Au
Bonheur des Psy
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FLASH INFOS .......................................................................................................................................................... |
Les couples Lesbiens et l'argent
((:Tasse
de Thé a sélectionné et s'est très librement inspiré
d'articles cités en ligne qui traitent de ce
mystérieux
sujet:)) |
Comment
les couples de "filles" gèrent-ils leurs
finances?
Les bons comptes font les bonnes amantes?
Compte commun ou pas? Qui paye le loyer? Les
courses? Qui tient les cordons de la bourse?
"Tous les couples
installés se posent un jour la question du
partage des dépenses. Et les couples
Lesbiens n'y échappent pas! Au-delà d'une
simple comptabilité, l'argent incarne
l'harmonie du couple, souligne l'envie de
pouvoir de l'une ou le désir d'indépendance
de l'autre. "
Extrait
Librement adapté de L'article complet
(version Gay)
sur
Tetu mag n°169
- Septembre 2011
La suite d'une belle
rencontre et le fameux "vivre ensemble".
Chez
les lesbiennes c'est bien connu, l'engagement à vie, intervient juste après
la première nuit d'amour :)
Comment devenir
Lesbienne?
En route donc pour un long chemin à
deux qui est aussi
une aventure économique... En dehors du coût de la
vie, les sorties, les spectacles, les
voyages, les escapades... ont un
prix et,
particulièrement chez nous les lesbiennes,
moins habituées au "pouvoir économique masculin"
et à la fantaisie spontanée en vigueur
chez nos amis les Gays ! Ainsi, les vieux démons du féminismes
ressurgiraient-ils jusques dans les
chaumières goudouxes ? Oui,
Si l'on considère que pour la plupart
des femmes l'argent reste synonyme de
sécurité.
Les lesbiennes, aux
tendances souvent fusionnelles, doivent
donc
s'interroger sur
l'espace entre Sécurité et Indépendance,
et il est urgent de regarder en face ce
tabou ultrasensible et de se poser les bonnes
questions.
Par ailleurs cela suppose également que
l'une des deux partenaires soit " hébergée"
chez l'autre, avec tout ce que cela
signifie... (Sans parler de deux femmes
dans une cuisine :)))
.
"L'argent
est révélateur du fonctionnement affectif au sein du couple
(PSY)
Se placer position de dépendance ou en
position de maternance ? On donne ou
on retient, on se donne ou on se retient...
Notre relation à l’argent est tellement
intimement liée à notre agressivité qu’elle
se mêle de toutes nos relations d’amour.
Quand ils parlent de familles, les
thérapeutes de couple utilisent aussi le
sigle PME petite ou moyenne entreprise. «
corbeille de mariage » , d’« héritage »
désignent ce que chacun apporte de sa
famille d’origine mais on y dépose aussi les
angoisses et les difficultés de nos parents
», souligne Irène Kaganski
*.
Les « Un sou est
un sou » que l’on a parfois entendus pendant
des années, les souvenirs d’un père
flambeur, d’un oncle qui nous couvrait de
cadeaux, d’une grand-mère qui remettait
précieusement des étrennes. Des tirelires,
des comptes d’épargne…, tout cela marque à
vie. Quand on forme une famille, on crée un
patrimoine que l’on transmettra un jour.
Mieux vaut en parler au début. Sans
mélanger forcément séparation de biens et
banqueroute affective."
Extrait citation tiznit75-06/04/2007
*Irène
KAGANSKI, Psychiatre, thérapeute familiale,
co-auteur de "ça ne nous regarde pas" 2009
et de "Trop de poids, trop de quoi ? "...
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L’une
des raisons principales des séparations est
aussi l’argent, ne prenez donc pas cet
aspect à la légère!
Comment déceler des sources potentielles
de conflits reliées à l’aspect financier du
couple avant que celles-ci ne se déclarent?
Voici quelques points sur lesquels vous
devriez vous pencher sérieusement avant de
faire le saut et décider de partager votre
vie avec quelqu’un, ou bien que vous pouvez
utiliser pour rectifier le tir. C’est long
une vie!
Observez
Prenez le temps d’observer la relation qu’a
votre future meilleure moitié avec l’argent.
Tient-elle ses comptes? Dépense-t-elle plus
qu’elle ne gagne? Planifie-t-elle ses
dépenses? En bref, a-t-elle un budget? Si
votre conjoint gère bien ses finances
maintenant qu’il est célibataire il y a gros
à parier que son comportement restera le
même. Par contre, si ce n’est pas le cas
vous risquez d’avoir de gros problèmes par
la suite. Lorsque l’on combine deux vies,
deux façons de voir les choses, deux
habitudes de dépenses en une seule, il faut
un plan visant à assurer que les deux
parties restent sur la même page et
continuent d’être heureux.
Mettez un plan en place
Établissez un plan à deux, et entendez-vous.
Il est facile de décider quoi acheter et
quand, que ce soit pour idée vacances, les
plaisirs personnels de chacun, ou bien
encore de décider de faire des rénovations
ou d’acheter une piscine qui profitera à
toutes les deux. Travaillez ensemble, cela
vous évitera les mauvaises surprises. Un
plan est particulièrement utile quand le
couple est formé d’une cigale et d’une
fourmi. Généralement les opposés s’attirent
et cette combinaison est fréquente. Grâce à
un plan, chacun d’entre vous peut répondre
raisonnablement à ses propres besoins sans
écraser ceux de l’autre. Savoir où vous en
êtes financièrement signifie que vous pouvez
prendre des décisions éclairées au sujet de
vos dépenses et ce sans vos endetter. Votre
conjointe n’est pas intéressée ou ne veut
pas s’impliquer? Attention, cette situation
ne fera que s’aggraver à la longue.
Impliquez l’autre
Il arrive souvent qu’une seule personne dans
le couple se trouve à la barre et assume
seule le quotidien des finances. C’est
toujours la même qui paye les factures,
révise les primes d’assurance, décide de la
façon d’investir dans les REER, détermine
combien (ou si) mettre dans les REEE, paye
les taxes, etc … Cela arrive naturellement.
Le problème est que lorsqu’une personne dans
le couple est exclue d’une tâche qui devrait
être commune, ou encore évite la
responsabilité, cela signifie que l’autre
reste seul à gérer le tout. Ça peut résulter
en l’un des deux qui prend le contrôle sans
considération des besoins de l’autre, ou
encore celui qui se retrouve à tout assumer
peut ressentir un sentiment d’injustice.
Dans un couple, chacune des partenaires
devrait s’impliquer, que ce soit pour les
grandes décisions financières, ou pour la
gestion au jour le jour.
Chacune devrait tenir les comptes, et vous
devriez avoir des conversations régulières
pour être certain d’être sur la même
longueur d’onde. Tenir les comptes devrait
être une tâche partagée, même si cela
demande un effort conjoint. De toute
façon, qui a dit que vivre en couple était
facile dans tout? ; -)
Demandez à tout savoir
Et bien sûr soyez prêt à tout dire! Après
tout cette personne va au quotidien partager
votre vie, votre lit et vous aurez peut-être
même des enfants ensemble. Il n’y a rien
d’indiscret à vouloir connaître le passé
financier de votre conjointe. A-t-elle déjà
fait faillite? A-t-elle des dettes, et si
oui, combien? Et quel est son comportement
actuel vis-à-vis de ses achats? Aussi
étrange que cela puisse être, beaucoup de
gens mentent sur le prix des articles qu’ils
achètent et ce pour éviter les conflits. Si
vous êtes dans cette situation et que vous
ne pouvez pas parler ouvertement de ce que
vous achetez, vous avez un problème. Si vous
pensez que votre partenaire s’opposerait à
la dépense que vous êtes sur le point de
faire, vous devriez l’écoutez! Négocier,
faire des compromis, devrait être une entité
omniprésente de la vie conjointe. On revient
au point précédent, vous devriez avoir un
plan, un budget qui vous permette de
fonctionner tous les deux tout en respectant
les besoins de l’autre.
La communication et le respect sont clefs
au bon développement et au maintien de toute
relation.
Si vous n’êtes pas en mesure
de vous ouvrir à votre partenaire, si vous
ne pouvez pas lui faire confiance ou encore
lui dire la vérité, c’est un signe que vous
n’êtes pas prêt à partager votre vie avec.
Une vérification que vous devriez
absolument faire est de lui demander à voir
sa côte de crédit. Cela vous indiquera
immédiatement s’il y a un problème ou pas.
Il refuse de vous la donner? Il y a anguille
sous roche et vous devriez vous méfier. ...
ce n’est pas
parce que vous êtes en amour que vous
devriez abandonner votre bon sens et faire
confiance aveuglément. ... Si votre future
conjointe a une mauvaise côte de crédit, ce
n’est pas la fin du monde mais sachez que
cela aura des conséquences. Elle
pourrait en fait devenir dépendante de votre
dossier, et vous pourriez finir par devoir
contracter les prêts (et hypothèque) en
votre nom. En fin de compte, vous
pourriez devenir imputable des dettes
communes, donc faites attention!
Vivre en couple est l’une des choses les
plus belles et les plus importantes qui
puissent arriver à quelqu’un. Il faut juste
s’assurer de ne pas transformer le paradis
en enfer,
et rechercher l’harmonie dans
tous les points essentiels d’une relation.
Ces points incluent l’aspect financier;
prenez les devants, préparez, planifiez, et
sachez où vous mettez les pieds. Cela vous
évitera bien des désagréments en cours de
vie… et bien des dépenses aussi."
Librement
adapté de L'article complet
L'article
complet :http://finir-riche.net/Blogue/les-couples-et-l%E2%80%99argent-une-combinaison-a-ne-pas-prendre-a-la-legere/< |
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Couple
et argent: 5 erreurs à éviter...
L'argent est
une des principales sources de conflits dans
le couple. Voici cinq erreurs fréquentes et
des conseils pour les éviter.
1. On met tout notre argent dans un
compte conjoint
En couple depuis trois ans, Marie et
Josianne se préparent à acheter une maison.
Puisqu'elles auront plusieurs paiements
communs, ils se disent que ce serait plus
simple de tout mettre dans un compte
conjoint. Quand on s'aime, on partage tout,
non?
Pourquoi fait-on cette erreur? «L'achat
d'une maison représente un projet et un
désir communs. C'est un engagement à long
terme, un enracinement très symbolique»,
explique le psychologue clinicien Pierre
Faubert. À cette étape de notre vie de
couple, mettre tout notre argent en commun
peut sembler aller de soi.
Ses conséquences: Si on n'a pas la même
façon de gérer l'argent pour nos dépenses
personnelles, cela peut engendrer des
conflits: on a l'impression que l'autre fait
des achats inutiles avec notre argent, il
désapprouve le moindre petit luxe qu'on
souhaite se payer... De plus, c'est
imprudent sur le plan financier. En effet,
si l'un des conjoints décède ou devient
inapte, le compte conjoint est gelé jusqu'à
ce que toutes les étapes légales aient été
réglées. Par ailleurs, le compte conjoint
peut devenir objet de saisie si l'un des
partenaires est mauvais payeur.
Pour l'éviter: «Les deux partenaires
alimentent un compte conjoint pour les
dépenses communes, mais chacun conserve un
compte personnel, qu'il pourra gérer en
toute autonomie», conseille la notaire
Denise Archambault.
2. On divise tout à parts égales, même si
on ne fait pas le même salaire
Martine et Benoit sont ensemble depuis 12
ans. Depuis qu'il a changé d'emploi il y a
deux ans, Benoit gagne beaucoup plus
d'argent que sa conjointe, mais le couple
gère toujours ses dépenses à parts égales.
Pourquoi fait-on cette erreur? ...par souci
d'indépendance, on veut partager tous les
paiements également, peu importe notre
revenu.
Or, si l'une gagne 60 000 $ et
l'autre, 30 000 $, il est illogique qu'ils
paient la même chose pour faire rouler la
maisonnée», dit Denise Archambault.
Ses conséquences: L'une des conjointes aura
toujours moins d'argent dans ses poches. Si
l'une doit se serrer la ceinture pour
maintenir le même train de vie que l'autre,
si un malaise s'installe quand il faut parer
à une dépense inattendue, l'amertume peut
s'installer à long terme, surtout si sa
partenaire qui gagne moins souffre
d'insécurité par rapport à cette situation.
Pour l'éviter: On équilibre la situation en
divisant les dépenses communes au prorata
des salaires.
Par exemple, si l'un gagne 20
000 $ et l'autre, 40 000 $, le revenu total
du couple est de 60 000 $. La conjointe qui
gagne 40 000 $ assumera les deux tiers des
dépenses domestiques, et l'autre paiera le
tiers restant.
3. On n'en parle pas
Stéphanie et Juliette ont des rapports
opposés à l'argent. Elle est la fourmi
économe, il est la cigale qui préfère se
payer du bon temps plutôt que d'épargner. Et
chacun est agacé par l'attitude de l'autre.
Toutefois, par peur du conflit, ils gardent
leur frustration pour eux, sans pouvoir
s'empêcher de lancer quelques flèches à
l'occasion.
Pourquoi fait-on cette erreur? Parce que
parler de sous est si peu romantique, on
évite souvent de le faire, surtout lorsqu'on
vit la lune de miel des débuts. «Pourtant,
on devrait aborder le sujet tôt dans la
relation. À un moment ou à un autre, il
refait surface, et ça devient épineux», dit
Denise Archambault.
Ses conséquences: Des conflits apparaissent,
surtout si nos positions diffèrent beaucoup.
«Aux yeux de l'autre, la personne plus
dépensière apparaît insouciante, et celle
plus économe apparaît angoissée. Tout cela
engendre des sentiments de culpabilité et de
honte chez les conjoints», fait valoir
Pierre Faubert.
Pour l'éviter: On établit ensemble un
budget, ce qui nous oblige à discuter de
notre situation financière, de nos priorités
et de nos objectifs. Ainsi, la gestion
budgétaire devient une responsabilité
commune. Surtout, on évite d'attribuer les
dépenses fixes (l'hypothèque, par exemple) à
un conjoint et les dépenses variables (comme
l'épicerie) à l'autre: celui qui hériterait
des dépenses variables aurait du mal à
suivre son budget.
4. On vit au-dessus de nos moyens
Léa et Julie ont vu leurs dépenses croître
alors que leurs revenus diminuaient, Julie
se retrouvant au chômage.. Pour maintenir
leur rythme de vie, elles se sont endettées
et, chaque mois, elles arrivent tout juste à
régler les factures.
Pourquoi fait-on cette erreur? «On vit dans
une société de surconsommation, dans l'ère
du "J'aime, j'achète maintenant". Mais c'est
un piège de s'endetter sans cesse», estime
la planificatrice financière Lison
Chèvrefils. Pour Pierre Faubert, le
surendettement cache parfois une fuite de la
réalité: «La richesse est associée au
pouvoir, au succès, à la valeur de
l'individu. Le couple se projette dans une
autre réalité, où il fait la belle vie, même
s'il n'en a pas les moyens.»
Ses
conséquences: L'endettement est une source
importante de stress, qui peut mettre le
couple en péril. Quand on arrive à peine à
régler les factures, on a l'impression de
travailler uniquement pour payer nos dettes.
Il reste peu d'espace - et d'argent - pour
les loisirs du couple, qui doit aussi
composer avec l'inquiétude du manque de
ressources financières.
Pour l'éviter: On ajuste le budget dès que
la situation du couple change: lors de
l'achat d'une maison, d'une modification de
salaire ou de l'arrivée d'un enfant, par
exemple. De plus, «on limite les achats à
crédit et on se questionne sur ses habitudes
de consommation», conseille Denise
Archambault.
5. En couple depuis plusieurs années,
Cynthia et Martine n'ont jamais planifié un
budget ensemble. C'est Cynthia qui règle
les comptes chaque mois, une responsabilité
qu'elle commence à trouver lourde, car
Martine ne s'implique jamais dans ce
domaine.
Pourquoi fait-on cette erreur? Dans un
couple, il y a souvent une personne pour qui
la gestion budgétaire est plus facile,
tandis que l'autre est meilleur pour
planifier les loisirs, par exemple. Une
dynamique peut s'installer où, consciemment
ou non, l'un des partenaires prend le
contrôle de la bourse alors que l'autre se
décharge de cette responsabilité.
Ses conséquences: «Cela peut engendrer du
ressentiment des deux côtés», croit Pierre
Faubert. Le conjoint passif sent qu'il n'a
aucun contrôle sur les finances, et celui
qui est plus actif a l'impression que toute
la responsabilité repose sur ses épaules.
Comment l'éviter: Mettre les choses au clair
et établir qui fait quoi. «L'un est meilleur
avec les chiffres? Il peut bien, dans ce
cas, gérer le gros des finances. À condition
que cela convienne à l'autre, qui assumera
d'autres responsabilités dans le couple»,
dit Pierre Faubert. L'important, c'est que,
si la gestion incombe davantage à l'un, la
prise de décisions demeure partagée."
Librement
adapté de L'article complet :
www.coupdepouce.com/bien-dans-ma-tete/couple/couple-et-argent-6-erreurs-a-eviter/a/18445
Et pour vous aider des
TEST en ligne
"l'ARGENT dans le COUPLE"
http://test.psychologies.com/l-argent-dans-le-couple
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10
astuces pour économiser 1000 euros... d'ici
Noël
Source yahooFinance 04/08/2010 |
Après
la rentrée, Noël est la prochaine grande
échéance à venir. Alors si vous comptez
gâter vos proches, préparez-vous dès
maintenant... le temps passe vite! Yahoo!
Finance vous propose dix astuces pour
économiser 1000 euros d’ici le réveillon.
1.
Téléphone portable : changez vos habitudes!
Pas d’inquiétude, nulle question de renoncer
aux joies du mobile. Plutôt d’adapter votre
forfait à vos besoins. Pourquoi payer un
forfait illimité journée si vous êtes plutôt
du soir? Profitez de la rentrée pour faire
un bilan avec votre opérateur, le seul en
mesure de dresser un diagnostic de votre
consommation. Pensez aussi sms/mms, souvent
proposés gratuitement dans les forfaits.
Dernière idée, faites jouer vos points
fidélité pour obtenir des minutes gratuites
d’un mois à l’autre, par exemple. N’oubliez
pas qu’avec un forfait bien choisi, c’est
facilement 20 euros d’économisés par mois
donc 100 euros d’ici Noël.
2. Les
vide-dressing, vous connaissez?
Venue des Etats-Unis, la folie des
vide-dressings ne cesse de gagner
l’hexagone. Le principe? Des fashionistas
vendent leurs vêtements de grande marque sur
Internet, et vous... vous les rachetez pour
une bouchée de pain. des prix 60% plus bas
qu’en boutique, vous pourrez vous habiller
pour pas grand-chose. Et si vos dernières
ballerines ne vous plaisent plus, ne les
aissez pas vieillir au fond du placard !
Revendez. Economie réalisée entre 50 et 100
euros par mois. La mode à petits prix…
http://www.videdressing.com/
3.
Alimentation: soyez stratégique.
Commencez par faire le marché après 13
heures. 6000 communes en France accueillent
au moins un marché par semaine. Fruits,
légumes, produits laitiers, on y trouve tout
à des prix très attractifs et même soldés à
la fin. Pour dix euros, vous aurez
facilement de quoi manger 5 fruits et
légumes par jour pendant 10 jours! Economie
réalisée entre 30 et 50 euros. Cela vaut
bien la grasse matinée du dimanche.
Source :www.minefi.gouv.fr
4.
Oubliez le coiffeur!
Tournez vous plutôt vers les apprentis.
Centre de formation en coiffure, école
d’esthétique ou instituts de podologie, il y
a 1001 façons de prendre soin de soi à
petits prix. Et donc de limiter les frais.
Si vous allez chez le coiffeur au moins une
fois par mois, vous ne débourserez pas plus
que 11 euros en moyenne contre 35 euros dans
un salon standard. Les salons Jean-Louis
David, Jacques Dessanges, Toni & Guy…
cherchent souvent des modèles. Passez leur
demander. Le calcul est simple, 120 euro de
gagné jusqu’à Noël.
5.
Culture: organisez vous !
Livres ou expo, aujourd’hui, tout est
accessible. Vous êtes mordu de romans ou de
BD ? Empruntez les derniers ouvrages à vos
amis ou familles. Autrement, rendez-vous
dans les brocantes et vides-greniers. Chaque
semaine des centaines de brocantes se
tiennent en France. Vous pourrez dénicher
les derniers best-sellers pour 1 euros. Sur
Amazon et Fnac.com, vous trouverez des
livres récents d’occasion à -25% et des
rééditions à 2 euros (Librio, Livre de
Poche, Que sais-je). Côté sorties, le
premier dimanche de chaque mois, les musées
vous accueillent gratuitement. Economie
potentielle: 10 euros par mois, 50 euros
d’ici Noël.
6. Plus
de carte, plus de chèque...que du liquide.
Dépenser ou économiser, il faut choisir.
Limiter les moyens de paiement. Privilégier
plutôt le liquide. Car inconsciemment, plus
on dispose de moyens de paiement, plus on
est tenté! Etablissez un budget quotidien
histoire de ne pas être à court d’argent. Un
conseil, ne jouez pas les ascètes. Prévoyez
une somme pour les dépenses superflues quand
même. Pour les plus courageux, vous pouvez
toujours transformer votre carte de paiement
en carte de retrait, uniquement. Découpez
par la même occasion toutes vos cartes de
crédit revolving ou permanents qui vous
coûtent un pourcentage indécent chaque mois.
Facilement 150 euros mensuels qui restent
dans le portefeuille…ou plutôt le compte en
banque!
7.
Vacances et week-end, on attend 2011...Pour
faire plaisir à vos proches à Noël, vous ne
céderez pas aux sirènes des tours-
opérateurs! Si le besoin de décompresser est
trop fort, débranchez tout : téléphone,
réseaux sociaux et télévision. Quand on sait
que seulement quatre Français sur dix sont
partis en vacances l’hiver dernier, on se
sent moins seul…Soyez astucieux. Partez à la
découverte de votre région. Les offices de
tourisme sont là pour vous aiguiller! Somme
potentiellement épargnée : 800 euros
(Source : www.protourisme.com, vacances des
Français 2010)
8. Faites
du sport pour presque rien.
Plutôt que de payer un abonnement annuel
près de 1000 euros dans une salle de sport,
tournez vous vers des formules mensuelles
voire hebdomadaires. Car si la motivation
prévaut les premiers jours, elle ne suit pas
toujours au cours de l’année. Optez plutôt
pour des périodes courtes, histoire de ne
pas jeter votre argent par les fenêtres.
Piscines municipales ou associations
sportives à taille humaine, ces structures
proposent des tarifs accessibles à tous et
surtout à durée déterminée. Sinon, le
jogging et la course à pieds sont très
tendance et gratuits. Economie mensuelle 50
euros, 250 euros d’ici Noël.
9.
Ajustez vos assurances.
Entre la maison, la voiture et la
responsabilité civile, il est possible de
faire des économies. Contactez votre
assureur pour faire un bilan de votre
situation. Adoptez le bon forfait assurance
habitation. Concrètement, si l’ensemble de
vos biens vaut 20000 euros, inutile de vous
assurer pour 50000 euros. A savoir aussi,
les assurances incluses avec votre carte
bancaire font parfois doublons avec votre
assurance habitation. A vous de comparer
l’ensemble de vos contrats pour éviter de
payer deux services... Si votre assureur
semble de mauvaise foi, passez par un
courtier ou un agent indépendant. Economie
potentielle: 10 euros par mois, 50 euros
d’ici Noël.
10.
Devenez client mystère.
Votre job? Visiter un magasin ou déjeuner
dans un restaurant avec pour seule consigne
de noter le service à partir de critères
objectifs. Si l’expérience vous en dit, il
vous faudra y consacrer une voire plusieurs
heures pour ce rôle. Avec à la clé, des
chèques cadeaux, des bons d’achat, des
produits et même de l’argent! Prendre
contact avec un cabinet spécialisé. Somme
potentielle: 50 euros par mois, 250 euros
d’ici Noël.
Au total,
vous aurez économisé environ
1000 Euros d’ici Noël.
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"Comme tu traites
l’argent, tu traites ta vie"
« L’argent est une puissante forme
d’énergie, le parfait point focal permettant de
travailler d’importantes leçons de la vie. Que nous le
haïssions ou que nous l’aimions, l’argent fait partie de
tout ce qui touche notre vie ». Maria Nemeth, auteur de "Libérer l’énergie de
l’argent"
En va-t-il de
même avec la relation amoureuse ? Ouvrons-nous notre
bourse comme notre cœur ou pour acheter l’amour ?
Agissons-nous dans ces deux dimensions avec la même
générosité, avec la même avarice, les mêmes hésitations,
les mêmes peurs ? Comment « investissons-nous » le
partenaire potentiel ou actuel ? Ce sont les ressorts et
les sources de nos comportements affectifs que nous
avons explorés. Avec l’éclairage de différents auteurs,
nous avons découvert de surprenants parallèles, « riches
» d’enseignements… Les comprendre pourrait sceller notre
bonne fortune financière et pourquoi pas amoureuse !
Synthèse
Fauchés comme les blés ou riches comme Crésus, les
rapports avec l'argent sont loin d'être neutres.
Pourtant, ce formidable instrument d'échange qui a
succédé au troc, à la lettre de change, au transfert de
dettes -ses précurseurs-, devrait se borner à passer
entre nos doigts sans nous troubler. Mais l'argent nous
affecte et nous tourmente Nous y pensons très souvent
dans la journée... Amusons-nous o compter le nombre de
fois où le sujet nous vient à l'esprit, nous serions
étonnés ! Pour la plupart des spécialiste, l'argent
correspond à un support vide sur lequel nous projetons
"nos connotations". C'est par ces projections qu'il
prend vie : l'argent devient ce que nous en pensons ! Il
donne aussi une clef d'accès au réel. Il traduit notre
manière d'être au monde, nos liens sentimentaux avec les
autres et avec nous-mêmes. Une querelle à propos de
l'argent cache, dans la plupart des cas, un litige plus
profond.
Quelques termes communs à l'amour et à l'argent : Mon
trésor, un billet doux, tu comptes pour moi, le conte
(compte) est bon, y trouver son compte, (s)'investir,
donner, recevoir, faire un bilan, thésoriser,
(s)'épargner, un intérêt, capitaliser, amortir,
rentabiliser, tu vas me le payer, gérer, coûter, cher
payé, quand on aime on ne compte pas (mais quand on
n'aime plus, on compte beaucoup !)etc. La liste est loin
d'être exhaustive.
D'après Pierre Pradevand, l'argent est "un puissant
outil de transformation personnelle. C'est une forme
d'énergie qui permet de comprendre et les schémas et les
blocages qui gouvernent nos attitudes".
Selon les psy, l'argent serait un objet d'amour ou de
haine, de convoitise ou de mépris, un sujet de disputes
infinies (divorces, héritages) ; on y projetterait les
manques ressentis dans la prime enfance. Il serait le
miroir de nos désirs inconscients. La façon dont nous
avons vécu le manque étant bébés serait à l'origine de
nos comportements vis à vis de l'argent. A l'âge adulte,
cette problématique se déplace sur l'argent,
représentation par excellence du domaine de l'avoir. En
fait, au-delà de sa fonction rationnelle d'instrument de
mesure, de moyen d'échange, l'argent possède des
significations inconscientes pour chacun de nous. On ne
comprend des comportements tels que l'avarice
pathologique ou le besoin de thésauriser qu'en se
référant à certaines peurs de manquer vécues dans la
petite enfance.
Au stade oral, phase la plus primaire du développement
(0-2 ans), le nourrisson évolue dans l'avoir : avoir
faim, chaud, froid, soif... Il se sent particulièrement
démuni et impuissant. Sa dépendance le conduit à rêver
d'un "sein" inépuisable, pourvoyeur permanent de lait,
qui lui permettrait d'échapper au manque. Le paradis en
quelque sorte. Ce type de fantasmes oraux se retrouve
chez les gens qui courent après l'argent ou veulent
brasser des sommes gigantesques. Dans l'inconscient,
l'argent est pour eux l'équivalent d'un sein toujours à
disposition. En ce qui concerne l'avare qui, lui,
retient son argent, il ressemble plutôt au jeune enfant
dont la rétention obstinée, lorsque sa mère l'assoit sur
le pot, le protège contre le menace imaginaire d'être
complètement vidé de sa substance. Le stade anal, la
maîtrise de ses sphincters peut permettre à l'enfant
surinvesti de s'affirmer, à un moindre niveau.
Les comportements de rétention (dont l'avarice est le
plus représentatif) sont dictés par le besoin
d'accumuler ou de conserver son capital intact. Leur
désir premier est de maîtriser le monde, de dominer
psychologiquement leurs amis, leur famille, leurs
associés et leurs employés s'ils occupent des fonctions
dirigeantes. Ce tempéraments jouissent de compter et
recompter ; chaque euro économisé est une victoire. Pour
eux, l'argent, c'est la puissance. En dépenser, c'est
perdre le pouvoir. En se retenant de lâcher sa carte de
crédit, on est dans la maîtrise.
Le besoin de conserver son avoir peut également dériver
d'une insécurité de bas, d'un manque de confiance en
soi. L'argent sert alors de repère (re-père) pour se
diriger dans l'existence.
Les tempéraments dilapidateurs conjuguent souvent
plusieurs addictions : sexuelle, affective, tabagique,
alcoolique, etc. Poussés par la déprime ou l'angoisse,
ils succombent à l'appel de l'achat. Ils se délestent de
leur argent pour alléger le poids qui les oppresse.
Les cigales aveugles préfèrent ne pas se voir dépenser.
Cette attitude résulte le plus souvent d'un désir
inconscient de s'aveugler, de ne rien savoir, par peur
de l'avenir. S'abstenir de penser à des dépenses revient
à se protéger. Mais le goût de la dilapidation peut
aussi être d'effet d'un désir agressif de faire payer
l'autre.
Si le fait de dépenser sans jamais tenir compte de ses
revenus réels marque un infantilisme persistant, savoir
se faire plaisir dans la limite du raisonnable est, à
l'inverse, une preuve de maturité. Les tendances à la
dilapidation peuvent également être le fruit d'un désir
inconscient d'autopunition. C'est le cas de ceux qui
investissent frénétiquement et en pure perte, comme si
une malédiction leur interdisait de faire fructifier
leurs gains.
Avoir en permanence la main au portefeuille est souvent
une façon d'acheter l'amour et l'estime de ses
semblables en donnant le minimum de soi-même. Les
généreux excessifs sont souvent mus par un sentiment de
culpabilité. D'où la multiplication de comportements
réparateurs visant à se dédouaner. La vraie générosité
est rare. Elle appartient à ceux qui savent donner sans
l'arrière-pensée de s'attacher celui à qui ils donnent.
A l'inverse, se positionner en marge du système et s'en
énorgueillir, occuper la place du censeur vertueux qui
condamne les excès de ses contemporains, marquent un
refus, ou bien de devenir adulte et de prendre ses
responsabilités en modifiant un fonctionnement social
que nous méprisons, ou bien d'accepter le monde tel
qu'il est. |
Avoir un rapport sain et mature à l'argent, c'est
s'estimer suffisamment pour en gagner sans honte et ne
profiter sans culpabilité.
AVOIR PEUR DE L'ARGENT, C'EST AVOIR PEUR DE GRANDIR ! SE
PRIVER REVIENT À FUIR LA VIE ET SON PROPRE PLAISIR. C'EST
DIRE SI UNE RELATION SAINE À L'ARGENT SUPPOSE AU
PRÉALABLE UNE RELATION SAINE À SOI-MÊME.
En conclusion, nous nous comportons en amour
comme nous agissons avec l'argent. En définitive,
n'aurions nous pas intérêt à suivre un séminaire de
trois jours sur nos rapports à l'argent avant de nous
allonger sur le divan ?
Terminons avec quelques conseils de Maria Nemeth.
Remplaçons le mot argent par le mot amour : la clarté,
dans les deux cas, est nécessaire pour que circule une
énergie positive. A bon entendeur...
"Pour rendre notre rapport à l'argent/à l'amour plus
sain dans le présent, il est nécessaire de liquider le
passé. D'abord, en rendant conscient notre rapport à
l'argent/à l'amour. Mais aussi en réglant nos affaires
en suspens. Comme en toute chose, les boucles doivent
être bouclées. Nous dégageons de la place pour que
l'énergie de l'argent/de l'amour circule librement
lorsque nous nous occupons de mettre en ordre nos
"papiers". Les"papiers", c'est l'administration, c'est
savoir combien nous avons sur notre compte bancaire de
façon très claire. Nous nous sentons également libérés
lorsque nous nous occupons de nos factures en retard. Et
enfin, nous sommes soulagés lorsque nous établissons
très précisément des plans de remboursement avec dates
et montants pour honorer nos dettes. Ceci autant avec
les administrations et les banques qu'avec les proches
et les amis. Les prêts entre personnes proches ont
avantage à être tout autant codifiés que les autres,
pour le confort de tout le monde. La clarté (état des
comtes, factures, échelonnement daté des remboursements)
et un gain appréciable... d'énergie !"
Source article "Café de l'Amour"**
Sujet du 14
novembre 2005
Sources et références bibliographiques : Marc
Lévy-Davida, coauteur avec Emmanuelle Daviet de
"L'argent à tout prix, comprendre et améliorer sa
relation à l'argent" (Editions Flammarion)
Patrice Ellequain, animateur de séminaires sur la
prospérité
"Maître de l'artent" d'Annick Nenaird. Editions Le
Souffle d'Or
"La psychanlyse et l'argent" d'Ilana Reiss-Schimmel.
Editions Odile Jacob
Pierre Pravervand "Gérer mon argent dans la liberté",
"Les vraies richesses". Editions Jouvence
Julie Cameron et Mark Bryan "L'argent apprivoisé : de la
dépendance à la liberté d'être. Editions Dangles
Peter Koenig, animateur du stage :"Libérez votre
relation à l'argent pour libérer votre vie" et auteur de
"30 mensonges à proporos de l'argent".
Smiley Blanton, psychanalyste,
Gérard Louvain, psychothérapeuthe
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........................................................................................................................................................................................ retour
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*Photo... Film KILL BILL |
En cas de Blues intense
only |
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