de
divers
supports
(vous
pouvez
vous
reporter
aux
documents
disponibles
sur
notre
site
national:
).
*
Formation
aux
intervention
en
milieu
scolaire,
à
Montpellier,
le
11
octobre
2008
*
Formation
de
sensibilisation
à ce
qu'est
l'homophobie,
à
Montpellier,
le
26
septembre
2008
*
Soirée
débat
sur
le
thème
de
l'homoparentalité,
à
Frontignan,
le
26
septembre
2008
Nous
vous
proposons
de
participer
à la
formation
aux
interventions
en
milieu
scolaire
que
nous
organisons
à
Montpellier,
le
samedi
11
octobre,
de
9h00
à
17h00
L'inscription
est
gratuite.
Le
lieu
où
se
déroulera
la
formation
vous
sera
précisé
au
moment
de
votre
inscription.
Elle
s'adresse
à
toute
personne
qui
souhaite
intervenir
en
milieu
scolaire
(lycée
et
collège).
Ses
objectifs
principaux
sont:
- auprès
de
lycéens
et
collégiens
- et
ainsi
être
en
capacité
d'aider
et
d'orienter
des
adolescents
et
jeunes
adultes
confrontés
à
des
pratiques
homophobes
Pour
vous
inscrire,
il
vous
suffit
d'adresser
vos
nom,
prénom
et numéro
de
téléphone.
Nous
vous
confirmerons
votre
inscription.
Nous
restons
à
votre
disposition
pour
vous
fournir
tout
élément
complémentaire.
Solidairement
SOS
Homophobie : Agréé !
intervention
dans les lycées et collèges de
l’académie de Versailles
Une bonne nouvelle pour cette
rentrée scolaire ! SOS
Homophobie a obtenu l’agrément
pour intervenir dans les
établissements scolaires
(collèges et lycées) de
l’académie de Versailles.
Sourcee-llico.com02/09/2004
L’association
présentera son module de
prévention et de sensibilisation
à l’homophobie. Les
interventions se feront devant
les élèves mais aussi devant
tout adulte qui exerce une
fonction pédagogique dans les
établissements.
La
multiplication des agressions
d’homosexuels en toute impunité
est inquiétante. SOS Homophobie
nous rappelle "qu’une loi
pénalisant les propos et actes
homophobes est plus que jamais
nécessaire". Mais l’association
indique aussi que l’efficacité
de cette loi sera subordonnée à
une véritable politique
d’éducation et de prévention.
Son action auprès de l’académie
de Versailles s’inscrit
parfaitement dans ce
cadre.D'autres demandes
d'agrément auprès des rectorats
de Paris et de Créteil, ainsi
qu'au niveau national (Ministère
de l'Education) ont été
déposées. A Créteil, la demande
de SOS a été rejetée, non sur le
fond, mais parce qu'elle ferait
double emploi avec la demande
d'agrément national. SOS
Homophobie au 0 810 108 135 ou
sur son site :
www.sos-homophobie.org
Le Refuge et SOS homophobie, en partenariat avec l'association LGBT formation, vous proposent d'assister à la formation "Sensibilisation à l'homophobie" (Adolescence, Homophobie intériorisée et prises de risques)
Cette formation aura lieu à Montpellier, le:Vendredi 26 septembre de 9h30 à 17h00 L'inscription est gratuite.
Le lieu où se déroulera la formation vous sera précisé au moment de votre inscription.
Elle s'adresse à toute personne qui est en situation d'autorité et d'encadrement à l'égard d'adolescents et de jeunes adultes.Ses objectifs principaux sont:- permettre à chacun-e d'identifier les pratiques homophobes dans son environnement, d'en connaitre les manifestations, les conséquences, notamment sur la santé des personnes qui y sont exposés, ainsi que les moyens existants pour agir (réagir)
- et ainsi être en capacité d'aider et d'orienter des adolescents et jeunes adultes confrontés à des pratiques homophobes
Pour vous inscrire, il vous suffit d'adresser vos nom, prénom, numéro de téléphone ainsi que le nom de la structure où vous travaillez. Nous vous confirmerons votre inscription qui est gratuite.
Fred Burguin-Casy - Volontaire SOS homophobie Tél. 06-18-28-32-84 E-mail fred.soshomophobie@yahoo.fr
"Silence. Honte. Peur. Angoisse. Invisibilité.
Solitude. Déprime. Mensonge. Souffrance. Haine
de soi. Dix mots -- dix mots qui décrivent le
drame quotidien de la majorité des adolescents
gays. 25% d'entre eux tentent de s'ôter la vie.
Un chiffre qui témoigne de l'ampleur du malaise,
et qui justifie à lui seul une prise de
conscience d'envergure. Clé de l'épanouissement,
l'école forme enseignants et élèves à ne pas
discriminer en raison de la race, de la
religion, de la nationalité, ou du sexe.
L'orientation sexuelle?..."
Voir l'excellent site de
Lambda Education,
organisation suisse pour la défense du droit de
cité de l'homosexualité à l'école...
Le Centre
LGBT Paris-IdF
propose un nouveau rendez-vous
hebdomadaire spécialement
destiné aux 16-25 ans. Ce
rendez-vous se veut convivial et
peut être une passerelle vers le
milieu du militantisme.
La Jeunesse LGBT, chaque
mercredi à partir de 15h au
Centre LGBT Paris-IdF.
Lien officiel :
www.cglparis.org
La Marche des fiertés lesbiennes, gay, bi et
transsexuelles, la Gay Pride française, met
l'Ecole au centre de sa 7e édition, samedi à
Paris, pour souligner la nécessité d'une
prévention précoce de l'homophobie et la
détresse de nombreux jeunes homosexuels.
Source JOURNAL 20' 28/08/2008
Les organisateurs
espèrent rassembler plusieurs centaines de
milliers de personnes pour cette
manifestation festive organisée cette année,
autour du sloganentre Denfert-Rochereau et la Bastille.
«Pour une école sans aucune discrimination»
Consensus
Le thème
choisi, moins politique que les années
précédentes, tient compte d'un contexte
moins favorable aux idées portées par les
associations. «Nicolas Sarkozy a clairement
dit qu'il s'opposait au mariage et à
l'adoption pour les couples homosexuels,
mais il a laissé des ouvertures sur la
question des discriminations», a expliqué
Alain Piriou, porte-parole de
l'Interassociative lesbienne, gay, bi et
transsexuelle (Inter LGBT, qui réunit 60
associations).«Plutôt que de s'arc-bouter
sur les questions où nous sommes en
opposition avec la majorité, nous préférons
ne pas perdre de temps et travailler» sur
les thèmes qui peuvent faire consensus,
a-t-il expliqué. Deux éléments ont poussé au
choix de l'Ecole
«Dans les affaires d'homophobie, une des
caractéristiques est d'avoir des agresseurs
souvent très jeunes, de 20 ans ou moins.
Quelque chose n'a pas été fait en matière de
prévention des comportements
discriminatoires», relève Alain Piriou.
Deuxièmement, «les jeunes homosexuels se
suicident 13 fois plus que les hétérosexuels
et 32% des homosexuels de moins de 20 ans
ont fait une tentative de suicide», a ajouté
Philippe Castel, du principal syndicat
enseignant, la FSU.
«Un quart des tentatives de
suicide des garçons de 15 à 25 ans et 10%
des filles du même âge sont très liés à un
problème d'homosexualité dont ils ne peuvent
parler qu'à la suite de ce geste», relevait
Dominique Versini, Défenseure des enfants,
dans son rapport 2007.
Formation
«Nous ne demandons pas de loi mais des
actions de terrain de formation et des
outils d'intervention auprès des jeunes», a
insisté Alain Piriou, relevant que «si des
choses se font dans les lycées, il y a un
point de blocage avec le ministère de
l'Education pour les collèges». «Omerta» Mercredi, le ministre
de l'Education n'a pas hésité à parler de
«l'omerta» qui entoure «l'homophobie à
l'école», qui est «toujours présente», dans
un entretien à Libération. La circulaire de
rentrée 2008 du ministère mentionne pour la
première fois explicitement la lutte contre
l'homophobie.
Xavier Darcos entend
«rendre
systématique à la rentrée l'affichage de la
ligne Azur (0 810 20 30 40, pour les
questions sur l'identité sexuelle) dans les
lycées». Enfin, la brochure «Homophobie:
savoir et réagir», à destination des
enseignants et professionnels, sera
disponible au sein de tous les
établissements. J-P. KSIAZEK / AFP ¦
Lors de la 13e marche des Fiertés
homosexuelles à Lyon, le 14 juin 2008.
ADOS
:
L'association Le
Refuge
agit
contre l'isolement
des adolescent(e)s
homosexuel(le)s et
ses conséquences
parfois dramatiques
: prostitution,
errance,
comportement
dépressifs ou
suicidaires.
Le
réseau accueille des
garçons et filles
âgés de 18 à 25 ans
en situation
d'isolement du fait
de leur
homosexualité.
Adresse : Résidence
Port-Royal, 31, rue
de Chio, 34000
Montpellier. Tél :
0870 26 46 08.
Lien officiel :www.le-refuge.org
Lambda Education organisation
suisse pour la défense du droit de cité de
l'homosexualité à l'école..www.lambda-education.ch
SOS
Homophobie : Agréé !
intervention
dans les lycées et collèges de
l’académie de Versailles SOS
Homophobie au 0 810 108 135 ou
sur son site :
www.sos-homophobie.org