FLASH INFO
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En
France : Attendre 2013
(Odyssée de l'espèce:))
(USA) Combien d'hôpitaux interdisent
encore les droits de visite LGBT?
Même si le ministère américain de la
Santé et des Services sociaux a
récemment déclaré que tous les
hôpitaux américains reçoivent une aide
fiscale pour permettre aux visiteurs
conjoints de même sexe visiteurs de voir
les patients... le Rolling Hills
Hospital à Franklin, au Tennessee
interdisait encore à Val Burke de
voir sa partenaire dans son Unité
résidentielle psychiatrique. D'où la
question est-ce que votre hôpital local
fait la même chose?
Le Directeur de l'Hopital, Richard
Bangert a plaidé une «erreur humaine»,
ce qui est une excuse familière pour les
comportements anti-LGBT et s'est
entretenu avec son personnel pour
s'assurer que tout le monde "ne
discriminera plus " Il a émit également
des excuses personnelles à Val Burke,
ajoutant: "Je prends cela très à
coeur.Ce n'est pas représentatif de
l'hôpital. "
Mais en attendant, la Human Rights
Campaign exhorte encore les LGBT à
conserver sur soi les directives leur
autorisant les visites en toute
situation d'urgence médicale, car ce
genre de chose ne doit pas arriver à
nouveau. Et ajoute en touche d'humour :
-"Assurez-vous également de porter des
sous-vêtements propres, de peur
d'embarrasser votre mère"
article complet :
www.queerty.com/tn-fiasco-begs-question-how-many-hospitals-still-forbid-lgbt-visitation-rights-20111221/#ixzz20hYOtYUI
Conseil
national du sida: l'objectif «zéro
nouvelles infections» peut être atteint Source
tetu.com 01/12/2011 A l'occasion de la journée mondiale
de lutte contre le sida, l'organisme
consultatif indépendant appelle à une
«action plus ambitieuse de la France»
pour parvenir à ce but fixé pour 2015
par la communauté internationale.Le
Conseil national du sida, organisme
consultatif indépendant, a réclamé
mercredi une «action plus ambitieuse de
la France» tant sur le plan
international que national pour lutter
contre le VIH. Prévention, dépistage, traitementLa
France doit «reconquérir la position de
leader mondial de la lutte contre le
VIH/sida qu'elle a longtemps occupée»,
«augmenter son aide publique au
développement» et «mettre en oeuvre une
taxe sur les transactions financières».
Les objectifs fixés pour 2015 par la
communauté internationale de parvenir à
«zéro nouvelle infection» et «zéro décès
dû au sida» peuvent être atteints si les
actions de prévention, de dépistage et
d'accès aux traitements sont
«considérablement amplifiées», juge cet
organisme... "
Suite
de l'article complet
www.tetu.com/actualites/sante/conseil-national-du-sida-lobjectif-zero-nouvelles-infections-peut-etre-atteint-20614
PENSEZ-Y
!
Les
associations peuvent désormais réaliser des
tests de dépistage
rapide du VIH
Source yahooActu/LeMonde.fr avec AFP
01/12/2010
A
partir de ce mercredi 1er décembre, les
centres associatifs spécialisés vont pouvoir
réaliser des tests de dépistage rapide du
virus du sida. Le test rapide
d'orientation diagnostique (TROD) permet
d'obtenir un diagnostic de séropositivité en
trente minutes après prélèvement d'une
simple goutte de sang au bout du doigt.
Il fonctionne 'comme un test de grossesse',
explique le docteur Jeanine Rochefort,
responsable du Centre d'accueil, de soins et
d'orientation de Médecins du monde (MDM) à
Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : 'Un point
bleu sur le disque blanc sur lequel a été
versé le sang et le réactif, c'est négatif ;
deux, c'est positif.'
Pour les centres d'accueil, ces tests vont
permettre d'éviter les 'perdus de vue', ces
patients qui étaient orientés vers des
centres de dépistage anonymes et gratuits ou
des laboratoires partenaires, et qui
disparaissaient. 'Certains patients nous
disent que s'ils devaient attendre une
semaine les résultats, ils n'auraient pas la
force de se faire dépister', poursuit le
docteur Rochefort, même si tout test positif
doit être confirmé et nécessite 'évidemment
un accompagnement'.
(...)
'Parler
des autres modes de contamination, comme la
voie sanguine, permet d'y venir et aussi de
parler des hépatites B et C', poursuit
Catherine Bouviala. En France, sur 150
000 personnes séropositives, un tiers
l'ignorent, tandis que sur 500 000 personnes
porteuses du VHB ou du VHC, respectivement
43 % et 55 % ne le savent pas....
Suite de l'article :
http://fr.news.yahoo.com/64/20101201/tsc-les-associations-peuvent-dsormais-ra-d5141e8.html
-SIDA: Les
femmes au coeur de la crise
Excellents articles et belle action de
yagg.com en faveur de la
santé Lesbienne !
Comment ça va les filles? Le suivi
gynécologique
Source yagg.com 27/12/ 2010
"... un nouvel épisode de notre série de
vidéos d’information à destination des
lesbiennes et des femmes qui ont des
rapports sexuels avec les femmes (FSF), dans
le cadre de la campagne santé, sexualité,
visibilité Comment ça va les filles?
La vidéo est présentée par Blandine. Avec la
complicité de Patricia et Colette, l’entrée
en matière pointe avec humour la crainte que
certaines lesbiennes ont d’aller consulter.
La gynécologue Claude-Isabelle Blanchet
répond aux questions sur la première visite
chez le gynécologue, les examens pratiqués
et la nécessité ou pas de parler de son
orientation sexuelle....."
http://commentcavalesfilles.yagg.com/2011/01/07/tou-savoir-sur-le-suivi-gynecologique/
Prévention : 3
symptômes que les femmes ne devraient
pas négliger
Source -actu/yahoo.com/
fr.pourelles.yahoo.com 31/08/2011 Submergées de contraintes, pressées
par le temps, les femmes font souvent
passer leur santé après tout le reste :
travail, maison, enfants, compagnon…
Mais négliger les petites alertes
envoyées par le corps peut s’avérer
dramatique ! Explications à travers
trois symptômes à prendre au sérieux :
Des saignements hors périodes de règles Le symptôme : Vous avez eu vos règles il
y a dix jours, et vous remarquez un
léger écoulement sanguin au cours d’un
passage aux toilettes…
Ce que ça peut signifier : Les
saignements hors périodes de règles
peuvent avoir de multiples
significations, de la plus bénigne à la
plus inquiétante. Citons par exemple un
oubli de pilule ou l’adoption d’un
nouveau stérilet, mais aussi un début de
fausse couche (15% des grossesses
d’après l’agence Biomédicale) ou bien
une lésion interne.
Comment agir : Seul un gynécologue
pourra déterminer si, oui ou non, le
saignement est bénin. Les examens de
contrôle, frottis, et autres analyses,
doivent être effectués régulièrement et
pour éviter les infections. Les
relations protégées et des
sous-vêtements propres en coton sont
indispensables. L’hygiène intime doit
être irréprochable sans pour autant être
abusive : sus aux douches vaginales, par
exemple. Des changements au niveau de la
poitrine :Le symptôme : Subitement, un de vos
seins grossit, tombe, change de forme ou
présente une protubérance.
Ce que ça peut signifier : Un sein
changeant peut être le signe d’une
tumeur ou d’un cancer du sein. Comment
agir : Vous pouvez commencer par une
autopalpation : bras levé, il suffit de
palper vos seins et les alentours pour
détecter d’éventuelles grosseurs. Mais
surtout, consultez régulièrement votre
gynécologue qui pourra vérifier si tout
va bien et, au moindre doute, vous
prescrire une mammographie. Si environ
5% des cancers du sein seraient
d’origine génétique, plus de 85%
trouveraient leur source dans
l’environnement de la malade (on parle
d’obésité, de non-allaitement, de
consommation d’aliments transformés ou
de pollution de l’air et de l’eau). Une
nouvelle hygiène de vie pourrait donc
permettre de changer les choses : le
regretté David Servan-Schreiber a par
exemple prolongé de plus de 20 ans son
espérance de vie, malgré une tumeur, en
consommant du thé vert et en s’adonnant
aux micro-siestes, entre autres (Lire «
Anticancer » paru chez Robert Laffont). Des maux de jambesLe symptôme :
Les jambes lourdes, l’impatience, les
femmes connaissent bien : il s’agit
d’une sensation de lourdeur, soulagée
par une douche fraîche ou la
surélévation des jambes. Pour savoir si
vous souffrez d’un caillot, levez votre
pied de façon perpendiculaire à votre
mollet : une vive douleur ? C’est sans
doute un caillot !
Ce que ça peut signifier : Un caillot
peut s’être formé dans une de vos
veines. Si en plus des douleurs, vous
remarquez que vos veines ont grossi, se
sont modifiées, sont douloureuses ou
très apparentes (type « carte routière »
dessinée en bleu et violacé) vous pouvez
aussi avoir des varices, et peut-être
même un début de phlébite. Récemment, en
Angleterre, un jeune homme en est mort :
il ne s’est pas aperçu qu’il avait une
trombose, caillot de sang formé dans sa
jambe à cause du manque d’exercice !
Comment agir : Commencez par adopter les
bas de contention, comme les mémés. Ils
coûtent environ 30 euros et peuvent être
remboursés sur prescription médicale.
Une crème au ruscus aculeatus et des
douches à l’eau glacée peuvent aussi
s’avérer efficaces. En outre,
rendez-vous chez un phlébologue qui
évaluera l’état de votre système veineux
et vous conseillera un traitement
adapté. Et lâchez votre ordinateur au
profit d’une marche rapide… Alors si
vous souffrez de l’un de ces maux, mais
aussi d’un grain de beauté en phase de
détachement, de maux de ventre ou de
migraines inexpliquées, n’hésitez plus :
consultez!"
étonnante
Vitamine D
"Lavitamine Dreprésente
un cas à part parmi les nutriments et
les médicaments. En effet, elle peut
s’accumuler dans les graisses et le
foie. Une fois métabolisée et remise en
circulation, elle est captée par
des molécules de transport
qui forment une réserve sanguine. Ces
transporteurs la libèrent sous forme de
25-hydroxyvitamine D en fonction des
besoins de l’organisme, ce qui n’est pas
le cas pour toutes les substances
nutritionnelles ou médicamenteuses..."
"La vitamine D est synthétisée
naturellement par le corps sous l’action
des rayons du soleil. Elle est aussi
présente dans certains aliments,
notamment les poissons gras. (foie de
morue/harengs/sardines... )
Un adulte qui manque de vitamine D
court plus de risques de développer de
nombreuses maladies dont l’ostéoporose,
les cancers du sein et de la prostate,
des maladies auto-immunes, la grippe, le
rhume et des pathologies
cardiovasculaires...
infections,
récidives, psoriasis, arthrose,
contribue
à prévenir le diabète de type 1,
certaines autres maladies auto-immunes
Les
autorités sanitaires américaines et
françaises recommandent d’avoir un taux
de vitamine D dans le sang de 75 nmol/L
(30 ng/mL), mais les spécialistes
conseillent plutôt de se situer
au-dessus de 50 ng/mL, ou 125 nmol/L."
Des INFOS très intéressantes concernant
le rôle de la vitamine D :
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Retour
Alléluia (America)!
Barack Obama ordonne aux
hôpitaux américains de
traiter correctement les
couples gays et lesbiens
Source yagg-16/04/2010
“Ce n’est pas un droit
homo, c’est un droit
humain.” C’est ce que
répète depuis des années
Janice Langbehn, dont la
compagne,
Lisa Pond, est
morte à l’hôpital:
Janice et les quatre
enfants du couple ont dû
attendre l’arrivée de la
sœur de Lisa pour avoir
l’autorisation d’entrer
dans sa chambre.
C’est cette histoire qui
a conduit Barack Obama à
ordonner aux hôpitaux
américains – en tout cas
à ceux liés à
l’assistance publique,
qui sont donc en partie
financés par l’argent
public – d’autoriser
leurs patient-e-s à
désigner les personnes
qu’ils/elles souhaitent
avoir à leurs côtés lors
d’une hospitalisation et
qui pourront prendre les
décisions médicales les
concernant, même en
l’absence de mariage ou
de lien de filiation. - “Tous les jours,
à travers l’Amérique,
des patients sont privés
des attentions et de
l’amour de leurs proches
en cas d’urgence
médicale ou lors d’une
hospitalisation
prolongée”, a
écrit le président des
États-Unis dans une note
destinée à la secrétaire
à la Santé et aux
services sociaux,
Kathleen Sebelius.
Le texte met l’accent
sur “les Américain-e-s
gays et lesbiennes qui
se voient souvent
interdire d’être au
chevet de la personne
avec laquelle ils/elles
ont peut-être passés des
décennies”. Barack
Obama a lui-même
téléphoné à Janice
Langbehn pour lui
présenter des excuses
pour ce que sa famille
et elle ont dû endurer,
raconte-t-elle sur son
blog et dans la vidéo
...
Comme l’a souligné
Richard Socarides,
l’ex-conseiller de Bill
Clinton sur les
questions LGBT, cité par
le New York Times, cette
note ne crée pas de
droit nouveau, mais
donne un coup de
projecteur “sur les
situations très réelles
et tragiques auxquelles
sont confronté-e)s de
nombreux/ses gays et
lesbiennes lorsque leur
partenaire est
hospitalisé-e”.
S’il est évident
qu’ouvrir le mariage aux
couples de même sexe
résoudrait une bonne
partie des problèmes
auxquels ils sont
confrontés, Barack Obama
a toujours affirmé que
la question n’était pas
de son ressort mais de
celui des différents
États. Et quand un chef
d’État prononce ou écrit
les mots “gays” et
“lesbiennes” dans un
autre contexte qu’une
comparaison zoophile,
c’est toujours bon à
prendre.
“La directive du
Président est un petit
pas en avant, mais un
pas bienvenu, a commenté
Evan Wolfson, le
directeur exécutif de
l’association LGBT
Freedom to Marry. (…)
La note du Président est
particulièrement
remarquable en ce
qu’elle reconnaît la
façon unique dont les
couples de même sexe
sont affectés par la
discrimination liée au
mariage (…). Bien
sûr, le meilleur remède
est de mettre fin à
l’exclusion du mariage
(…). Avancer par
à-coups, en se
préoccupant d’une
protection à la fois,
prendra bien plus
longtemps que ce que le
gouvernement ou les
familles américaines ne
peuvent se permettre.”
Sexe,
prévention et vidéos:
“Je vais chez le gynéco”,
par Tatiana Potard
- Source yagg 09/12/2009
Pour la campagne Sexe, prévention et
vidéos lancée par Yagg.com et l’Inpes,
Tatiana Potard, blogueuse et activiste,
a décidé de s’adresser directement aux
lesbiennes avec son clip “Je vais chez
le gynéco”.
Il s’agit de la première vidéo de
prévention accessible sur internet créée
par une lesbienne pour un public
lesbien. Pour traiter du sujet très
sérieux du suivi gynécologique, Tatiana
utilise l’humour et campe le personnage
désormais bien connu d’Agnès, la
lesbienne “totalement équilibrée”… qui
prend soin de sa chatte... "
Suite/vidéo :www.yagg.com/2009/12/09/sexe-prevention-et-videos-28-je-vais-chez-le-gyneco-par-tatiana-potard
Cancer
du
col de l'utérus
: Les femmes
lesbiennes plus à
risques...
Source
PinkNews 14/03/2009
Une recherche
médicale anglaise
suggère dans son
rapport que de
nouvelles lignes
directrices
devraient être
révisées pour
garantir d'avantage
auxfemmes lesbiennes
des dépistages du
cancer du col de
l'utérus.
Actuellement, NHS
conseil indique que
les femmes qui n'ont
jamais été
sexuellement actifs
à un homme ont un
très faible risque
de la maladie,
suggérant mai déclin
de ces femmes à
assister à frottis
du col de l'utérus.
Toutefois, une étude
publiée dans le
Journal of Family
Planning and
Reproductive Health
Care a affirmé que
la plupart des
lesbiennes ont eu
des contacts sexuels
avec un homme et
que le HPV (le virus
responsable de la
plupart des cancers
du col de l'utérus)
peut aussi se
propager par des
femmes-femmes
sexuelle contacter. La
recherche suggère
également que de
nombreux
professionnels de la
santé ne savent pas
que les lesbiennes
peuvent développer
la maladie.
>>>GOchez ton gynéco
!
Hazel Henderson,
l'auteur de la
dernière étude, a
déclaré: "Il n'y a
aucune preuve que
les lesbiennes sont
moins à risque de
cancer du col utérin
que leurs homologues
hétérosexuels. Mais
les lesbiennes sont
moins susceptibles
que les femmes
hétérosexuelles
d'effectuer chez
leur gynécologues
des visites de
contrôle
(v.
photo, frottis)
régulières pour le
dépistage du col de
l'utérus, comme
elles et de leurs
conseillers médicaux
parfois, à tort,
penser qu'ils ont un
faible risque de
développer un cancer
du col de l'utérus.
(...)
"Le personnel
médical doivent
éduquer les femmes
homosexuelles sur le
risque potentiel de
cancer du col de
l'utérus pour
s'assurer qu'il n'y
a plus aucune
ambiguïté quant à la
nécessité pour le
dépistage du col de
l'utérus dans les
lesbiennes."
Ruth Hunt, chef de Stonewall de la
politique et de la
recherche, a déjà
entrepris des
recherches sur la
santé des lesbiennes
et a dit qu'elle
était "profondément
préoccupé" sur le
nombre de ces femmes
disparues frottis.
Elle a ajouté: «Plus
inquiétant
cependant, c'est
qu'une sur cinq
lesbiennes et
bisexuelles ne sont
pas les femmes qui
ont eu un frottis du
col de l'utérus,
car il a été dit, à
tort, par les
professionnels de la
santé qu'elles ne
sont pas à
risque.(...) 15%
n'ont jamais eu un
frottis du col de
l'utérus test.
Article
complet en VO
:
www.pinknews.co.uk/news/articles/2005-11582.html
"Aides Attitude" la
campagne de
prévention de Aides,
du 15/11 au 31/12
À l’occasion de la
Journée mondiale de
lutte contre le
sida, l’association
Aides lance sa
campagne de
prévention «Aides
Attitude» sous le
mot d'ordre:
«Se protéger, c'est
être libre d'aimer.»
www.aides.org
De
nouvelles directives pour conseiller les
médecins irlandais sur la manière de
traiter leurs patients G & L
-
Source PinkNews 28/11/2008
Le
Collège des Irlandais général du
praticien (ICGP) a lancé un guide
complet des questions lesbiennes, gays
et bisexuels à l'usage des médecins
généralistes cette semaine.
Le document, rédigé par le GLEN (réseau
pour 'égalité G & L) est intitulé
"Patients lesbiennes, gays et bisexuels
: Les enjeux pour la pratique générale."
Odhrán Allen, Directeur de la
Stratégie en matière de santé mentale à
Glen, a déclaré: -«Grâce à la publication de ce
document, le ICGP ont fait preuve
d'engagement professionnel et de
leadership en veillant à ce que la santé
et le bien-être des besoins des gais et
lesbiennes les patients sont pris en
charge par les médecins généralistes
irlandais." Dr Margaret O 'Riordan, GP et
directeur de la formation à la ICGP dit
qu'elle travaille en partenariat avec
Glen au cours des deux dernières années
pour tenir compte de gais et de
lesbiennes en questions GP de formation.
- "Il est d'une grande importance
pour nous de fournir des lesbiennes,
gays et personnes bisexuelles accessible
avec un service approprié et, dit-elle.
(...)Suite
de l'article en VO :
www.pinknews.co.uk/news/articles/2005-9708.html
....avec
Notice de montage ? maquettes Aviation (Humour T2T :))
L'ILGA nous informe
: Présentation de la brochure
"Patientes
Lesbiennes ?" (en français)
Patientes Lesbiennes ? Quelles pistes pour vous
permettre de mieux les connaître.
Le
groupe suisse Santé PluriELLE vient de
publier un document destiné aux gynécologues
et autres professionnels de la santé,
concernant les principaux aspects spécifiques de
la santé sexuelle des lesbiennes. Le document
s'inspire largement de la brochure "L 1bis"
de l'association française Le CRIPS. Voici
un exemple positif
de coopération trans-nationale entre deux
organisations. (...)
VISIBILITÉ/INVISIBILITÉ
On estime qu’environ 5% des femmes ont des
relations sexuelles avec d’autres femmes. Il y a
donc forcément un certain nombre de lesbiennes
parmi la clientèle de chaque cabinet médical.
Cette population est très diverse. Elle se
compose de femmes de tous âges, origines et
classes sociales, avec ou sans enfant, vivant en
couple ou pas. On ne peut donc pas deviner à
priori qui est lesbienne ou bisexuelle et qui ne
l’est pas.
La plupart de ces femmes trouvent important que
leur médecin connaisse leur orientation
sexuelle, mais beaucoup ne se déclarent pas, de
peur que cela n’affecte négativement la manière
dont elles seront soignées ou parce que les
médecins présument souvent que toutes leurs
clientes sont hétérosexuelles, ce qui influence
la manière de mener les consultations En utilisant des formulaires de présentation
offrant la possibilité de déclarer son
orientation sexuelle, un langage inclusif et en
assurant que ces renseignements seront traités
avec respect et confidentialité, vous pouvez
créer un climat de confiance et favoriser le
dialogue avec vos patientes lesbiennes et
bisexuelles.
LES ADOLESCENTES
L’adolescence est une période d’extrême
vulnérabilité, durant laquelle les jeunes femmes
s’interrogent sur leur orientation sexuelle.
C’est le moment où certaines prennent conscience
de leur homosexualité, d’autres l’ont identifiée
plus tôt et sont amenées à vouloir la vivre
sexuellement. La honte et la culpabilité
vécues par de nombreuses jeunes homosexuelles
les conduisent à vivre cette période dans le
secret et dans une grande solitude. Les jeunes
de leur âge, y compris les ami-e-s proches sont
rarement des interlocuteurs/trices possibles. Il
est essentiel qu’elles puissent rencontrer des
personnes qui les aident à vivre ce passage.
Vous pouvez être l’une d’entre elles. Certaines
jeunes filles homosexuelles ressentent un
sentiment de culpabilité et d’anormalité qui
peut conduire à des comportements à risques
(rapports hétérosexuels non protégés,
utilisation de produits psychotropes, tentatives
de suicide,…). 53% des filles déclarant une attirance
homosexuelle contre 43% pour les filles attirées
uniquement par l’autre sexe déclarent boire au
moins une fois par semaine. 26% contre 18%
disent avoir consommé d’autres drogues (ecstasy,
cocaïne, crack, héroïne, LSD, hallucinogènes et
amphétamines) que le tabac et le cannabis. 54%
des femmes attirées par le même sexe ont eu des
pensées suicidaires (contre 30% pour les femmes
attirées exclusivement par l’autre sexe) et 25%
(contre 9%) ont fait des tentatives de
suicide(1).
Il est fréquent que les débuts de la vie
sexuelle des jeunes lesbiennes soient
hétérosexuels (pour faire comme tout le monde ou
pour se rassurer sur son orientation sexuelle).
Il est donc nécessaire de l’évoquer et de les
sensibiliser à l’utilisation de contraceptifs et
à la prévention des IST. L’immense majorité (53%-99%) des femmes
homosexuelles ont eu au moins une fois un
rapport sexuel avec un homme, souvent au début
de leur vie sexuelle. Un certain nombre d’entre
elles (21%-30%) continuent à en avoir par la
suite(2,3)LES JEUNES FEMMES
C’est une période où la majorité d’entre elles a
une sexualité active. C’est souvent une période
riche en rencontres amicales, amoureuses et
sexuelles mais aussi le moment où elles vivent
des déceptions et des ruptures affectives qui
peuvent avoir un impact sur leur santé physique
ou mentale.
Les problèmes gynécologiques sont les mêmes que
pour les autres femmes de leur âge: la
contraception pour celles d’entre elles qui
ont aussi des relations sexuelles avec des
hommes et le désir d’enfant pour
certaines.
En Suisse, comme vous le savez, la procréation
médicalement assistée est réservée aux couples
hétérosexuels souffrant de stérilité. Ce n’est
pas le cas dans d’autres pays d’Europe où
l’insémination avec donneur de femmes
homosexuelles ou célibataires est autorisée.
Pour celles qui souhaitent s’orienter vers
d’autres méthodes (insémination artisanale avec
le sperme d’un partenaire connu, rapport
hétérosexuel occasionnel), il est important de
les rendrent attentives aux risques de
contamination par les IST.
LES CINQUANTENAIRES ET PLUS
Un grand nombre de lesbiennes de cette tranche
d’âge vit en couple. La solidité des réseaux
amicaux joue un rôle important pour bien vivre
cette période de la vie. C’est le moment pour
certaines femmes de vivre une homosexualité
après un long vécu hétérosexuel. Si pour
certaines ce passage se fait sans trop de
difficultés, il peut aussi être difficile à
vivre et amener des comportements à risques
amplifiés par le rejet familial.
Des problèmes de libido peuvent
s’observer comme chez tous les couples qui
vivent ensemble depuis longtemps. En parler au
sein de son couple n’est pas simple. Pouvoir en
parler avec son médecin devrait être possible.
Il est à noter que beaucoup de lesbiennes n’ont
pas d’enfants et peuvent présenter d’autres
facteurs de risque pour le cancer du sein
(consommation d’alcool et de tabac notamment).
RISQUES D’INFECTIONS ET SAFER SEX
Les femmes ayant eu au moins un rapport
homosexuel rapportent un nombre de partenaires
plus élevé (en moyenne 3,7 partenaires femmes et
14,1 partenaires hommes) que celles n’ayant eut
que des rapports hétérosexuels (4,1 partenaires
hommes en moyenne) et 12% d’entre elles disent
avoir contracté une IST dans les 5 dernières
années (contre 3% chez les hétérosexuelles). La
prévalence de l’infection à Chlamydia tracomatis
est plus élevée parmi les femmes ayant eu des
rapports homosexuels (3). Les infections par le
HPV sont présentes chez 13% des femmes n’ayant
jamais eu de relation sexuelle avec un homme2.
Les vaginites bactériennes sont également plus
fréquentes chez les lesbiennes (31,4%) que chez
les hétérosexuelles (16%). Les échanges de
sécrétions vaginales lors de frottements mutuels
du clitoris, le partage d’objets sexuels et le
contact oro-génital pourraient être à l’origine
de cette infection(4). Il est à noter que parmi
les femmes ayant aussi des relations avec des
hommes, nombreuses sont celles qui ont des
rapports non protégés(3).
Ce n’est pas l’identité, mais les pratiques
effectives qui permettent d’évaluer les risques.
Lors de pénétration vaginale, anale ou de
partage de sex toys, l’utilisation de
préservatifs masculins ou féminins permet
d’éviter les contaminations par voie sexuelle.
Pour le cunnilingus ou l’anulingus, on peut se
protéger grâce à une digue dentaire, un
préservatif découpé ou du film alimentaire (sauf
celui pour le micro-onde qui est poreux).
Références:(1) LHOMOND B, MICHAELS S,
LEVINSON S et MAILLOUX M ; Jeunes et sexualité :
rapport présenté à la Direction Générale de la
Santé, Ministère des Affaires sociales et au
Ministère de la Jeunesse et des Sports ; 2003
(2) MARRAZZO J. , KOUTSKY L., KIVIAT N, KUYPERS
J. et STINE K., Papanicolaou test screening and
prevalence of genital human papillomavirus among
women who have sex with women; American Journal
of Public Health, 2001, Vol. 91(6): 947-952 (www.lesbianstd.com
)
(3) BAJOS N. et BOZON M. (Dir.), Enquête sur la
sexualité en France : pratiques, genre et santé,
La Découverte, Paris, 2008(4) BAILEY J.,
FARQUHAR C. et OWEN C., Bacterial vaginosis in
lesbians and bisexual women; Sexually
Transmitted Diseases, 2004, Vol. 31 (11):
691-694
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Retour Enfants de lesbiennes "risque" en raison de donneurs de sperme trop prolifiques Source PinkNews.co.uk 10/10/2008
Un agent de santé publique en Australie du Sud a mis en garde que l'État en matière de don de sperme qui pourrait mettre les enfants de certaines lesbiennes en danger d'inceste (entre eux).
À l'heure actuelle, seulement les couples hétérosexuels et les personnes à risque de transmettre un grave défaut peuvent accéder à des traitements de fertilité. Cela a conduit certaines femmes à utiliser des moyens non officiels. Il ya eu un rapport concernant d'un homme dont le sperme a été utilisé sur 30 femmes lesbiennes, dont les enfants maintenant sont socialisés ensemble. Sauf si ils sont conscients de leur parenté, il est à craindre certaines d'entre elles pourraient commettre l'inceste. Dutney Professeur associé, un ancien président du Conseil sur les techniques de reproduction en Australie du Sud, a déclaré l'état de la réglementation, doivent être réformées. - "L'effet de nos réglementations en SA est qu'ils produisent des donateurs non réglementée conception, alors que d'un système avec un briquet toucher serait une beaucoup plus les parents et les enfants dans la lumière", at-il dit à l'Adelaide Advertiser. "
La situation à l'heure actuelle, c'est que ... en adhérant à la législation SA, les cliniques doivent être en violation du code national. "En vertu de la législation SA, l'anonymat est garanti alors que dans le cadre du code national d'éthique, l'enfant l'accès à la connaissance doit être fournie."
Le document a cité un autre cas d'un homme qui a engendré 29 enfants.
voir aussi :Insémination "artisanale" Mode d'emploi!
"DISCRIMINATIONS
ET
VISIBILITE
DES
FEMMES
DANS
LA
LUTTE
CONTRE
LE
VIH/SIDA"
MERCREDI
15
OCTOBRE
2008
DE
16H
Á
20H
à
l'Assemblée
Nationale
126,
rue
de
l'Université
75007
Paris
[RÉSERVATION
OBLIGATOIRE.
VEUILLEZ
VOUS
MUNIR
D'UNE
PIÈCE
D'IDENTITÉ]
COMMUNIQUé
ACT UP
Communiqué
de
presse
- du
09 octobre 2008
Aujourd'hui,
plus
de
la
moitié
des
personnes
vivant
avec
le
VIH
dans
le
monde
sont
des
femmes.
Dans
ce
contexte
de
féminisation
de
l'épidémie
VIH/SIDA
et
du
fait
de
la
persistance
de
l'invisibilité
des
femmes
séropositives
et
de
leurs
spécificités
dans
la
lutte
contre
le
sida,
il
est
essentiel
d'informer
et
de
mobiliser
les
politiques,
de
rassembler
les
associations
et
de
donner
la
parole
aux
femmes
vivant
avec
le
VIH.
Presque
un
an
après
le
Colloque
«
Femmes
et
VIH,
où
en
sommes
nous
10
ans
après
? »
organisé
par
17
associations
de
lutte
contre
le
sida
et
pour
les
droit
des
femmes,
l'inter-associatif
et
le
Groupe
d'études
sur
le
sida
à
l'Assemblée
Nationale
présidé
par
Marie-George
Buffet
invitent
les
députés,
les
femmes
vivant
avec
le
VIH,
les
associations
et
la
presse
à
une
rencontre
à
l'Assemblée
nationale,
le
15
octobre
prochain
à
partir
de
16h
(programme
ci-dessous
et
ci-joint).
Au
cours
de
la
journée
du
1er
décembre
2007,
les
participantes
au
Colloque
ont
en
effet
émis
des
propositions
et
des
revendications
qu'elles
veulent
voir
aboutir.
Suite
à la
sortie
des
Actes
du
Colloque
,
l'inter-associatif
porte
la
parole
de
ces
femmes
auprès
des
actrices
et
acteurs
politiques
afin
que
leurs
revendications
soient
entendues.
Les
questions
de
discriminations
et
de
visibilité
des
femmes
dans
le
combat
contre
le
VIH
seront
le
fil
conducteur
des
débats
qui
s'organiseront
autour
de
trois
tables
rondes,
chacune
traitant
d'une
thématique
spécifique
:
-
La
place
des
femmes
aujourd'hui
dans
la
recherche
: la
réalité
des
données
scientifiques
sur
les
traitements
au
féminin
/
les
essais
qui
traitent
de
leurs
effets
secondaires
/
les
spécificités
des
femmes
comme
enjeux
de
la
recherche.
-
La
prévention
: la
prévention
au
regard
des
données
épidémiologiques
/
l'éducation
à la
sexualité
des
jeunes
/ le
manque
d'outils
de
prévention.
-
Les
droits
sociaux
: la
situation
de
précarité
des
femmes
/ le
droit
aux
soins
/ le
droit
à la
maternité
/ la
prise
en
charge
(ALD,
CMU,
AME,
les
franchises)
/ le
droit
d'asile
sanitaire
pour
les
femmes
étrangères
vivant
en
France.
ENQUÊTE ANGLAISE
:
GRAVES LACUNES & DISCRIMINATIONS DES MéDECINS ET PERSONNELS DE SANTé
ENVERS LES FEMMES LESBIENNES & BISEXUELLES !
Une
étude
basée
sur
un
vaste
sondage
accuse
le
NHS
(National
Health
Service)
de
ne
pas
prendre
en
compte
les
femmes
lesbiennes
et
bisexuelles
Source
PinkNews
18/06/2008
par
Jane
Rochstad
Lim.
Mettre l'accent sur la santé des femmes, l'étude a posé des questions en ce qui concerne les Contrôles de Santé, Drogue, Tabagisme, Alcool et Obésité. Mais le NHS a omis de fournir les soins adéquats et informations nécessaires concernant les femmes lesbiennes et bisexuelles, c'est ce que montre une enquête plus récente. "Prescription for Change" est une étude conjointe réalisée par "l'égalité GAY" et " l'Organisation Stonewall" de l'Université de De Montfort. C'est
la plus importante du genre réalisée en dehors des États-Unis et a impliqué plus de 6000 entretiens avec des femmes lesbiennes et bisexuelles.
Elle a également fait ressortir qu'au Royaume-Uni, les médecins et personnels de santé manquent de connaissances concernant les lesbiennes et femmes bisexuelles ainsi que les pratiques sexuelles pour lesquelles ils ne peuvent fournir des informations pertinentes et satisfaisantes au sujet de l'orientation sexuelle de ces patients. Ces conditions discriminent les femmes lesbiennes et bisexuelles, elles demeurent avec des souffrances et des affections souvent, pas du tout ou mal diagnostiquées.
"Les Lesbiennes et les Gays contribuables participent également aux financement des 60 000 postes du NHS (National Health Service)", a déclaré le Directeur général de Stonewall, Ben Summerskill. "Pourtant, nous avons la nette impression que les "Gays" sont exclus de la santé sexuelle, et leurs leurs besoins spécifiques en matière de santé sont presque invisibles." Le rapport indique que seulement 49% des personnes interrogées ne déclarent pas leur sexualité à leur médecin de famille, de craintes de faire l'objet de discrimination. (...)
Une personne sur dix L & B a déclaré avoir été soit ignorée soit complètement rejetée par les médecins et personnels de santé après avoir précisé leur appartenance sexuelle.
- "Les personnels de Santé ont continué à me considérer hétérosexuelle et à poser des questions inappropriées au sujet de mes relations», a déclaré Maya, du Sud-Ouest. «J'ai souvent donné des conférences sur la sexualité sans risque et la prévention de la grossesse, sans avoir aucune chance de dormir avec un homme."
- Morgan, 37 du Nord-Ouest a déclaré: «Au cours d'une interview à propos de mon muscle plancher pelvien, j'ai dit à une physiothérapeute que j'ai utilisé un gode et elle a refusé de me parler après ça!"
Et même lorsque nous sommes sont acceptées, les personnels de santé ne semblent pas en savoir beaucoup sur le mode de vie des lesbiennes et des femmes bisexuelles. Abigail de Londres n'a pas été surprises par le manque de réponses de son infirmière à ce sujet.
- "Je lui ai demandé si les rapports sexuels avec pénétration avec des "toys" (godes.. ) était risqué et pouvaient provoquer des cancers du col de l'utérus ou quel était le facteur de risque par rapport à la pénétration par un pénis. Elle n'a pas eu d'idée», dit-elle.
4% des femmes lesbiennes et bisexuelles femmes ont été informées par les personnels de santé qu'elles n'ont pas besoin de test pour les infections sexuellement transmissibles. Toutefois, un quart des 6000 répondants a été testé positif pour une infection sexuellement transmissible.
Une personne sur cinq L & B a dit n'avoir pas pas besoin d'un frottis. Et plus révoltant encore 37000 lesbiennes et bisexuelles ont été refusées pour un frottis, même si elles ont demandé un. Ces informations trompeuses ont conduit une sur cinq L & B qui n'ont pas eu de frottis à penser qu'elles n'ont pas de risque de cancer du col de l'utérus.
Non seulement le système de santé du mal à comprendre les besoins physiques des femmes lesbiennes et bisexuelles mais leur état de santé psychique a également été gravement négligé. L'année dernière 5 % des L & B déclarent avoir attenté à leur propre vie ; sur ces tentatives de suicide 16 % des femmes de moins de 20 ans et une personne sur cinq L & B l'a fait en avalant des comprimés.
MIND, Le mental health charity, donne à penser que 20% de la population en général a un trouble de l'alimentation. L'Etude de Stonewall suggère toutefois qu'une sur cinq des L & B ont été informés de leur prédisposition à une forme de trouble de l'alimentation. 7 %de ceux qui auraient ces troubles ont eu de l'Anorexie maintenant ou dans le passé. Conformément à l'esprit, seulement 1 %de la population en général a été diagnostiqué Anorexique. L'enquête donne à penser que cette négligence est également due au manque d'éducation et de discrimination des comportements des Médecins et Personnels de Santé.
Toutefois, l'enquête a révélé que les L & B sont en meilleure forme physique que les femmes hétérosexuelles.26% font cependant de l'embonpoint, comparativement à 32% des femmes hétérosexuelles. Deux tiers des femmes L & B ont fumé, comparativement à la moitié des femmes en général.
Neuf sur dix des femmes L & B lesbiennes boivent de l'alcool, et40% d'entre elles boivent trois fois par semaine, comparativement à un quart des femmes en général. Ils sont également cinq fois plus susceptibles d'avoir consommé des drogues; un sur dix ont pris la cocaïne, comparativement à 3 pour cent sur les femmes hétérosexuelles. Il y a eu également des plaintes du fait le service public a omis de fournir des services inclusifs pour ces femmes.
Orla de Londres parle de son expérience: «Je suis allée chez mon médecin pour une maladie liée au stress en précisant combien le coming-out dans ma famille m'avait bouleversée. Il a finit par me répondre que sa sœur avait fait la même chose récemment et il m'a dit "Nous avons toujours été révoltés par elle"… Sans même avoir conscience de sa réaction et de l'impact ces paroles ont eu sur moi"
Un quart des femmes lesbiennes et des bisexuelles ont connu la violence familiale, et un sur vingt cinq ont dit qu'ils avaient subi des menaces de mort. 13 % des L & B affirment également qu'elles ont été effrayés ou blessés. Malgré ces menaces, huit sur dix qui ont fait l'expérience de la violence familiale n'ont jamais signalé l'incident à la police. Sur celle qui l'ont fait, seule la moitié a été satisfait de la façon dont la police traite de leur situation.
Afin de corriger cette injustice, l'enquête recommande au NHS devrait donner une formation obligatoire et régulière à l'ensemble de ses Personnels de Santé et que les institutions devraient cesser de faire l'hypothèse que toutes les femmes sont hétérosexuelle. Il devrait y avoir une plus grande visibilité de soutien pour ces groupes, afin de les aider à se sentir comme faisant partie de la société et où elles pourront obtenir de l'aide.
Selon de Tola de Londres, il suffit de mettre en place des affiches et des tracts "gay-friendly dans les hôpitaux et les cabinets GP et des informations sur les lesbiennes, les gais et les bisexuels, des services "spécifiques" pourraient faire une différence.
Sur les 6000 personnes qui ont été interrogés, 81% des répondants ont dit qu'elles étaient lesbiennes, et 16 % Bisexuelles. 85% vivaient en Angleterre, 9% en Écosse et 5% au Pays de Galles. 82% des répondants sont de couleur blanche et britannique, et le reste issu de minorités ethniques. L'enquête a également porté sur un large éventail de données démographiques; le plus jeune répondant ayant 14 ans et l'aînée 84."
Sida Info
Service
ouvre un
nouvel
espace
Internet
pour les
séropos
Source e-llico
mars2008
Tous ceux
qui sont
concernés
par la
séropositivité
au VIH
trouveront
des
informations
sur la
maladie et
les
pathologies
associées,
les
traitements
bien sûr,
mais aussi
la vie avec
le VIH, la
sexualité,
les droits,
l’actualité...
(...) La
rubrique «
Près de chez
moi » permet
de découvrir
les
ressources
locales :
les
associations
et les lieux
de
convivialité
et
d’échanges
ouverts à
tous ceux
qui vivent
avec le VIH.
Chaque mois,
une
interview
diffusée sur
le site
présente ces
lieux de
proximité.
Plus d'infos
:
www.sida-info-service.org
VIH : des tests rapides expérimentés avant la fin de l'année... Une expérimentation des tests de dépistage rapide du VIH/sida, faits par des non-médecins, devrait pouvoir être menée vers la fin de l'année, selon les indications fournies conjointement par Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, et l'association Aides. (...)
Hépatite C : identification d'une protéine bloquant le virus
L'identification par des chercheurs français d'une protéine qui bloque le virus de l'hépatite C à une étape précoce de son développement ouvre de nouvelles perspectives de mise au point de thérapies visant à empêcher le virus d'entrer dans les cellules du foie. Des chercheurs de l'Institut de Biologie de Lille (CNRS/Universités Lille 1 et 2/Institut Pasteur de Lille) en collaboration avec des chercheurs de l'Inserm et d'un laboratoire américain de l'université de Stanford, ont mis en évidence une protéine capable de bloquer le virus de l'hépatite C à une étape précoce de son cycle infectieux. (...)
L'hépatite C, contre laquelle il n'existe pas de vaccin préventif, touche environ 130 millions de personnes à travers le monde. En France, avec quelque 5.000 nouveaux cas par an, on estime qu'un demi-million de personnes pourraient être atteintes par cette infection.
L'infection par ce virus (le VHC) est le plus souvent chronique (60 à 80 % des cas) et peut conduire à long terme au développement d'une cirrhose et d'un cancer du foie. Les traitements actuels ont une efficacité limitée (40% d'échec environ) et présentent des effets secondaires non négligeables. D'où l'importance de trouver de nouvelles molécules antivirales.Source e-llico.com 02/04/2008 www.e-llico.com
Il ne faut pas croire
certaines légendes. Les
lesbiennes ne sont pas
immunisées contre les
infections sexuellement
transmissibles (IST).
Source tetu.com 21/12/2008
Photo Web - T2T Humour Noir
:))
Une étude réalisée par
le Dr Saskia E. Wieringa
de l'Université
d'Amsterdam, sur la
santé des lesbiennes,
souligne que leur
sexualité implique le
même niveau de risques
que la sexualité avec
des hommes, notamment
concernant les MST
(maladies sexuellement
transmissibles) ou les
IST comme l'herpès ou
les condylomes.
L'enquête indique aussi
que les lesbiennes sont
peu informées des
risques de
contamination, elles
consultent donc moins de
spécialistes de la
santé, ce qui explique
le peu de cas dénombrés.
La chercheuse Saskia E.
Wieringa, déplore le
silence qui entoure la
sexualité des lesbiennes
et les rendent
invisibles. La
spécificité de leur
sexualité reste encore
méconnue des corps
médicaux qui s'imaginent
que les lesbiennes
seraient immunisées de
toute MST ou IST, dont
le VIH. Le document
rappelle les rapports à
risques tels que le
tribadisme (frottement
des parties génitales),
le sexe oral, l'échange
de sex-toys sans
protection ou encore
l'éjaculation féminine.
Santé des
Lesbiennes...
Endométriose, la
méconnue...
(douleurs
pelviennes,
dysménorrhées,
hématuries,
infertilité...
CONSULTEZ !)
TEE-SHIRT
"Back Away From My
Uterus
"L’endométriose est une
affection gynécologique
fréquente et complexe.
Non seulement elle
perturbe le bien-être
physique mais en plus
elle peut avoir des
conséquences
psychologiques et peser
sérieusement sur la
relation avec le
(ou la :))
partenaire. On estime que 10 à
15% des femmes en âge de
procréer et près de la
moitié des femmes
infertiles en sont
atteintes. L’un des
problèmes tient au fait
qu’une endométriose peut
se manifester par des
symptômes très divers.
Dans certains cas, ce
sont les douleurs qui
prédominent, dans
d’autres cas la maladie
provoque une
infertilité, des
perturbations d’autres
organes (par exemple
urinaires ou
intestinales) ou bien
elle engendre lentement
et progressivement des
lésions des organes
internes, en restant
totalement méconnue. La
diversité des
manifestations cliniques
explique certainement le
fait que l’endométriose
n’est souvent découverte
qu’au bout de plusieurs
années. Or, pour que
le traitement soit
efficace et couronné de
succès, il faut
impérativement poser le
diagnostic correctement
et précocement.
"(...)On ignore toujours
pourquoi une
endométriose apparaît.
Le risque est augmenté
quand les règles durent
longtemps ou les cycles
sont raccourcis.
Cependant, il existe
aussi des facteurs
génétiques et des
toxiques de
l’environnement, comme
par exemple la dioxine,
qui prédisposent à
l’endométriose. (...)suite
:
www.endometriose.ch/fr/index.htm
1er décembre 2007 -
Journée Mondiale de
lutte contre le SIDA
chaîne
de solidarité du
Sidaction
À l’occasion de la
dix-neuvième Journée
mondiale de lutte contre
le sida, Sidaction
renforce son dispositif
de sensibilisation et de
prévention sur le sida
auprès des jeunes.
Ce dispositif comprend
l’opération “Pour la
vie”: Information et
prévention en direction
des jeunes, un quizz
concours "Le sida et
toi", le sondage “Les
jeunes face au sida”
(selon lequel 81 % des
15-24 ans ont peur du
sida, mais 19% d'entre
eux n'utilisent pas
systématiquement un
préservatif avec un
nouveau partenaire).
Une chaîne de solidarité
est également organisée
dans 8 villes en France,
en solidarité avec tous
les malades du sida.
Rendez-vous à 15h à
Bordeaux, Caen, Lille,
Lyon, Paris, Reims et
Toulouse, et à 13h à
Marseille.
Consultez le point de
rendez-vous sur
Lien officiel :
www.sidaction.org
Cette année encore
COMIN-G
organise une opération
d'information et de
prévention en
collaboration avec les
restaurants
administratifs AGRAF et
invite les
MINISTERES ECONOMIQUE ET
FINANCIER à
participer à cette
journéemondialede
sensibilisation....
Homo
Boulot
Santé des
femmes lesbiennes et bisexuelles Quelles
différences avec les hétérosexuelles ?
05/10/2007
ILGA
"En elle-même,
l’orientation sexuelle n’a d’influence
directe ni sur le cancer ni sur aucune
autre maladie.
Toutefois, la double discrimination
fondée sur le genre et l’orientation
sexuelle peut avoir des effets
significatifs sur le bien-être mental et
physique, ou encore empêcher certaines
femmes de demander l’aide des
professionnels de santé. C’est parce que leurs spécificités sont
particulièrement méconnues ou ignorées,
même par les femmes concernées, que
l’ILGA a publié en 2006, en anglais le
rapport “Lesbian and bisexual women’s
health: common concerns, local issues”.
Grâce au soutien de la Fondation Belge
contre le Cancer ainsi qu’au partenariat
avec l’association belge Tels Quels, et
l'association française Centre LGBT
Paris IDF, ce même rapport est
maintenant disponible en français:
«La santé des femmes lesbiennes et
bisexuelles: questions locales,
préoccupations communes».
*(...)
..........................................................................................................................................................................
Retour Santé
des lesbiennes et bisexuelles: que
fait-on en France?
source TC
03/12/200
"L'Ilga a publié la version française de
son rapport sur la santé mentale et
physique des lesbiennes et bisexuelles.
Un ouvrage présenté au Centre LGBT de
Paris-Ile-de-France, samedi 1er
décembre, à l'occasion de la Journée
mondiale de lutte contre le sida. Le
rapport relève la double discrimination
dont sont victimes les lesbiennes et
bisexuelles -être femme et
non-hétérosexuelle-, et les
répercussions sur leur santé
psychologique et physique, parmi
lesquelles figurent les violences au
sein du couple. Enfin, le bilan déplore
que «les lesbiennes et bisexuelles sont
invisibles dans le monde de la
recherche» et appelle à une coordination
internationale pour diffuser les
informations."
Lors de la présentation du rapport de
l'Ilga
(voir ci-dessus) au centre LGBT de
Paris-Île-de-France, les responsables
associatives françaises ont fait avec
«Têtu» le point sur la santé des
lesbiennes et bisexuelles.
L'Association internationale gay et
lesbienne (Ilga) a publié la version
française de son rapport sur la santé
mentale et physique des lesbiennes et
bisexuelles*. Un ouvrage présenté au
Centre LGBT de Paris-Île-de-France,
samedi 1er décembre, à l'occasion de la
Journée mondiale de lutte contre le
sida. Le rapport relève la double
discrimination dont sont victimes les
lesbiennes et bisexuelles –être femme et
non-hétérosexuelle–, et les
répercussions sur leur santé
psychologique et physique, parmi
lesquelles figurent les violences au
sein du couple. Le bilan déplore que
«les lesbiennes et bisexuelles [soient]
invisibles dans le monde de la
recherche» et appelle à une coordination
internationale pour diffuser les
informations. Enfin, un chapitre recense
les bailleurs de fonds qui soutiennent
des initiatives en faveur des lesbiennes
et bisexuelles. Ainsi, quatre femmes engagées dans la
santé des lesbiennes et bisexuelles
donnent leur avis sur le guide et la
santé des lesbiennes et bisexuelles:
Patricia Curzi, la coordinatrice du
Projet Femmes à l'Ilga, Coraline
Delabarre, du Kiosque Info Sida,
Christine Le Doaré, présidente du Centre
lesbien, gay, bi et trans de Paris
Île-de-France et Jocelyne Fildard,
présidente de la Coordination des
lesbiennes de France.Créer un réseau de solidarité
international entre femmes. Patricia
Curzi, la coordinatrice du Projet Femmes
à l'Ilga, explique comment elle a
appréhendé cette recherche. «Ce qui
résulte de ce guide, c'est que les
prestataires de services ne savent rien
des lesbiennes et bisexuelles. Il y a
donc urgence à intégrer leurs
problématiques dans le travail des
fondations généralistes, comme celles
qui s'occupent par exemple du cancer
chez les femmes. Il y aurait ainsi une
étendue plus vaste de l'information qui
toucherait plus de lesbiennes et
bisexuelles. Parmi les initiatives, il
faut ensuite donner une visibilité au
travail des associations rassemblé sur
une plateforme consultable sur internet.
Ainsi, on créerait alors un réseau de
solidarité international où les
associations pourraient partager leurs
expériences et travailler davantage en
coordination. Tous mes préjugés sont
tombés lorsque je me suis rendue compte
du travail percutant réalisé au Costa
Rica, au Nigeria ou aux Philippines. Le
simple fait de parler des initiatives
des lesbiennes et bisexuelles les rend
visibles. Or la visibilité donne
davantage de droits.»
Former le corps médical à la spécificité
de la santé lesbienne. Coraline Delabarre s'occupe de prévention au
Kiosque Info Sida. «La priorité, c'est
de former les professionnels de la santé
à la spécificité de la sexualité des
lesbiennes. Pourquoi certains
gynécologues ne font-il pas de frottis à
leur patiente sous prétexte qu'elle est
lesbienne? Ensuite on doit aider les
lesbiennes et bisexuelles à avoir
davantage d'estime de soi. C'est
primordial pour qu'elles prennent soin
d'elles et augmentent ainsi leurs
compétences psycho-sociales.
Le problème
de l'invisibilité des lesbiennes se pose
même dans les associations homos. Au
Kiosque par exemple, on dépend des
subventions des pouvoirs publics qui
financent par exemple la lutte contre le
VIH chez les gays. Les problèmes des
lesbiennes ne font pas partie des
priorités des pouvoirs publics, donc
nous avons peu de moyens pour agir… Mais
au moins, ce guide condense toutes les
problématiques liées à la santé des
lesbiennes et bisexuelles. C'est un tour
d'horizon sur les actions à une échelle
internationale.»
Intégrer les problématiques lesbiennes
et bisexuelles dans les campagnes de
prévention nationales. Christine Le
Doaré, présidente du Centre lesbien,
gay, bi et trans de Paris Île-de-France.
«Les autorités et les ministères
devraient prendre en charge les
questions relatives à la santé des
lesbiennes et bisexuelles pour les
rendre accessibles aux lycées et
universités. Ensuite, il faudrait une
formation spéciale du milieu médical aux
problématiques des lesbiennes. En effet,
ces femmes sont de plus en plus
nombreuses à venir au Centre pour
demander les coordonnées de gynécologues
sans préjugés sur l'homosexualité. On
finit par leur constituer un carnet
d'adresses pour qu'elles ne souffrent
plus d'homophobie lors de leurs
consultations. L'avantage de ce guide,
c'est qu'il aborde la santé globale des
lesbiennes et des bisexuelles, en
parlant de leur relation avec leur
gynéco ou leur psy, mais aussi des
risques de cancers du sein ou de
l'utérus. On a d'abord besoin de groupes
non-mixtes pour libérer la parole des
lesbiennes. Ensuite, une confrontation
est nécessaire pour que leurs
problématiques soient inclues parmi les
revendications des gays peu réceptifs
pour le moment. C'est important pour
qu'elles ne restent pas isolées, sinon,
elles demeurent invisibles.»
Appuyer nos revendications sur des
documents officiels. Jocelyne Fildard,
de la Coordination des lesbiennes de
France. «Un travail officiel comme celui
de Paul Hunt, le rapporteur spécial sur
le Droit à la santé à l'ONU, nous donne
l'appui nécessaire pour faire entendre
nos revendications. Nous continuons
de faire pression auprès de nos
institutions pour inclure les lesbiennes
et bisexuelles dans toute documentation
sur la santé des femmes. Des campagnes
nationales orientées vers les femmes
lesbiennes et bisexuelles leur
donneraient une image positive
d'elles-mêmes pour oser se dire
lesbiennes ou bi, autant dans leur vie
privée qu'auprès de professionnels de la
santé. Nous poursuivons notre travail
d'information sur des sujets comme les
violences à l'égard des lesbiennes qui
cumule la honte d'être victime et la
culpabilité de ne pas être conforme à ce
qu'attendrait la société, parce qu'on
est lesbienne. Les conséquences sont
lourdes.»
SIDACTION 2007 Continuons à être
solidaires face au sida !
SXSanté Les 23, 24 et 25 mars prochain,
Sidaction organise comme tous les ans
trois journées de collecte, de
sensibilisation et de mobilisation
contre le sida. Les partenaires
historiques de l’association – TF1,
France 2, France 3, France 4, France 5,
RFO, Canal +, Arte, M6, Europe 1, France
Inter, France Info, France Bleu, LCI,
Pink TV et RTL – réaffirmeront leur
fidélité à l’association en organisant
avec elle le Sidaction 2007. Plus de 110
animations seront organisées partout en
France afin de collecter des fonds et
informer le public sur les risques du
Sida. Rejoignez cette formidable chaîne
de solidarité !
Faites votre dons en ligne :
www.sidaction.org
Luttons tous ensemble contre l’épidémie
qui continue toujours à tuer : 1 mort
toutes les 7 secondes...
voir aussi :
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Atelier Safe-Sex
pour les lesbiennes ...
Ateliers et discussions
santé-sexualités-lesbiennes, les 17 et
18 mars 2007 avec l'atelier Gouixx:
«Réduction des risques pour les gouines
et celles qui font du sexe avec des
femmes».
Et soyez rassurée, l'ambiance sera
détendue et plutôt ludique. Rendez-vous: Le samedi 17 mars à 15h à la Maison
des Femmes, au 163 rue de Charenton,
75012 Paris – M° Reuilly Diderot.
et Le dimanche 18 mars à 13h au CGL, 3, rue
Keller, 75011 Paris – M° Bastille ou
Voltaire.
N'oubliez pas de vous inscrire au
préalable à cette adresse:lesbinome@no-log.org Et pour celles qui veulent en savoir
encore plus, la discussion se poursuivra
autour de la question «Comment
s'organiser entre lesbiennes ? Histoires
passées et à venir...».
C'est le
dimanche 18 mars à 18h30 au CGL.
>>>voir
SeXSanté
.........................................................................................................................................................................
Retour Sexe ou Quoi ?
BISEXUALITÉ :
Le
double amour ?
"Ils tombent amoureux, se
sentent attirés ou ont des
relations sexuelles avec les
personnes des deux sexes.
Si la bisexualité est un
phénomène plutôt méconnu,
elle est bel et bien une
réalité pour certaines
personnes. Le point alors
que le Collectif Arc-en-ciel
célèbre actuellement les
lesbiennes, gays, bisexuels
et « transgenres » (LGBT).
"...
suite
Dossier L'EXPRESS :
www.lexpress.mu/display_news_dimanche.php?news_id=87168
BISEXUALITÉ : Réaction d'ARIANAS-LA-FURYNX
10/02/2007
suite à l'actu-people concernant la bisexualité de Britney Spears
Petite
précision : Bisexuel veut
dire, capacité d'un individu
à aimer indifféremment un
homme aussi bien qu'une
femme, cela est possible à
notre époque. Ce qui est
beaucoup plus source de
malaise, c'est surtout de
vouloir le vivre en
même temps !
Je suis Bisexuelle
1) Je suis mariée et
j'ai une relation
adultère mais avec
une fille ça ne
compte pas !
2) Je rêve d'une
relation à trois
avec une fille, mais
après elle se casse
chez elle !
3) Je ne pense qu'au
cul et ma
bisexualité est en
fait très proche de
l'orgie-pornographico-zoophile
avec ou sans cocaïne
pour les
acteurs-chanteurs
trop fragiles qui
commencent à nous
les briser menu avec
leur conneries au
lieu d'aller faire
de l'humanitaire,
comme tout le monde
!
4) Dans le meilleur
des cas, je peux
être amoureuse des
deux sexes,
traduction :
pour le moment c'est
toi ma louloutte,
mais
j'enchaînerai avec
mon loulou dans un
second temps, on
reste copines ?
5) Je suis une
grosse égoïste qui
ne pense qu'à
m'envoyer en l'air !
*
Le problème avec notre sexualité,
c'est qu'il existe toujours, et qu'il serait
bon enfin de le dénoncer, une grande confusion dans l'esprit des
gens, entre la sexualité des
couples homosexuels qui réclament
l'égalité légitime de leurs droits eut
égard à leur sentiment amoureux, et
l'autre face de la sexualité pour
la sexualité....
Non démentie lors des défilés de nos
turbulentes GayPride, la vision
d'une sexualitédébridée
et provocatrice, alimente une
juxtaposition malvenue de l'image
pornographique(*) avec celle de
l'homosexualité en général. Du reste, les jeux sexuels
hétérosexuels où se
mélangent les genres (mais où est
la limite entre l'émotion et le sexe ?)
d'une sexualité trop permissive,
accentuent cet amalgame, à l'instar des
circuits saunas-back- rooms-échangistes,
et sont vite catégorisés comme milieux
dépravés, malsains, dégradants, engagés
dans une "logique morbide" et plus
très éloignés pour le coup, des lieux de
drogue et prostitution... et
en effet, ce lien existe bel et bien,
pourquoi le nier.
Par ailleurs il n'y a pas si longtemps
encore lorsqu'on tapait sur nos claviers
les mots "Gay" ou "Lesbienne", les
résultats s'étalaient au travers de
nombreux et seuls sites Porno !
ou peut-être faut-il dire que faute de
pouvoir vivre un sentiment homosexuel au
grand jour, il ne restait qu'à vivre une
obscure sexualité (?)
C'est trop facile
d'invoquer une vision "moralisatrice" sans réussir clarifier et
distinguer au sein de notre communauté LGBT des modes de vie très différents
les uns des autres, n'ayant pas les
mêmes objectifs !
Tout
simplement parce que ce problème devient
un terrible obstacle dès lors qu'une
représentation potentiellement négative au sein d'une
société hétérosexuelle, nous prive dans
l'opinion publique du droit à la famille, à
l'adoption, à l'égalité juridique du
terme "Mariage" !
signé
Arianas-la-Furynx, Equipe Tasse de
Thé -
contact:
arianaslafurynx@yahoo.fr
(*) La
pornographie
est la
« représentation
complaisante
de sujets,
de détails
obscènes,
dans une
œuvre
artistique,
littéraire
ou
cinématographique ».
Au
XVIIIe siècle
et au
XIXe siècle,
la
pornographie
désignait
les études
concernant
la
prostitution.
Ce terme est
souvent
connoté
négativement
par son
assimilation
à la
production
de
films
pornographiques,
production
décriée par
ses
opposants
comme une
industrie du
sexe
plus
intéressée
par
l'intérêt
mercantile
que par la
question de
la
représentation
sexuelle.
Ils
rapprochent
la
pornographie
de la
prostitution,
considérant
cette
dernière
comme une
forme d'escalavage
et de
maltraitance
des femmes.
Ils
insistent
ainsi pour
distinguer
clairement
la
représentation
de la
sexualité
(et de la
nudité)
de la
pornographie.
(...)
Source
Wikipedia
Je m'appelle Méline
"Je suis très attachée à la
relativement nouvelle
mouvance hétéro et bi-friendly
du monde gay, à la
multiplication des termes
pour tenter de définir les
différentes préférences
sexuelles, et finalement au
délicieux chaos où tout cela
nous mène...
(...) je ne trouve pas de
grande satisfaction ni à
m'enfermer dans un statut,
une communauté définis, ni à
tenter de définir les causes
de mes penchants.
Il est vrai que ne pas se
définir est parfois très
perturbant. La nature
humaine cherche par essence
à s'inclure dans une
catégorie, et le sentiment
d'appartenance est d'autant
plus recherché que l'on se
sent minoritaire. Mais
aujourd'hui (et ici...), le
besoin de se revendiquer
d'un point de vue politique
comme une "communauté gay"
avec ses droits et son mode
de vie particuliers a, je
crois, de moins en moins de
sens. Il est aujourd'hui
bien plus question d'enfin
"intégrer" vraiment tous les
modes de vie relationnels et
sexuels aux valeurs
communes, avec toutes les
variations de style que cela
implique. Apprendre aux
gens qu'il n'existe pas deux
formes de sexualité, mais
des milliards, ou plus
simplement une par individu.
Jusqu'à présent, oser se
définir sexuellement était
une manière de s'ouvrir des
portes, l'étape suivante
serait de ne plus se définir
pour éviter de s'en
fermer...(...)"
Le sexe ne serait pas fixé à la naissance...
Découverte spectaculaire d'un gène qui pourrait faire changer de sexe facilement Source pinknews.uk.ci 11/12/2009 La découverte de FOXL2, seul gène qui contrôle les sexes pourrait ouvrir la voie à une simplification du traitement des personnes trans. Des chercheurs de l'Institut national de recherches médicales ont découvert que seul un gène empêche les femmes d'un développement homme avec des caractéristiques physiques telles que les poils du visage et les testicules.
L'étude chez la souris adulte a montré que lorsque le gène, appelé FOXL2, a été artificiellement coupé, les ovaires de souris femelles ont commencé à développer dans les testicules et ils ont produit des quantités mâles de testostérone.
Auparavant, on pensait que le sexe était contrôlée par les chromosomes X et les chromosomes Y. Les hommes ont généralement XY, alors que les femmes sont XX. Cette étude réfute le consensus que le sexe est fixé à la naissance et que les embryons sont de sexe féminin à moins qu'ils ne possèdent un mâle gène déterminant. Le document a été publié aujourd'hui dans la revue Cell. Co-auteur Robin Lovell-Badge, a déclaré: «Nous tenons pour acquis que nous maintenons le sexe nous sommes nés avec, notamment si nous avons des testicules ou des ovaires. Mais ce travail montre que l'activité d'un gène unique, FOXL2, c'est tout ce qui empêche les adultes des cellules ovariennes de se transformer en cellules présentes dans les testicules. "
Selon The Independent, il a ajouté: «S'il est possible de faire ces changements chez l'homme adulte, mais éventuellement supprimer la nécessité d'une chirurgie dans le traitement entre les sexes réaffectation. «Il est encore très spéculatif, mais il est possible que cette approche pourrait produire une alternative à la chirurgie et la suppression des gonades - ovaires et les testicules. Il est un peu plus naturel, mais de Bien entendu, tous soumis à un tel changement de sexe seraient stériles. Le professeur Mathias Treier de l'Université de Cologne en Allemagne a décrit les résultats comme "spectaculaire", affirmant que les chercheurs avaient prévu que les souris femelles pour arrêter ovulation.
Bien que l'aspect extérieur de la souris n'a pas changé au cours de l'expérience échelle de temps, dit le Treier cellules ovariennes ont commencé à changer dans les 48 heures après le gène a été éteint. Les testicules ne produisent pas de nouveaux spermatozoïdes mais la présence de testostérone suggère que chez les humains, cela pourrait conduire à des poils du visage, une voix plus grave et a augmenté la masse musculaire.
Bien que les recherches chez l'homme est bien loin, les chercheurs pensent que cela pourrait éventuellement orthographe d'un terme à un long traitement de changement de sexe qui utilise actuellement des hormones. Lovell-Badge dit que des chercheurs tentent maintenant de découvrir si les cellules mâles pourraient être transformées en cellules femelles. D'autres applications possibles des résultats comprennent le traitement de la ménopause précoce chez les femmes.
Article :www.pinknews.co.uk/2009/12/11/gene-discovery-could-make-gender-reassignment-easier/
National Institute for Medical Research de Londres
"Le secret du développement testiculaire réside dans l'interaction de gènes
NIMR scientifiques ont découvert le lien entre les deux gènes qui agissent en synergie pour former les testicules. L'étude, publiée en ligne dans la revue Nature, éclaire sur la façon dont seulement d'une différence génétique unique entre XX (fille) et XY (mâle) des embryons est amplifié, générant éventuellement les énormes différences dans l'anatomie, la physiologie et de comportement entre les sexes.... " www.nimr.mrc.ac.uk/news/2008/sry_sox9/ La régulation des gènes lors de la détermination du sexe
Robin Lovell-Badge - Division de la biologie des cellules souches et génétique du développement... www.nimr.mrc.ac.uk/phd/projects/all/fifteen/ (Articles en VO)
La
sexualité Lesbienne est "bonne"...
pour les femmes !!!
Londres,
Septembre 21 : Tandis que les femmes se
plaignent souvent de l'incapacité de leurs
conjoints à leur faire éprouver l'orgasme
régulièrement, une étude récente indique
que les femmes sont davantage satisfaites
pendant le sexe lesbien... Moins
de 68 % des femmes interrogées déclarent
avoir eu une jouissance pendant leur dernier
ébat hétérosexuel contre 76 % de femmes
ayant fait l'amour avec une autre femme,
rapporte le journal The Sun.
Les chercheurs ont questionné 19.000
personnes à travers l'Australie et ont
blâmé l' égoïsme de ces hommes trop
concentrés sur leur propre plaisir et
laissant leurs femmes souvent "sur leur
faim" (Les réponses comprennent
"stimulation manuelle" et sexe oral...).
Cette étude a été publiée au
journal du Sex Research.(ANI)
Source en VO :
http://news.sawf.org/Lifestyle/21655.aspx
Nouvelle
théorie sur des origines lesbiennes 365Gay
08/05/2006
Les cerveaux des femmes lesbiennes répondent aux
hormones sexuelles différemment des femmes
hétérosexuelles, selon une nouvelle analyse. Les
cerveaux des lesbiennes ont réagi légèrement comme
ceux des hommes hétéros, rapporte une équipe de
chercheurs suédois à la National Academy of
Sciences. Elle trouve cela ajoute le poids à
l'idée que l'homosexualité a peut être déterminée
par un examen médical et soutient que n'est
pas un comportement appris. Les chercheurs ont
également constaté que les similitudes entre la
réponse des lesbiennes et les hommes droits
n'étaient pas aussi fortes qu'entre les hommes
homosexuels et les femmes hétéros. "elle montre que
l'orientation sexuelle peut très bien avoir une base
différente entre hommes et femmes...
ceci n'est pas simplement une situation d'image
miroir" a déclaré Sandra Witelson, expert en
anatomie du cerveau et orientation sexuelle à
Michael G. DeGroote, Ecole de médecine à
l'université de McMaster dans l'Ontario, Canada.
-"la chose importante est d'ouvrir la situation
probable qu'il y a des facteurs biologiques qui
contribuent à l'orientation sexuelle," (..)
L'équipe
de recherche mené par Ivanka Savic à l'institut du
cerveau de Stockholm a comparé les réactions de
cerveau des volontaires qui ont reniflé des produits
chimiques dérivés des hormones masculines et
femelles de sexe. Ces produits chimiques sont pensés
pour être des phéromones -- molécules connues pour
déclencher des réponses telles que la défense et le
sexe chez beaucoup d'animaux.
Source VO :
http://www.365gay.com/Newscon06/05/050806lesborig.htm
GO(quand même) CHEZ TON GYNECO !
Si être Lesbienne dispense de prendre la pilule, cela ne dispense
pas de visites régulières chez votre gynécologue, que bon nombre d'entre
nous ne jugent pas nécessaires. Les statistiques démontrent que les
cancers du seins non diagnostiqués à temps dans la communauté
lesbienne sont en augmentation et révèlent une issue dramatique. Alors Lesbiennes, raisonnables ???
Pour vous
aider, voici un site
(vocal)
"Pas à pas de l'auto
examen des sein" www.examendusein.ca/section1slide2.html"
Quels sont ces
facteurs de risque? • Les
lesbiennes et les femmes bisexuelles consultent
moins les médecins (crainte de réactions
homophobes, utilisation plus rare d’un
traitement contraceptif) et se soumettent plus
rarement à des examens de dépistage
(mammographie ou frottis).
• Suite à des pressions sociales ou familiales,
les femmes lesbiennes et bisexuelles peuvent
parfois se sentir déprimées et prennent alors
moins soin de leur santé.
• Des études ont montré que les lesbiennes et
les femmes bisexuelles sont plus réticentes à
pratiquer régulièrement l’auto examen de leurs
seins.
• En moyenne, les lesbiennes ont moins souvent
un enfant avant l’age de 30 ans, ce qui augmente
le risque de cancer du sein.
• Certaines études indiquent que les lesbiennes
ou les femmes bisexuelles peuvent, à certains
moments, consommer abusivement de l’alcool et du
tabac ce qui augmente les risques de cancer du
sein ou du col utérin.
Source ILGA
http://www.ilga.org/news_results.asp?LanguageID=3&FileID=796&FileCategory=11&ZoneID=14
La Gynéco
attitude !Attitude
encore catastrophique de certain(e)s
gynécologues à l'égard des
homosexuel(le)s
IL FAUT QUE çA CHANGE !!!
"'Ni vue ni connue =
La
relation des lesbiennes aux services
de santé
"
par Irène Demczuk
Sociologue
et membre du comité de coordination
du groupe interdisciplinaire de
recherches et d’études :
Homosexualité & société de l’UQAM
(GIREHS)
-
«J’ai une vie sexuelle active et
n’utilise aucun moyen contraceptif, lui
avais-je répondu en boutade. Ne vous en
faites pas, je ne suis ni ignorante ni
étourdie, il se trouve simplement que
j’ai comme partenaire une femme»"
. Face à ces propos sans détours, ma
nouvelle docteure est devenue nerveuse.
Elle ne cessait de me demander si nous
utilisions un condom, à la manière d’un
vieux disque usé qui s’accroche à la
même chanson. Ses mains tremblaient
légèrement lorsqu’elle m’a examinée.
J’ai pu lire dans ses yeux le dédain
qu’elle avait de mon corps et sans doute
de ma personne.
Son attitude répulsive a eu
raison de ma verve joyeuse
et un malaise s’est installé
entre nous.
Crispée, ma docteure a entrepris un
examen gynécologique avec un spéculum
trop grand ou ajusté trop largement, ce
qui m’a fait grimacer de douleur. Je lui
en ai fait la remarque, mais visiblement
sa préoccupation première semblait être
de ne pas toucher ce corps considéré
pervers. Ses gestes étaient brusques,
son malaise palpable. J’ai résolu de me
taire, espérant en finir le plus
rapidement possible avec cet examen
médical.
Si les lesbiennes ont des problèmes de
santé pour une bonne part similaires à
ceux des femmes hétérosexuelles, leurs
relations aux services de santé sont par
contre différentes. Comme en témoigne
cette anecdote,
les lesbiennes sont
confrontées à des attitudes
et des pratiques teintées de
préjugés et d’ignorance à
leur égard.
Pour cette raison, elles auraient
tendance à moins consulter pour des
examens de routine que leurs consœurs
hétérosexuelles. Une enquête américaine
révèle que 58% des lesbiennes
interrogées n’ont recours aux examens
gynécologiques que lorsqu’elles
détectent un problème. Une autre étude
rapporte que 96% des lesbiennes
interrogées anticipent des situations
qui pourraient leur être dommageables si
elles révélaient leur identité au
personnel médical. Ce rapport malaisé
des lesbiennes aux services de santé
peut se répercuter sur la prévention, le
dépistage et le traitement d’une maladie
(...)"
Suite article www.rqasf.qc.ca/sp/sp08_13.html ......................................................................................................................................................................................... Retour
Photo KM
"Pendant que Kylie Minogue récupère du traitement de
cancer de sein, la publicité entourant son
diagnostic nous rappelle que les lesbiennes sont
toujours un groupe significatif en danger.
RainbowNetwork17/06/05 (...)"Comment
les lesbiennes peuvent-elles se protéger ? Que les
statistiques signifient-elles vraiment ?Comment se
fait-il que des lesbiennes soient plus en danger ?
Si les lesbiennes ont plus de
cancer du sein car elle font partie d'un groupe aux facteurs de risque plus
élevés.
Ces facteurs de risque sont
:
- avoir donné naissance à un enfant, un manque de régime
alimentaire et manque d'exercice, fumer et boire de
l'alcool. En outre, les lesbiennes pratiquent peu l'auto-examen
du sein ou des
mammographies, ce qui signifie que des cancers sont
moins détectés plus tôt et les femmes ont
une chance de survie plus faible. D'ailleurs, les
lesbiennes rendent moins visite à unE gynécoloque en
raison bien sûr du non-usage de prescriptions
anticontraceptives régulières et des soucis
concernant l'homophobie chez certains médecins. Mais
aussi on considérant que les femmes hétéro entreront
en contact avec des fournisseurs de santé quand elles
ont des enfants ou
demandent le contrôle des naissances voilà comment les lesbiennes glissent
ainsi entre les mailles du filet de la prévention-santé
et se trouvent dans un groupe à risque de cancer du
sein
(...)"
.........................................................................................................................................................................................Retour
Source
Article 365Gay 17/06/04
" L'American Society of
Cancer s'engage dans la
prévention de cancers chez les Lesbiennes
Atlanta, Géorgie,
l'American Society of
Cancer a commencé sa
collaboration avec le
projet Mautner,
l'organisation lesbienne
nationale de santé, pour
apprendre comment
améliorer la prévention
des cancers et
soutenir les besoins de
la communauté lesbienne.
Les lesbiennes ont des facteurs de plus
gros risque pour
certains cancers, et il
y a peu d'endroits où nous pouvons trouver l'aide adéquate "
. a dit la directrice exécutve Kathleen DeBold du projet Mautner.
Le
projet de Mautner
est fier d'aider la
société dans sa mission
sincère d'aider toutes
les personnes
à relever les défis du cancer -
indépendamment de leur
orientation sexuelle.
Les études suggèrent que
les lesbiennes sont
exposées à
un plus grand risque
de développer un
cancer de sein et
quelques cancers
gynécologiques. Ce
risque est élevé en
partie parce que
beaucoup de lesbiennes
vont moins effectuer d'examens
gynécologiques
réguliers, de
mammographies et
ne font pas les examens individuels
réguliers des sein,
comparés aux femmes de non-lesbienne.
En outre,
les lesbiennes ont des
taux plus élevés de
facteurs de risque pour
ces cancers comprenant
l'obésité, l'utilisation
d'alcool et de tabac et
le fait qu'elles n'aient
généralement pas eu d'enfants.... "
SIDA :les
femmes au coeur de la crise
Yahoo
Actu 30 novembre 2004
PARIS (AFP) - Le sida, avec plus de 3 millions de
morts en 2004, et près de quarante millions de
personnes infectées, s'affirme comme un fléau
toujours plus ravageur qui frappe un nombre
croissant de femmes dans le monde.
Le préservatif
féminin aura-t-il son heure de gloire?
voir...
SXSanté Les femmes paient le
plus lourd tribut au virus. La prévention veut
désormais promouvoir la capote version féminine,
victime de son manque de notoriété.
"Les femmes représentent aujourd'hui près de la
moitié des 39,4 millions d'adultes séropositifs ou
malades du sida de la planète, selon le rapport
annuel de l'Onusida, le Programme commun des Nations
unies sur le VIH/sida. Pour cette organisation, on
ne peut espérer contrôler l'épidémie "si on ne met
pas les femmes au coeur de la riposte" et si on ne
lutte pas contre les discriminations dont elles sont
trop souvent victimes et qui les empêchent d'accéder
à l'éducation, aux soins et à l'emploi. Dans nombre
de pays, il leur est difficile de refuser des
rapports sexuels à risque ou d'exiger le
préservatif. Pour l'Onusida, il faut également empêcher la
violence à leur égard et leur assurer l'accès à la
propriété et à l'héritage. - "S'il n'y a pas plus de
justice et plus d'équité envers les femmes, on ne
vaincra pas le sida", a déclaré à l'AFP le Dr Peter
Piot, directeur exécutif de l'Onusida." Article
complet :
http://fr.news.yahoo.com/041130/202/45v7u.html
En avril 2004, le
Crips
Ile-de-France
a lancé
L n° 1 " Le
suivi gynécologique des lesbiennes ",
qui sensibilise et informe les lesbiennes sur
l’importance de mettre en place un suivi
gynécologique régulier.
le Crips Ile-de-France
présente "L"
un site de prévention
pour les lesbiennes www.lecrips.net/L
L n° 4 :
"Drogues si L consomme"
est en ligne depuis le
1er mars 2006
Le Crips Ile-de-France présente l’avant dernier
numéro de "L ", série de dépliants en direction des
lesbiennes, sur l’usage de drogues (tabac, alcool,
cannabis, cocaïne, ecstasy, GHB…). Il présente des
conseils, des informations pour une consommation
moins risquée pour sa propre santé et celle des
autres. Ce document s’adresse aux lesbiennes qui
souhaitent simplement s’informer, à celles qui
peuvent être amenées à consommer dans un futur
proche, ou à celles qui consomment déjà.La loi, le contexte, les polyusages, la sexualité et
le safer sexe lors d’une consommation de produits,
l’après consommation, l’usage de drogues pendant la
grossesse y sont abordés. En supplément de L n° 4,
nous vous proposons des liens vers d’autres sites
internet, des contacts avec des associations, des
témoignages
L n° 2 : " Pratiques sexuelles et
risques d’IST (Infections
sexuellement transmissibles) chez
les lesbiennes "
Le Crips
Ile-de-France informe les
lesbiennes sur les risques encourus
lors de relations sexuelles. L n°
2 présente les IST les plus
courantes, les modes de
transmission, le dépistage, les
traitements ainsi que les outils de
prévention qui peuvent être mis en
place pour une sexualité à moindre
risque. En supplément de L n°2, le
Crips Ile-de-France propose de
nouveaux témoignages de lesbiennes,
" XX " un jeu pour mieux
communiquer avec sa partenaire sur
la vie en couple et la sexualité
ainsi que le mode d’emploi des
digues dentaires.
Contacts : Clotilde Genon :
cgenon@lecrips.net
ou 01 56 80 33 11
..........................................................................................................................................................................
Retour
VA
COURIR !..
"La dépense
énergétique liée à un sport dépend de l’intensité de
l’effort et de sa durée....
Ainsi, pour 1 heure d’activité : La course à pied permet de dépenser :
600 à 1500 kcal
Le vélo et le football : 300 à 1000 kcal
Le tennis, la natation ou le ski : 200 à 400 kcal
La marche rapide : 100 à 400 kcal
La marche lente : 50 à 100 kcal...
L’important n’est pas de comptabiliser le plus de
calories dépensées mais de pratiquer régulièrement une
activité physique, l’idéal étant l’équivalent d’1/2
heure de marche rapide par jour.
La pratique régulière d'une activité sportive
associée à une alimentation équilibrée fait aujourd'hui
partie intégrante de notre hygiène de vie quotidienne et
joue un rôle prépondérant dans le cas de certaines
pathologies chez l'enfant et l'adulte. "
Galien, médecin romain, disait :
« les femmes gaies guérissent plus
vite que les femmes tristes ».Une affirmation que ne démentent pas
nombre de thérapeutes pour qui le
rire est un véritable médicament !
Le rire est devenu une affaire
sérieuse en 1979, date de la
sortie d’un livre qui a fait date :
« La Volonté de guérir », de Norman
Cousins (Robert Laffont). Atteint
d'une terrible maladie des
vertèbres, la spondylarthrite
ankylosante, ce journaliste attirait
l'attention de la communauté
médicale en décrivant comment il
s'en était sorti : en visionnant
dans sa chambre les films des Marx
Brothers. Explications : le rire est un
véritable jogging intérieur.
Le
cœur se met à battre aussi vite que
lors d'un 100 mètres et les poumons
rejettent alors d'énormes quantités
d'air. La circulation sanguine
s’accélère, augmentant l’élimination
des toxines accumulées. La digestion
est boostée par les contractions
abdominales. La tension nerveuse
s’évacue.
Le corps cède ensuite
irrésistiblement à une détente
bienfaisante et régénératrice. C’est
l’effet des endorphines, ces
morphines naturelles sécrétées par
le cerveau lorsque nous rions de bon
cœur. En même temps, le rythme
cardiaque se ralentit, le calibre
des vaisseaux sanguins augmente et
la pression artérielle diminue.
En bref, le rire fait baisser
l'hypertension, améliore la
digestion et garantit un sommeil
paisible…
Vous avez
l’impression que le monde vous
surveille, à l'affût du moindre de
vos défauts ? "Alors improvisez !Un rire improvisé.
Dans les ateliers du
Jogging du rire, on rit de notre ego
qui produit des mécanismes rigides,
inadaptés à la vie. "L'improvisation
est une manière de piéger la
logique. En la franchissant, en la
dupant, on entre dans l'imaginaire
et dans sa créativité ». Chacun
improvise à tour de rôle des
attitudes reprises par l’ensemble
des participants. Inattention des
uns, peur du ridicule des autres…,
les situations cocasses s'enchaînent
et les rires fusent.
Une prise de conscience. Se
mettre ainsi en jeu, s'exposer,
provoque des prises de conscience.
"On projette bien souvent sur son
entourage le regard sévère qu'on se
réserve".. Au-delà d'un état
jubilatoire, elle balise le chemin
vers «l'enfant intérieur » et sa
spontanéité.
La
mesure scientifique des effets
positifs du rire sur le système
immunitaire 26
mars 2001 - On connaît depuis
longtemps l'effet bénéfique de la
bonne humeur sur le processus de
guérison. Au 18e siècle, Voltaire
commit même un petit aphorisme qu'on
cite encore : « L'art de la
médecine consiste à amuser le
patient pendant que la nature guérit
la maladie ».
Au
cours du XXe siècle, c'est à
l'américain Norman Cousins, qui
s'est guéri d'une maladie réputée
incurable en visionnant des films
comiques, qu'on doit la création
d'un véritable intérêt scientifique
pour la question. Aujourd'hui, il
est de plus connu et reconnu que le
rire et la bonne humeur ont des
effets positifs sur la santé et il
existe plusieurs dizaines de
recherches sur divers aspects de ce
phénomène. Aucune recherche n'avait
cependant étudié systématiquement
l'effet du rire sur les différents
types de cellules du système
immunitaire. Une recherche récente
vient combler partiellement cette
lacune.
L'objectif de la recherche était
carrément de mesurer l'effet d'un
bon rire joyeux sur divers
paramètres neuroimmunologiques comme
le nombre et l'activité des cellules
tueuses naturelles (NK), les
leucocytes, les cellules T, B,
l'interféron gamma, et les
lymphocytes, granulocytes et autres
monocytes, toutes cellules et
substances utilisées pour combattre
les maladies. La méthode : le
visionnement d'un vidéo comique
durant une heure et l'analyse
d'échantillons sanguins pris 10
minutes avant le visionnement, à
mi-chemin du visionnement, puis 30
minutes et 12 heures après. les
sujets : 52 étudiants en médecine,
tous volontaires.
Les
résultats semblent sans équivoque :
on a mesuré une activité accrue des
cellules tueuses naturelles, et une
augmentation significative des
immunoglobulines G, A et M, des
cellules T et de la plupart des
autres paramètres analysés. Certains
effets étaient encore clairement
mesurables plus de 12 heures après
la visionnement, comme le nombre
d'immunoglobulines, de leucocytes et
la quantité d'interféron gamma, une
substance impliquée dans la
régulation du système immunitaire.
La
conclusion : l'effet du rire en tant
que stress positif sur les
paramètres neuroimmunitaires peut
avoir des effets bénéfiques sur
l'état de bien-être et cette « rigolo-thérapie"
pourrait être utilisée comme méthode
complémentaire dans une approche de
médecine intégrée. Autrement dit, le
rire est une très bonne façon de
stimuler son système immunitaire et
devrait faire partie des saines et
élémentaires habitudes de vie.
Berk LS, Felten DL, Tan SA, Bittman
BB, Westengard
"...Le
rire a des effets immédiat contre le
stress.
Il déclenche la sécrétion
d’endorphine, hormone qui diminue ou
élimine complètement la douleur.
Rire est un exercice musculaire
presque complet. Pour le coeur, rire
aux éclats produit la même chose que
faire du jogging. Rire nettoie les
voies respiratoires (l’air y circule
jusqu’à 104 km/heure!). On peut même
faire cesser une crise d’asthme en
faisant rire la personne. La crise
s’arrête complètement. Ça vaut la
peine d’essayer si on a un enfant
asthmatique. C’est aussi un bon
exercice de rééducation respiratoire
pour ceux qui souffrent d’emphysème.
Le rire aide à la digestion, on
devrait toujours rire après un
repas. Ça aide aussi à éliminer, au
niveau du foie et des intestins. Le
système immunitaire est stimulé par
le rire, la détente, le jeu, qui
nous gardent en ambiance positive.
Des cellules qui s’attaquent aux
cellules virales et cancérigènes
sont directement stimulées.
Tout le système cardio-vasculaire
bénéficie de notre rire. Le taux de
cholestérol, ainsi que la pression
artérielle diminuent, et cela
prévient le durcissement des
artères. Dans tous les domaines
médicaux, on remarque que les
personnes déprimées sont plus
sujettes à l’infection. (...)
Sachons reconnaître les saboteurs du
rire: la gène, la peur..., les
prophètes de malheurs, les gens
négatifs, etc. Pour unir les membre
d’un groupe, le rire est extrêmement
bénéfique. Ainsi, il est bon
d’apprendre à rire en famille pour
renforcer les liens.... on peut le
faire tout le temps, c’est un remède
naturel et un atout immunitaire
important. C’est gratuit et tout le
monde est capable."
Le
rire contredit l'adage :"Tout ce qui
te fait du bien est soit illicite,
soit immoral, soit fait grossir !"
>>> Les Lesbophonies
..........................................................................................................................................................................
Retour HONEY PLEASE,
DON'T SMOKE !
Le Tabagisme
féminin : une "catastrophe sanitaire annoncée",
selon les épidémiologistes
Article du Monde
03.06.04 Les cancers du poumon seront aussi nombreux que ceux
du sein en 2025.
Le tabagisme n'est plus l'apanage des hommes. Depuis la
fin des années 1960, la proportion de fumeuses
régulières (plus de dix cigarettes par jour) est passée
de 10 % à 26 % tandis que celle des fumeurs réguliers a
baissé de 45 % à 35 %. Ce rapprochement des
comportements hommes-femmes dans la consommation du
tabac est particulièrement frappante chez les jeunes :
entre 18 et 24 ans, les filles fument presque autant que
les garçons
(30 % contre 35 %).
Photo GayVox
Face à
cette augmentation du tabagisme féminin,
les épidémiologistes n'hésitent pas à parler de
"catastrophe sanitaire annoncée". Si, pour
l'heure, les 66 000 morts attribuables chaque
année au tabac correspondent à 59 000 décès chez
les hommes et 7 000 chez les femmes, ces
chiffres risquent de considérablement évoluer
dans les années à venir. Parce que les femmes se
sont mises à fumer plus tard que les hommes et
qu'il s'écoule environ trente ans entre le
moment où une fraction de la population commence
à fumer régulièrement et le moment où les
conséquences sur la santé deviennent
détectables, "l'épidémie liée au tabagisme chez
les femmes françaises n'en est qu'à ses débuts",
soulignent Catherine Hill et Agnès Laplanche,
épidémiologistes à l'Institut Gustave-Roussy
(Villejuif) dans une étude publiée en mai 2003.
Stop-Tabac
Alors que chez les hommes la
mortalité par cancer du poumon
commence à se stabiliser, "en
2025, on observera vraisemblablement
autant de décès féminins par cancer
du poumon que par cancer du sein",
préviennent les chercheuses.
"Dans nos services, nous constatons
une féminisation importante de la
pathologie liée au tabac",
témoigne le professeur de
pneumologie Bertrand Dautzenberg.
Finalement, les hommes ont fini
par réduire leur consommation de
tabac parce qu'ils voient autour
d'eux la réalité de la mortalité
masculine liée à ce comportement,
alors que les femmes, du fait du
décalage dans le temps, n'ont pas
encore intégré que ce désastre
sanitaire pouvait aussi les toucher.
La progression du tabagisme féminin
est allée de pair avec
l'émancipation des femmes et a été
soutenue par le marketing des
cigarettiers.
Accessoire de séduction dans les
années 1960-1970, puis lancement de
la cigarette "légère" donnant la
fausse impression de consommer un
produit moins dangereux, les
publicitaires ont eu l'art de
toujours associer la cigarette à des
images de femmes belles, minces,
séductrices et indépendantes.
Résultat : "La peur de la prise de
poids représente un frein majeur à
l'arrêt du tabagisme, davantage chez
les femmes que chez les hommes",
souligne le professeur
Dautzenberg.Néanmoins, les dernières
enquêtes sur l'impact de la "guerre
contre le tabac", lancée depuis un
an par le gouvernement dans le cadre
du plan de lutte contre le cancer,
laissent entrevoir un changement
d'attitude.
Alors que les femmes et les jeunes
constituaient depuis plusieurs
années les populations les plus
résistantes à la baisse de la
consommation tabagique, l'enquête
réalisée fin 2003 par Ipsos à la
demande de l'Institut national de
prévention et d'éducation pour la
santé (Inpes) montre que la
prévalence du tabagisme baisse de 18
% chez les femmes et les jeunes,
contre 7 % chez les hommes.
Ainsi, les femmes seraient plus
sensibles que les hommes aux
messages sanitaires alarmants
désormais inscrits sur les paquets
de cigarettes et à l'augmentation
massive du prix du tabac. Parce que
les femmes qui fument aujourd'hui
ont pour la plupart moins de
quarante ans, il est possible
d'espérer que la "catastrophe
sanitaire" envisagée par les
épidémiologistes soit moindre si
l'impact des mesures antitabac
perdure. En effet, différentes
études montrent clairement que plus
l'arrêt du tabac intervient tôt
moins le risque de cancer du poumon
est grand. En revanche, si le
tabagisme féminin continue sur la
même pente que depuis trente ans, la
cigarette deviendra un élément
essentiel du moindre écart
d'espérance de vie entre les hommes
et les femmes.
Sandrine Blanchard / LE MONDE
02.06.04
Petite histoire :LE TABAC
Plante originaire d'Amérique, elle contient un
alcaloïde psychoactif "la nicotine" du nom du
diplomate français Jean NICOT qui l'introduisit
à la cour de France en 1560. Sous l'effet de
cette substance se développe chez les fumeurs
une dépendance accrue : le tabagisme. LES MECANISMES
DU PIEGE
Une dépendance comportementale se met d'abord en
place en raison de l'aspect convivial que
suscite le tabac ainsi que de la pression
sociale. Une dépendance psychologique
interviendra ensuite après une courte période
d'initiation. Les notions de détente,
apaisement, stimulation intellectuelle étant
recherchées, la consommation grimpera sous
l'effet de la nicotine et dès 5 à 6 cigarettes
par jour sournoisement mais immanquablement se
profilera le tabagisme. Celui-ci se traduit par
une dépendance physique accrue résultant de
plusieurs années de consommation. Un phénomène
de manque la caractérise. Psychologiquement,
c'est l'angoisse, l'irritabilité, l'anxiété,
l'insomnie ou la tension en cas de rupture
d'approvisionnement. Physiologiquement, on note
hyper-sudation et tremblement, comme besoin
irrésistible d'en " regriller une ". LES EFFETS SUR
LA SANTE
Ils sont bien identifiés et depuis 10 ans ce
sont 56000 à 60000 de nos concitoyens qui
succombent directement des effets de la maladie.
Les raisons sont que le tabac augmente les
risques de cancers : poumons, voies aéro-digestives
supérieures, vessie… les maladies
cardio-vasculaires, thromboses, infarctus… les
maladies respiratoires chroniques : asthme,
bronchites...
Lire aussi : le best seller "La
méthode simple pour en finir avec la cigarette" Arrêter de fumer en fait c'est facile !
de Allen Carr (guide poche)
"Vous êtes fumeur ? Vous souhaitez arrêter ?
Alors n'hésitez pas une seule seconde et foncez
sur ce livre. La méthode de l'auteur est basée
sur le fait de considérer le fumeur comme un
toxicomane et l'aider ainsi à se "
déconditionner ". Si vous lisez ce livre, comme
le dit l'auteur " ce que vous risquez de pire...
est d'arrêter de fumer "!
Mot de l'éditeur : La solution qu'attendent tous
ceux qui veulent arrêter de fumer :
- Elle est instantanée,
- aussi efficace avec les " grands " fumeurs
qu'avec les " petits ".
- Elle ne provoque aucune angoisse par manque de
cigarettes.
- Elle ne requiert aucune volonté particulière.
- Elle n'a rien d'un traitement de choc,
- n'entraîne aucun gain de poids
- et elle est définitive.
GayVox.com Mise
en ligne le 03.06.04 ......................................................................................................................................................................................... Retour
La ligne d'écoute de
SOS Homophobie
est ouverte 7 jours sur 7
depuis
le 02/01/03
Ligne d'écoute anonyme 01.48.06.42.41 (lun au ven
de 20 à 22h)
BP 177 75 523 PARIS Cedex 11
www.sos-homophobie.org
-
contact :sos@sos-homophobie.org LIGNE AZUR
Tél : 0 801 20 30 40
du lundi au samedi de 17 à 21 h
(coût appel local) questions Homosexualité
Le Refuge
a été
créé, en 2003, pour agir contre l’isolement
et le suicide des adolescent(e)s et des jeunes
majeur(e)s gays et lesbiennes
Contact : 06 31 59 69 50
L'association AIR-Libre
http://air-libre.org
Association
d'Interventions, de Recherche et de Lutte
contre les violences dans les relations
lesbiennes et à l'égard des lesbienne
- la violence conjugale ou
domestique chez les lesbiennes ;
- et les violences et la lesbophobie
à l'égard des lesbiennes
LA CROIX-ROUGE Croix-Rouge Ecoute
est un service d'aide et de soutien
psychologique par téléphone créé en
1988.Ce service généraliste -
anonyme et gratuit - propose un travail
d'accompagnement de toutes formes de
détresse : conflits familiaux, états de
dépendance, solitudes, violences…
Tél : 0800 858 858
Une équipe pluridisciplinaire de
personnes qualifiées est à l'écoute de
tout individu en difficulté pour
entendre, aider à comprendre,
dédramatiser une situation
conflictuelle, renouer le dialogue,
orienter vers une solution, une
institution ou un service spécialisé. Le
nombre d'appels de personnes souffrant
de troubles psychiques s'accroît et
prédomine, reflétant une réalité sociale
aggravée par le chômage, la précarité,
l'exclusion, l'isolement.
L'entretien peut être poursuivi et
approfondi au cours de plusieurs appels.
Le nombre de "rappelants" est en hausse
constante, témoignant de ce besoin de
relations "suivies".(...)
www.croix-rouge.fr/goto/actions/ecoute
ASSOCIATION
LAURE CHARPENTIER SOS Alcool
Femmes
"Seule association de femmes à l'écoute des femmes malades de
l'alcool" http://perso.wanadoo.fr/alcoofem
A.P.G.
Association Psy Gay
BP 347 75968 Paris Cedex 20 - Tel : 01 30 39 29 52
www.psygay.org
Dr Gay Conseils psychologiques en ligne
Ce service, financé par l’ASS, répond à toute question
(identité, santé, amour,...) en lien avec l’homosexualité.
Service en allemand et en français:
www.drgay.ch
ESPAS (Service Gratuit d'Aide Psychologique)
Tél :
01.42.72.64.86
Paris
Aujourd'hui en France, le SIDA tue : 800
personnes en sont mortes en 2001. Ce n'est
pas une maladie chronique. Pourtant la pandémie
a disparu de l'espace public, les malades sont
invisibles, les associations de lutte contre le
SIDA ne sont plus entendues. Les pouvoirs
publics n'assurent toujours pas leurs missions
alors qu'ils savent l'imminence d'une 2ème vague
de contamination aussi importante que celle du
début des années 90 !
Un nombre croissant de personnes séropositives
ne découvrent leur sérologie qu'au moment de
leur entrée dans la maladie, alors que 10 à 20%
des homosexuels parisiens vivent avec le VIH
(estimation d'un CDAG parisien). De plus, une
nouvelle souche du VIH, résistante aux
traitements et se propageant plus rapidement par
voie sexuelle, vient d'apparaître en Europe. Ce
renversement épidémiologique est effrayant..
UNE REMOBILISATION GÉNÉRALE S'IMPOSE DANS LA
COMMUNAUTÉ LESBIENNE, GAIE, BI ET TRANS En souvenir des 32 000 personnes mortes du
SIDA en France et des millions de disparus à
travers le monde depuis le début de
l'épidémie... cette maladie qui nous concerne
toutes et tous.
Le Kiosque Info Sida
est une
association de prévention et de lutte contre le sida à
l'esprit résolument ouvert, relais du corps médical, institutionnel
et associatif. Proche d'un large public, notre but est de nous
adapter au cas par cas, pour écouter, informer, orienter.
Le Kiosque Infos Sida Toxicomanie 36 rue Geoffroy l'Asnier
75004 PARIS
M° St-Paul/Pont Marie - Tél: 01 44 78 00 00 - Fax: 01 48 04 95
20
www.lekiosque.org/accueil.php
SIDACTION Continuons à être solidaires face au sida !
Sidaction organise comme tous les ans trois journées de
collecte, de sensibilisation et de mobilisation contre le sida.
www.sidaction.org
"Les lesbiennes
sortent de l’ombre - Fini les stéréotypes, les
lesbiennes sont aujourd’hui élégantes et féminines,
elles vivent pleinement leur homosexualité. Mais dans
une société qui rejette les "hors norme", il n’est pas
toujours facile d’assumer pleinement ses différences. De
la culture à l’amour saphique...."Suite article
www.doctissimo.fr/html/sexualite/dossiers/homosexualite/lesbienne-lesbianisme.htm