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KULTUR SafiK

Sylvia Kristel, alias "Emmanuelle", est décédée
VIVENT LES POILS PUBIENS !
... d'où vient le mot "Gouine" ?
Découvrez la maison qui immortalise la culture lesbienne à New-York
"Do It Yourself ([D.I.Y])"  «pour faire vivre la culture lesbienne» à LILLE

Le Top des Mecques Lesbiennes aux États-Unis
Le combat de Céline...
suivi de  « Ce qu'on a n'est pas contagieux »
RADIOA quoi reconnaît-on une lesbienne ?
Le difficile aveu de son homosexualité à ses parents...
Principales petites choses qu'une Lesbienne  doit ar-rê-ter..

Vous avez-dit Rupture ?
How the Grinch Stole my Heart! (VO)
Comment le Grinch a volé mon coeur! (Et mon sweat-shirt préféré ...)

suivi des Dix Commandements en période de Rupture
 

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Certains Evènements sont diffusés directement dans les Régions concernées 

KULTUR SafiK
 
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"Emmanuelle" symbolisait la révolution sexuelle des années 70...
Sylvia Kristel, alias "Emmanuelle", est décédée
LA HAYE  L'actrice néerlandaise Sylvia Kristel, connue dans le monde entier pour avoir incarné l'héroïne du film érotique "Emmanuelle", est décédée à 60 ans...
 "L'actrice néerlandaise Sylvia Kristel, connue dans le monde entier pour avoir incarné l'héroïne du film érotique "Emmanuelle", est décédée à 60 ans dans la nuit des suites d'un cancer, a annoncé son agent jeudi.
Sylvia Kristel était devenue célèbre avec son premier film, "Emmanuelle", sorti en 1974. Tourné par le réalisateur Just Jaeckin, il était une adaptation du roman du même titre d'Emmanuelle Arsan. (...)
L'actrice avait été victime d'une attaque cérébrale début juillet et avait été hospitalisée. L'agence a refusé d'indiquer si l'actrice était décédée chez elle ou à l'hôpital. Mme Kristel avait été soignée pour un cancer de la gorge et avait subi un traitement contre des métastases au foie.
Le film, qui a connu un succès international, du Japon aux Etats-Unis, raconte les aventures sexuelles d'une jeune femme en Asie. Il était resté treize ans à l'affiche sur les Champs-Elysées à Paris.
Sylvia Kristel avait tourné ensuite, avec un succès moindre, "Emmanuelle 2" en 1975, "Goodbye Emmanuelle" en 1977 puis "Emmanuelle 4" en 1984."


"...  A l’affiche pendant 13 ans dans un cinéma des Champs Elysées, le film reste l’un des plus grands succès du cinéma français. L’actrice tourne ensuite Emmanuelle 2 en 1975, Goodbye Emmanuelle en 1977 puis Emmanuelle 4 en 1984.  Victime de son succès, Sylvia Kristel n'est jamais parvenu à se défaire de son personnage érotique. Après plusieurs déceptions sentimentales, la belle néerlandaise sombre dans la drogue et l’alcool. Dans les années 90, elle connait un relatif succès en tant que peintre.
Depuis 2002, l’actrice était soignée pour un cancer de la gorge et du poumon, elle avait publié son autobiographie en 2006, intitulée « Nue ».
www.lexpress.fr/culture/livre/ne-l-appelez-plus-emmanuelle_821596.html
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VIVENT LES POILS PUBIENS ! Source 360.ch 15/08/2012
Une doctoresse américaine tire la sonnette d'alarme: le ratiboisage de nos entre-jambes est tout sauf «hygiénique». Elle appelle à une trêve dans la guerre déclarée aux poils depuis quelques années.C'est devenu un marché stratégique pour les instituts de beautés et pour l'industrie cosmétique, qui vantent désormais ouvertement le look «lisse» ou «propre» de parties génitales débarrassées de leurs poils. On peut se perdre dans les explication psy ou sociologiques données sur le phénomène. Si elles diffèrent selon le sexe (les plus techniques étant la vogue du bikini pour les filles et la mise en valeur du pénis pour les mecs), elles ont un point commun: la croyance en ce que le rasage apportera davantage d'hygiène. Or ce serait l'inverse, avance une professeure américaine. «Il y a un bon bout de temps que les chirurgiens se sont rendu compte que le fait de raser une partie du corps avant une intervention avait plutôt tendance à augmenter qu'à diminuer les infections, écrit le Dr Emily Gibson sur le blog AlterNet.org. Quels que soient les armes sophistiquées utilisées – lames, rasoirs électriques, pinces, cire, crème dépilatoires, électrolyse – le poil, comme la mauvaise herbe, reprend toujours le dessus. Pendant ce temps, la peau se transforme en champ de bataille.»
    
Tableau "L'origine du monde" Gustave Courbet 1866 Musée d''Orsay
 ...  L'épilation irrite, enflamme et laisse des plaies
microscopiques, surtout s'il est – et il l'est forcément – répété. La suite est facile à deviner, poursuit le médecin. «Quand cette irritation se combine avec l'environnement humide des parties génitales, cela devient une joyeux bouillon de culture pour les plus méchantes des bactéries pathogènes: streptocoques, staphylocoque dorés, etc.» Le médecin souligne qu'il n'est pas exceptionnel pour les adeptes de la peau lisse de se retrouver avec des pustules, voire des abcès au pire endroit imaginable. Bon appétit. Et ce n'est pas tout: les microlésions seraient également une porte d'entrée pour les infections sexuellement transmissibles, comme l'herpès. Pitié, une trêve! implore la généraliste. Elle rappelle que les poils pubiens ont leur raison d'être: adoucir le frottement susceptible d'endommager la peau, mais aussi la protéger des bactéries. A cet égard, ce n'est certainement pas quelque chose dont on doit être embarrassé ou honteux. Reste à convaincre les adeptes du string pendant ces dernières semaines à la plage."  Article complet http://360.ch/blog/magazine/2012/08/poils-pubiens-laissez-les-vivre/
HA HA HA
            HUMOUR "Pourquoi avons-nous des poils ?"

      
>>>>à voir
Expo "CULTURE TOUF"
      
(cliquez sur la photo pour l'agrandir et sur le fond noir pour revenir en arrière et... faites le tri des intrus :))

 

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- Totales Goudous, Lesbies, Lez, Dyke, Girlz, Gouines, Goudes, Garçons manqués, Amazones, Lesbi-Fems,
Butchs,
Drag Kings, Boïs, Tomboys, Lesbiennes branchées,  Sappho d'un soir, Lesbi-Trans,  Ex-hétéros, 
Lesbiennes tendance-Bi,  Lesbiennes tendance-Bio, Lesbians, lesbisch, lesben, Lesbicas et Lesbianas...  
Lesbi-Sorcières,   Euro-Lesbiennes   et  LezWebiennes !
... d'où vient le mot "Gouine" ?
*

"Gouine" est un terme du français populaire désignant une lesbienne habituelle. Malgré une connotation lesbophobe, le mot a été repris sans connotation négative par les lesbiennes organisées qui l'utilisent dans divers contextes.

Le mot apparaît entre 1625 et 1655 "gouyne" dans le sens de "femme de mauvaise vie", sur le mot normand "gouain", salaud, lui-même de l'hébreu "goyim" (non Juif).

Selon Alfred Delvaud, ce mot d'argot dériverait de l'anglais "queen", pour désigner les prostituées, "reines de l'immoralité" au XIXe siècle.
Il est rapproché de goule
(*) dans l'idée de femme dévoreuse, et de gouge pour désigner les femmes "de mauvaise vie".

Dans la mesure où on pensait alors que l'homosexualité féminine se trouvait surtout chez les prostituées, les lesbiennes sont rapprochées des prostituées et le terme se spécialise dès 1867. Il est alors précédé par gougnotte, avec lequel Pierre Louÿs intitule certains de ses poèmes, et concurrence aussi gousse, du verbe "gousser", manger.

Le terme gouine est utilisé banalement mais il sert aussi comme insulte directe attaquant l'honneur et la réputation des femmes homosexuelles. Il est d'abord employé par lesbophobie, pour humilier, blesser et dévaloriser une ou des personnes. Les insultes sexistes lui sont cependant souvent préférées. Le terme gouine est encore aujourd'hui un terme du langage argotique désignant les femmes homosexuelles. Il peut aussi être assimilé au terme "pédé" désignant les homosexuels masculins dans la manière dont il est utilisé.

En Amérique du Nord, le Congrès du travail du Canada a publié les définitions de termes dits LGBT. La définition qu'ils donnent du mot gouine synonyme pour eux des termes anglais Dyke et francisés "Dykette" est la suivante : «Terme péjoratif utilisé auparavant pour désigner les lesbiennes, réapproprié depuis comme identité positive par bon nombre de lesbiennes. »
À l'origine d'une utilisation péjorative, le mot gouine aujourd'hui tendrait à être utilisé d'une manière atténuée dans le langage courant même s'il reste dépréciatif.

Réappropriation
C'est à partir du début des années 1970 que les lesbiennes se réapproprient le terme, notamment les Gouines rouges (pour lesbiennes communistes) du FHAR. La reprise du mot infâmant permet de revendiquer a contrario la fierté de son identité.
Il entre aussi dans des jeux de mots comme "gode save the gouine".

Parfois, le mot est accolé au terme homophobe "pédé" en pédégouine ou transpédégouine pour désigner la communauté LGBT par ses propres représentants, de manière décomplexée et sans but homophobe..

Un dérivé, goudou, existe, ressenti comme moins péjoratif et plus amical, voire tendre. Monique Wittig et Sande Zeig inventent pour ce dernier mot l'origine « la célèbre chanson "le goût doux que j'ai de vous" »7 Il est très souvent repris dans la communauté lesbienne ..."

- "D'où vient le mot "Gouine" Source wikipedia.org   
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouine    

 et   Lesbianisme :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lesbienne#Genre_et_identit.C3.A9


(*) La goule (de l'arabe al-ghûl, le « démon », la « créature »...) est une créature monstrueuse du folklore arabo perse qui apparaît dans les contes des Mille et Une Nuits.
Elles forment une classe de Jinn, comme les Éfrits par exemple, et sont donc à ce titre l'engeance du diable, Iblis. Les goules changent de forme, prenant le plus souvent l'apparence d'une hyène ou celle d'une femme, mais elles sont reconnaissables à leurs pieds fourchus, seul élément constant de leur apparence. La ghula, féminisation du mot arabe, est l'équivalente arabe/perse de Lilith (Lamia).
  >>>Notre Histoire

On retrouve ses homologues dans la mythologie hindoue, Yogni et Dakini, chaldéenne, Utug et Gigim (démons du désert) et russes, Baba Yaga. Le poète anté islamique Ta'abbata Charrane décrit dans l'un de ses poèmes sa rencontre et sa lutte contre une goule.
La goule affectionne les cimetières où elle déterre les cadavres pour s'en nourrir et dans d'autres endroits peu fréquentés. La goule hante aussi le désert sous les traits d'une jeune femme et elle dévore les voyageurs qui succombent à ses appels, non sans rappeler les sirènes du récit de l'Odyssée. De nombreux récits terrifiants destinés aux enfants ont pour acteur principal une goule dans les pays du Maghreb. La goule y joue souvent le rôle du
Grand méchant loup." Source http://fr.wikipedia.org/wiki/Goule

* "La chambre bleue, Suzanne Valadon                                                                                               QUIZ (Très) LESBIEN



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Découvrez la maison qui immortalise la culture lesbienne à New-York

Dans la maison des «Lesbian Herstory Archives» se cache une importante collection de documents et d'objets traitant de la culture lesbienne. Avec plus de 11 000 livres, des badges, des VHS et même... des sextoys. Suivez le guide.
Source tetu.com 24/10/2011

A New-York, dans un quartier résidentiel de Brooklyn, à quinze minutes en métro du cœur de Manhattan, il existe une curiosité. Un lieu insolite, improbable même, mais précieux: les Lesbian Herstory Archives. Il s'agit d'une petite maison privée comme les autres -une brownstone comme on dit là-bas, qui a la particularité d'abriter «la plus grande collection d'objets conçus par et sur les lesbiennes et leur communauté».
Créée en 1974 par un groupe de femmes majoritairement lesbiennes, la collection demeure durant ses quinze premières années dans l'appartement de Joan Nestle, une des initiatrices du projet, avant de prendre résidence en 1990 (pour une ouverture publique en 1993) dans le quartier de Park Slope, à Brooklyn. Si ces milliers de documents reconstituant l'histoire lesbienne ont pu s'offrir un tel espace, c'est grâce à la création, dans les années 1980, d'un «comité de coordination» destiné à rechercher des fonds. Celui-ci a permis l'obtention d'un emprunt à la banque et son remboursement dans les délais. Impossible n'est pas américain... CD, T-shirts et sextoys... Aujourd'hui, la masse des objets archivés est impressionnante. Constituée grâce aux contributions de particuliers ou d'organisations, la collection est le résultat glorieux de plus de trente années de dons, en main propre ou par courrier, de lesbiennes, d'ami(e)s, d'inconnu(e)s, d'anonymes. On y trouve de tout: des documents publiés ou non, des livres, des journaux intimes, des comptes-rendus de conférences, des journaux, des photographies, des cassettes audio, CD, DVD, VHS, des objets d'art, des T-shirts, des badges, des calendriers et même des sextoys!
Au premier étage, on trouve une bonne partie des quelques 11 000 livres écrits par ou sur les lesbiennes, datant du 19ème siècle à aujourd'hui.
Tous sont catalogués dans la base de données et sont classés par thème: science-fiction, poésie, humour, «pulp novels», théorie lesbienne, santé, sports, sexualité... La liste est longue. Lors de notre visite, un chercheur photocopiait les journaux intimes qu'une dame «d'un autre temps» avait offerts aux archives. Collections personnelles - Dans ces archives lesbiennes, on trouve même... une cuisine (!), avec, dans un coin, la collection de cassettes vidéo (des produits commercialisés ou des enregistrements faits maison). Chaque pièce est peuplée d'objets insolites: dans les toilettes, on peut ainsi trouver une veste «Dyker Union»; dans la salle de bain, une énorme collection de badges lesbiens et féministes.Au second étage, on découvre le plus fascinant peut-être: des articles et des (auto)biographies non publiés, des dizaines d'années de presse nationale et internationale. On peut également y voir des collections personnelles- car chacun(e) à le droit de créer sa propre collection au sein des Archives. Tout le monde peut y envoyer ses propres documents. Son petit morceau d'Histoire. " Adresse :LHEFF, INc. PO Box 1258 New York, NY 10116

NB : En France , nous avons aussi des Archives Lesbiennes :
Les ARCL Archives Recherches Cultures Lesbiennes  Notre Histoire
"L'immense fonds d'archives lesbiennes se trouve à la Maison des Femmes de Paris, 163 rue de Charenton, à Paris dans le 12ème arrondissement, 01 46 28 54 94. Trop peu de lesbiennes sont au courant et les archives gagneraient à être exploitées pour enfin construire une histoire des lesbiennes digne de ce nom... " - ouvertes à toutes, tous les jeudis de 19h à 21h30. Site :http://arcl.free.fr

 
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"Do It Yourself ([D.I.Y])"  Un collectif surmotivé «pour faire vivre la culture lesbienne» à LILLE Source tetu.com 12/10/2011                                  >>>Nord-Ouest
Deux Lilloises pleines d'enthousiasme viennent de fonder un collectif pour partager la culture lesbienne et faire bouger les filles et les garçons. Première soirée vendredi, avec une très belle affiche!

Pour commencer, la première édition de leur soirée trimestrielle, la Klubenkraft, aura lieu ce vendredi.
Soirée
Klubenkraft le 14/10/2011 - Minuit/7h - Etik Clib 29 bd Jean-Baptise Lebas à Lille
Une soirée faite par des filles, pour des filles, mais ouverte à un public plus large, sous le signe de la fête et de l'art. Au programme: DJ set électro, avec notamment Jennifer Cardini, et performances visuelles, le tout à l'Etik, un club lillois tenu par des passionnés de musiques élec troniques.
Do It Yourself ([D.I.Y]) www.collectifdiy.com
Cécile, graphiste et peintre, et Noé, étudiante en arts plastiques, se connaissent depuis 10 ans. C'est avec leurs économies personnelles et l'aide d'amis qui ont cru en leur projet qu'elles ont pu fonder le collectif [D.I.Y], dans l'objectif de «décloisonner, casser les codes et les idées reçues». Pour Noé, «à Lille, il n'y a que deux boîtes homo, surtout fréquentées par des hommes, ou des soirées filles sans aucune mixité autorisée. Nous avons envie de partager la culture lesbienne avec le plus grand nombre.»
Son berlinois à l'honneur mais Paris, Berlin ou Londres... Il y aura un peu de chaque capitale dans le son et l'ambiance de la soirée. (...) Expos, performances, concerts, ateliers...

Et pour que la Klubenkraft reste festive, elle sera déclarée «Drug Free Zone», avec un stand de sensibilisation sur les dangers des drogues et de l'alcool. «J'ai constaté depuis quelques années la mode de la coke, et maintenant la MD est partout, explique Noé. Nous avons eu envie de recentrer la fête sur ce qu'elle est réellement, à savoir une interaction entre des artistes de qualité et un public, un échange.» Pas question de faire la morale, mais plutôt d'informer les consommateurs et ceux qui s'interrogent...."
Article complet
www.tetu.com/actualites/france/lille-un-nouveau-collectif-surmotive-pour-faire-vivre-la-culture-lesbienne-20311

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Le Top des Mecques Lesbiennes aux États-Unis
Si vous êtes à la recherche de nouveaux endroits pour des vacances en compagnie de femmes, de quelques destinations d'escapades lesbiennes favorites... Que vous songiez à déménager, ou tout simplement à faire du tourisme aux USA,
voici les villes où aiment vivre les lesbiennes....
 

en cours complément ...

La première: Northampton, Massachusetts
Surnommée "Lesbianville des Etats-Unis" par le National Enquirer La en 1992, Northampton, MA est la meilleure ville en Amérique pour les lesbiennes. La zone de Northampton a toujours été un endroit agréable à vivre, et parce que les gais et les lesbiennes peuvent se marier légalement dans le Massachusetts, il dépasse notre liste. Northampton est une petite ville, mais à cause de nombreuses universités, y compris Smith College, Northampton a toutes les offres culturelles d'une grande ville.
"... Northampton est une petite ville, avec deux rues principales et environ 30.000 habitants, mais vous verrez probablement plus lesbiennes qui marchent par ici qu'à Chicago, Paris ou Sydney. Vraiment, elles sont partout!   Alors, comment est-ce arrivé?
Il n'y a pas une simple réponse, mais quelques facteurs... Tout d'abord, Northampton est à le Smith Collège, le plus important en Amérique collège d'arts libéraux pour les femmes (Gloria Steinem, fondatrice du magazine, Mme Sylvia Plath poète renommée,  Bell Jar et Betty Friedan, auteure de "The Feminine Mystique".... (...)  Sans doute aussi parce que Northampton (NoHo), est  connue pour être le lieu d' icônes lesbiennes telles que Rachel Maddow, première lesbiennes de la télévision américaine.(...)  D'autres femmes célèbres comme l'aviatrice Amelia Earhart et Alison Bechdel, auteur de BD "Dykes to Watch Out For", ont aussi vécu ici. (...) Et surtout, le Massachusetts est  l'un des États les plus libéraux d' Amérique, premier des deux seuls Etats à rendre le mariage gay juridique (l'autre est le Connecticut).
La ville a un maire ouvertement lesbienne,  Clare Higgins, son  propre Journal LGBT,  dirigé de longue date par deux lesbiennes et un certain nombre d'entreprises qui appartiennent aussi  à des lesbiennes.
Plus qu'une ville lesbienne, Northampton est aussi une belle ville universitaire avec de grands magasins, d'excellents restaurants, à proximité des sentiers de randonnée, et plusieurs de premier ordre les salles de concert... Située à seulement quelques heures de Boston, vous pourrait facilement visiter ces deux destinations pour vos vacances en Nouvelle-Angleterre !"


Portland, Oregon
Si Northampton est la Lesbianville de l'Est, Portland est Lesbianville de l'Ouest. Lesbiennes se rejoignent à Portland pour les mêmes raisons, c'est un endroit agréable à vivre. Entre autres distinctions, Portland a été classé comme le meilleur "Walking City" et "Best vélo City" en Amérique. Bien que les électeurs aient voté une loi contre le mariage gay l'année dernière, les résidents Portland penchent plus à gauche que le reste de l'Etat. Ajouter une scène de la grande musique et beaucoup de lieux de rencontre lesbiennes.

San Francisco, en Californie
San Francisco doit être la ville la plus Gay sur la terre. Et ce n'est pas seulement pour les garçons. Que vous soyez un jeune, d'un genre  politique ou queer sexe ou une lesbienne en puissance,  San Francisco ne peut pas être battue. Promenez-vous sur le Golden Gate Park ou achetez des banc de mariage dans le Castro. Avec l'un des meilleurs droits de partenariat de la nation et de lois nationales de protection des enfants, San Francisco est aussi un endroit idéal pour élever une famille.

New York, New York
La plus grande ville dans le monde est aussi un paradis pour les lesbiennes. Brooklyn's Park Slope quartier où les sœurs saphiques de New York ont tendance à se rassembler, mais la ville qui ne dort jamais a quelque chose pour les lesbiennesn  de tous âges, de convictions politiques et de fond dans l'ensemble de ses quartiers. Dans le classique Rubyfruit et l'art de la performance ésotérique dans Soho. Que vous souhaitiez visiter le lieu des émeutes de Stonewall  ou le Riot grrl New York City est un endroit pour vous.

Atlanta, en Géorgie
Atlanta est la capitale queer du Sud. Que vous vouliez vous dégourdir les pieds et danser au bar Sister's Room lesbiennes ou passer un après-midi à la librairie gay et lesbienne Outwrite. Avec un des plus grands défilés de la fierté gay, un festival du film gay et de nombreuses autres manifestations culturelles, vous comprendrez pourquoi certaines l' appellent aussi "Hot-Lanta."

Asheville, Caroline du Nord
Les couleurs d'automne sont à leurs plus beaux atours à Asheville, une ville remarquable "artsy" où les femmes marchent main dans la main et l'art déco, beaux-arts, et de l'architecture néoclassique créent un cadre élégant. Les meilleurs endroits pour rencontrer les filles... entre le parc national Shenandoah et les Great Smoky Mountains ou dans les jardins du centre-ville Asheville botanique. Lively Malaprops appartenant à la librairie lesbienne et plaque tournante de la communauté des femmes, a une terrasse de café. C'est l'idéal pour parcourir la perche dames locales. Une fois qu'il est trop sombre pour admirer le feuillage, une soirée livre remplie au Cercle de poésie... où les habitantes et visiteuses peuvent discuter des œuvres telles que les écrivains lesbiennes Audre Lorde de Sister Outsider.

Key West, en Floride
Si vous êtes d'humeur pour une semaine dans le sud au WomenFest ( WomenFest.com en Septembre ), alors que 3000 femmes de plus de 126 cours d'eau et 42 miles ponts par les Florida Keys à la pointe sud de la États-Unis... Le WomenFest vous propose des événements chauds comme la "pool parties" et avec option-vêtements pour la monte de taureau concurrentiel. Vous trouverez des femmes partout durant le festival mais plus facile en réservant l'une des 38 chambres de luxe Pearl's Rainbow, une seule auberge de femmes.

Eugene, Oregon
Bénéficiant d'un chœur lesbiennes, Realtors lesbiennes, un groupe de bal lesbiennes danse, le café des femmes, l'écriture, et des groupes de randonnée, et une célèbre université d'arts libéraux, cette ville universitaire de 150.000, à 100 miles au sud de Portland, est votre destination si vous aimez vos femmes capable de dynamiser le débat. 2009 a vu l'Université de la femme de l'Oregon et d'accueil des sexes département études de la première conférence en études lesbiennes (thème de cette année était «L'incroyable Shrinking Lesbiennes mondiale et d'autres Queer Conundra.")
Pour rencontrer des gens, communiquez avec Lavande Femmes (kayak, le club du livre nuits et repas-partage) Sinon, au Coffee Company Eugène

Madison, Wisconsin
Un autre point chaud universitaire, mais aussi une ville ayant un poids politique important, la capitale du Wisconsin est le siège de la représentante des lesbiennes Tammy Baldwin. La ville isthme (Madison est perché entre les lacs Mendota et Monona) est un processus dynamique, accueillante, ville universitaire et active de 230.000. Vous ferez des rencontres dans le salon des lesbiennes Foxhole, et au LGBT Club 5...


 Et à quand le Top villes lesbiennes françaises ?

Sources  : about.com / girlports.com /Advocate.com

      

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Le combat de Céline Source 2Articles - lunion.presse.fr 17/05/2010
Homosexuelle et fière de l'être, Céline espère que la France légalisera un jour le mariage des couples du même sexe…
- CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (Marne).
«Ce que je voudrais dire aux homophobes, c'est qu'on n'a pas choisi d'être homosexuel. Que ça aurait pu leur arriver à eux, qui n'ont pas choisi non plus d'être hétéro. Hétéro, ça leur est arrivé comme ça… »
Un jour, elle a été agressée physiquement, au nom de sa différence sexuelle. Elle en a souffert. Elle s'est relevée. Elle a continué son chemin de vie. Elle assume. Céline a le cheveu court. Sur un bras, un indélébile tatouage, les symboles enlacés de la féminité dans le langage visuel génétique : «J'ai simplement fait graver ma fierté. Je sais qu'il y en a qui n'ont pas besoin de marquer leur différence. Moi je suis très fière d'être homosexuelle. Je le sais depuis toujours. Ces choses se sentent toute petite. Même si au début, on ne sait pas trop ce que cela signifie». 
voir>>> HOMOPHOBIA

Son style vestimentaire est asexué et son aspect quasi masculin en dépit de l'extrême finesse des traits de son visage : « J'ai toujours eu ce côté garçon manqué. Sans que je m'explique pourquoi. J'ai souvent demandé ceci à mes amours : pourquoi, si je suis lesbienne, tu sors avec quelqu'un qui ressemble à un garçon. Parce que moi, il faut que ma femme ressemble à une femme ! ».
Céline a dix-neuf ans. Elle est serveuse dans la vie.
Elle dit que les femmes aiment chez elle sa beauté, son sourire, son enthousiasme et son instinct de protection. Elle se libère progressivement de tous les jougs. Céline sait qu'elle a de la chance. Ses parents ont toujours accepté sa différence. Alors que d'autres filles subissent une pression si forte que certaines essaient de rentrer dans la norme, à savoir au bras d'un garçon. Céline raconte le cas d'une amie qui a voulu tenter l'aventure dans un lit masculin : « Elle m'a dit que quand elle l'avait fait pour la première fois avec une femme, elle avait eu ce déclic qu'elle était faite pour les femmes. Et là, après avoir fait l'amour avec cet homme, elle a eu le déclic qu'elle n'était pas faite pour les hommes ! C'était devenu pour elle une certitude. Ça l'a rendue plus forte ». Et d'ajouter : « Sa mère lui disait surtout, que ce qu'elle ne supporterait pas avec l'homosexualité, c'est de ne pas pouvoir garder des petits-enfants. Elle lui a répondu dit que pour les petits-enfants, il restait sa sœur… ». Mais Céline de se démarquer : « Personnellement, je ne suis jamais allée avec un homme. Je n'irai jamais ».       Le cœur de Céline est pris. Il s'agit d'une femme de 24 ans qui a déjà vécu en couple lesbien : « Je crois que j'avais besoin de quelqu'un qui sache ce que c'est. J'ai besoin de sécurité ». Si c'est possible, Céline aimerait des enfants : « Un garçon et une fille. Par insémination artificielle. Mais pas avant 25 ans. Et dès que les enfants seront en âge d'apprendre, on leur dira tout pour nous, avant qu'ils ne se rendent compte par eux-mêmes. D'ici là, on espère que les choses auront encore évolué ».
Une évolution et un rêve au bout : « Que le mariage gay soit un jour permis en France ». Qui sait. Pour défendre ce thème ou un autre, on verra peut-être Céline et son amie à la prochaine gay-pride : « J'ai envie d'y aller. Pour être ensemble, entre gens comme nous. Comme ça, on aura l'impression que sont les hétéros qui sont en minorité ».
En attendant, reste en elle l'impatience de vivre son idylle au grand jour, quand elle partagera avec sa compagne un même appartement. Sans mentir aux gens, en disant qu'elles sont deux amies qui vivent ensemble. De toute façon, le leurre ne prendrait pas. Car, comme une femme lui a glissé un jour : « Franchement, t'as vraiment pas une tête de meilleure amie… ».
Le vœu de Céline : « Que le mariage gay soit un jour permis en France ». 
>>>Droit au Mariage !

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« Ce qu'on a n'est pas contagieux » Source article www.lunion.presse.fr 17/052010
Anna et Isabelle : « C'est Dieu qui nous a faites comme on est ».
Nous les nommerons Anna et Isabelle. Toutes deux sont châlonnaises. La première a 25 ans. La seconde en a 21. Elles vivent ensemble dans le quartier Schmit : « Dans la rue, on se tient la main. Mais c'est tout. On ne s'embrasse pas. On ne veut pas choquer ».
Ne pas choquer, tel est le credo de ces deux homosexuelles à qui il arrive cependant de constater que l'intolérance est toujours là. Comme cette anecdote vécue en ville alors que les compagnes cheminaient ensemble : « En face il y avait une femme, à peine plus âgée que nous, qui était avec son fils. Quand elle nous a vues, elle a dit à son fils : viens, on change de trottoir. Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire : t'en fais pas, ce qu'on a n'est pas contagieux, ton fils ne l'attrapera pas ! ».
Discrimination à l'emploi - Elles attendent de la société qu'elle fasse avancer les choses. Reste du chemin à parcourir, assurent-elles, dans à peu près tous les domaines. Anna par exemple, a vécu la discrimination par l'emploi. Il y a peu, elle travaillait pour le compte d'une grande enseigne d'électroménager. Elle dit qu'elle n'a pas pu supporter la pression ironique de la hiérarchie quant à sa préférence sexuelle : « Tout était fait pour que je m'en aille. J'ai fini par partir ».
Anna et Isabelle aimeraient surtout une chose, s'unir officiellement : « Nous, on n'a que le Pacs. D'accord, c'est déjà ça, mais pourquoi pas le mariage devant Dieu ? Moi je suis croyante. Et Dieu est amour. Il nous aime. C'est lui qui nous a faites comme on est ». Quand elles auront construit leur vie professionnelle, les deux femmes aimeraient des enfants. Par méthode naturelle : « Parce qu'on a le corps fait pour ça. On le fera avec un homme. Les hommes sont tolérants avec ces choses-là. On en portera un chacun. Mais il faut d'abord que l'on trouve un travail. Il nous faut le budget pour les accueillir ».
>>>Homoparentalité 

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 A quoi reconnaît-on une lesbienne ?
Durée 2 mn 50 ... voilà un sujet qui peut s'avérer fort utile : mais à quoi reconnaît-on une lesbienne ? 
à écoutez directement sur l'excellent site RADIO des lesbiennes de :RADIO ZEGIRLZ  www.zegirlz.com

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Le difficile aveu de
son homosexualité à ses parents

Source lemonde.fr 16/05/2010 -

Révéler son homosexualité à ses parents est une épreuve difficile pour un adolescent.
L'accepter est souvent vécu douloureusement par la famille. 

                               (((: c'est rien de le dire ! ou alors Jouons à l'hétéro :))) pour girls only

De l'acceptation à la tolérance, en passant par la condamnation ou le dégoût, les réactions des familles sont multiples. "Souvent, le père et la mère ne réagissent pas de la même façon. L'un peut éprouver un sentiment de rejet, d'incompréhension", explique Jean-Claude Pinchon qui préside pour l'Ile-de-France l'association Contact. Qu'ai-je fait pour avoir un enfant homosexuel ? L'ai-je trop protégé ou pas assez ? Est-ce ma faute ? "Pour certains, il faut des mois, voire même des années pour accepter l'orientation sexuelle de leur enfant. D'autres n'y parviendront jamais", analyse M. Pinchon. Aux jeunes qui veulent le dire à leurs parents, il conseille d'abord de préparer le terrain en ayant une discussion générale sur le thème de l'homosexualité pour voir quelles réactions le sujet suscite. "Si le milieu familial est franchement homophobe, je leur conseille de ne pas en parler", explique-t-il.

Même les parents les plus ouverts peuvent éprouver de la tristesse : tristesse d'imaginer qu'ils ne seront pas grands-parents - même si cela peut être faux -, tristesse pour la vie de leur enfant dont ils craignent qu'elle soit difficile. "En discutant avec les familles, j'ai compris qu'avant d'accepter pleinement l'homosexualité de leur enfant, de nombreux parents devaient faire le deuil de leurs projections parentales et que ce deuil était marqué par toute une série d'étapes", analyse Elisabeth Thorens-Gaud, auteur du livre remarquable Adolescents homosexuels. Des préjugés à l'acceptation (Favre, 2009). Et mieux les parents les soutiendront, plus leurs enfants auront de chances d'être heureux. "

Pour Félix, 20 ans, qui préfère ne donner que son prénom, l'annonce à ses parents a pris la tournure "d'un drame antique".
Ils étaient attablés tous les trois à l'occasion de l'anniversaire de sa mère - son frère était absent. "Mon aveu a eu un effet dévastateur. Il y a eu un silence de mort. Le ciel s'est écroulé sur leur tête." Sa mère l'a questionné d'un ton agressif, s'est mise à pleurer, lui a même proposé les services d'un psychiatre mettant son homosexualité sur le compte des troubles de l'adolescence. Trois ans plus tard, Félix a toujours le sentiment que ses parents espèrent qu'il changera. "J'ai compris que je ne pouvais pas m'appuyer sur eux et cela a creusé un fossé." Ses parents ont tendance à occulter le sujet, ce qui est insupportable pour le jeune homme. "Ma mère a un cortège de représentations très négatives sur les homosexuels. Elle pense que je risque d'avoir le sida, que je vais peut-être changer de sexe, elle associe homosexualité et pédophilie, craint que je me prostitue auprès de vieillards." Pour tenir, Félix est passé dans une "logique guerrière" et est devenu "férocement antihomophobe".  (...)

Mathilde Besson, 20 ans, étudiante en deuxième année de médecine, estime avoir eu beaucoup de chance. "Mes parents me soutiennent, et c'est très important pour moi." Vers 12-13 ans, la jeune fille interpellait souvent ses parents sur le sujet. Connaissaient-ils des homosexuels ? Comment réagiraient-ils si un de leurs enfants l'était ? "Ma mère était gay friendly, mon père moins conciliant, mais ça ne le gênait pas fondamentalement." Ce n'est que vers 15 ans qu'elle a pris conscience de sa différence. "Je suis sortie en seconde avec un garçon dont j'étais très amoureuse, mais pour qui je n'éprouvais pas de désir physique." Cette attirance troublante, elle l'a ressentie en prenant une amie dans ses bras. En début de terminale, elle a fait son coming out auprès de ses camarades. "D'un seul coup, je me suis dit que j'en avais marre de me mentir. Personne n'a été vraiment surpris." L'annonce à sa mère s'est faite plus tard, en première année de fac. "J'aimais une fille et je me confiais à ma mère en la faisant passer pour un garçon. Quand j'ai rompu, ma mère m'a dit, pour me consoler, que les garçons étaient immatures. Alors je lui ai dit que ce n'était pas "il", mais "elle"." Il a fallu deux semaines à la mère de Mathilde pour accepter la nouvelle. Elle s'est sentie coupable, s'est inquiétée pour sa fille avant de l'accepter pleinement. Mathilde n'a pas osé en parler à son père. Ce dernier, informé par son épouse, est allé vers sa fille, six mois plus tard, et lui en a parlé de lui-même, très naturellement.

Selon une étude menée par Caitlin Ryan, de l'université de San Francisco, publiée dans la revue américaine Pediatrics en janvier 2009, les jeunes gays et lesbiennes qui subissent, adolescents, des comportements de rejet de la part de leur famille auraient 8,4 fois plus de risques de faire une tentative de suicide, 6 fois plus de risques de faire une dépression et 3,4 fois plus de risques de se droguer, comparés aux homosexuels dont les parents sont plus compréhensifs.(...)


Article complet et dans le bon ordre :)) www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2010/05/15/le-difficile-aveu-de-son-homosexualite-a-ses-parents_1352197_3238.html

Voir également les très nombreux LIENS des ASSOCS dans les pages de Tasse de Thé : >>>NOS LUTTES   >>>>Si on s'éduquait....
 

Rappel : Le coming-out mal vécu nuit gravement à la santé  !
Un coming out mal accueilli peut vous pourrir la santé. C'est la conclusion d'une étude américaine selon laquelle les jeunes homosexuels, bi ou trans dont la famille a réagi négativement à l'annonce de leur orientation sexuelle risquent beaucoup plus de se suicider, de plonger dans de graves dépressions ou de prendre de la drogue.
Caitlin Ryan, la chercheuse de l'Université d'Etat de San Francisco qui a dirigé l'enquête publiée dans la revue "Pediatrics" de janvier, conseille donc aux parents ou tuteurs d'essayer de modérer leur réaction plutôt que de rejeter brutalement les jeunes gays et lesbiennes, dont la santé mentale pourrait en être fortement fragilisée.
Il apparaît par exemple qu'empêcher un jeune homo d'en fréquenter d'autres peut s'avérer aussi traumatisant pour l'intéressé que de l'insulter ou le frapper. L'étude montre comme la plupart des travaux sur la question que les jeunes gays et lesbiennes ont en moyenne moins de 11 ans la première fois qu'ils se sentent attirés par le même sexe, un peu plus de 14 quand ils comprennent qu'ils sont homosexuels, et moins de 16 ans quand ils l'annoncent à la famille.
Source Blog Ltoutes 30/12/2008

"Bien vivre son homosexualité et réussir son coming-out" de Béatrice Millêtre
(2006) - Editions Odile Jacob 

"Par peur d'être rejeté, de décevoir ou de faire souffrir, on est souvent contraint, lorsqu'on est homosexuel, de mentir et de cacher sa vie, à sa famille, à ses amis, aux personnes que l'on côtoie chaque jour.Et on en souffre. Or révéler son homosexualité permet de se libérer et de s'épanouir enfin. Comment alors l'annoncer ? Béatrice Millêtre propose des conseils pratiques pour réussir cette étape indispensable. Et ensuite ? Le processus continue... Ce livre apporte une réflexion et de nombreux conseils pour vivre sereinement son homosexualité tout au long de sa vie."
 
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Si vous ne l'avez pas fait  AVANT...
PRINCIPALES PETITES CHOSES qu'une Lesbienne doit ARRETER ?

12. Arrêtez de porter des cravates. Le mois d'Avril est maintenant terminé et c'est aussi valable pour vous ! (sans oublier les accessoires clinquants, le port du  jeans sans âge, et les dessous flanelle-quelque chose... )

11. Cessez d'acheter des Z-animaux de compagnie. Ma théorie c'est qu'après avoir introduit le deuxième animal de compagnie dans votre maison (et vous n'avez pas de gosses !), ce ne sont plus des "animaux de compagnie" mais juste...  des animaux !

10. Arrêtez de prendre la chambre à coucher pour une arène de corrida. Nous sommes deux femmes, on peut parler aussi. Oui, j'ai aussi une vie de femme, mais cela ne signifie pas que c'est la même que toi !

9. Limitez votre consommation de Milène Farmer. A la longue ça attaque.

8. Arrêtez de parler en détail de votre vie sexuelle. Tout le monde finit par connaître le mode d'emploi au féminin et au final...  ça n'est pas une bonne chose pour les hommes hétéro :))

7. Arrêtez un peu de rêver à l'amour en permanence. Il est bon d'avoir des amies... Rappelez-vous qu' elles seront toujours là, elles,  quand la votre sera partie!
>>>voir Vous avez-dit Rupture ?

6. Stoppez avec le tabagisme. Vous pouvez penser qu'il est délirant de respirer de l'air frais, et cela vous laissera du temps pour sélectionner une cravate et choisir les accessoires... :))

5. Cessez de tomber amoureuse de femmes hétéro. Et je ne le dirai jamais assez : Cessez de tomber amoureuse de femmes hétéro !

4. Rompez avec votre cercle-ghetto. Il y a des gens qui vivent au dehors : Gays, Hétéros, Noirs, Rouge, Verts, Bleus ou Roses...Ouvrez enfin votre horizon et rencontrez de nouvelles et charmantes autres personnes...  Si vous commencez à manquer à vos vieilles copines, ne vous inquiétez pas, elles iront au bar lesbien habituel, et Dieu sait qu'elles y seront !

3. Débranchez de l'abus d'alcool. Vous allez encore grossir et être encore malade dans les soirées ! ... Avez-vous si peur de vous surprendre,  à jeun, en forme et lucide...  ?

2. Arrêtez de plonger toujours dans le Drame version Lesbienne. Ou alors gardez-le uniquement pour votre intimité.
 

*

1. Et puis,  vous avez un si joli sourire, Arrêtez de faire tout le temps le museau... ce n'est pas drôle.

en VO. transmis par Kelly et librement adaptée par Tasse de Thé
Source:
http://thelesbianlifestyle.blogspot.com/2007/11/top-10-things-lesbians-need-to-quit.html
*BD Locas In Love de Jaime Hernandez ...  voir  BD  

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RUPTURES

Photo "Six Feet Under"

ELLE VOUS A QUITTéE...   et vous êtes au 36ème sous-sol
Tasse de Thé vous soutient adonf !

1ère grande certitude : - "Les blessures dont on se remet le plus difficilement,
sont celles où l'on a été dupe de soi-même !"
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(VO) How the Grinch Stole my Heart! (and my favorite sweatshirt...)
       Comment le Grinch a volé mon coeur! (Et mon sweat-shirt préféré ...)
Canada - 2009 - 10 ' présenté lors de nombreux
FESTIVALS L-GBT
Ecrit, dirigé et produit par Gabrielle Zilkha (voir plus bas)  
Avec : Sara Gilchrist (Abigail), Maria Dinn (The Grinch), Hallie Burt (la nouvelle petite amie d'Abigail) -
Narrateur : Spencer Evoy

SYNOPSIS : "Prenant comme motif le "Grinch", méchante et célèbre créature sans coeur,  figurant dans "Comment le Grinch a volé Noël" du  Dr. Seuss,  le court métrage comique de Gabrille ZILKHA est plein de satire humoristique pour parler des blessures et de la guérison des cœurs brisés dans l'amour...  "  Dans un snack-bar moderne, Abigail vit un cauchemar depuis que sa "Grinch ex-girlfriend" a rompu.  Ecrasé par cette perte, Abigail tombe dans un monde d'obsession, de harcèlement internet et d'automédication...  Mais finalement  Abigail est frappé par un sursaut d'estime de soi et semble triompher de son amour pour le Grinch (après avoir récupéré son sweet-shirt) ...   Elle pense s'être dégagé de l'étreinte du Grinch avec la rencontre d'un nouvel amour, mais ce n'est pas la façon dont cela fonctionne vraiment..." 

-  Ce SHORT LESBIEN est en VO (version originale, anglais) cependant, la plupart d'entre-nous,
  comprendront très vite le langage récalcitrant des coeurs brisés :)))
Tasse de Thé vous gâte trop...

 

La réalisatrice :Gabrielle ZILKHA (photo) ...   "Avant de déménager à Toronto en 2004, elle est diplômée du Collège Dawson à Montréal de théâtre professionnel. Elle a récemment terminé son baccalauréat à l'Université de Toronto en études de l'équité, l'anglais et études sur la diversité sexuelle. Gabrielle vise un avenir plus prometteur, se tailler une carrière qui allie sa passion pour la justice sociale et la théorie culturelle de son amour pour la vidéo artistique, le cinéma et le théâtre. "
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Dix Commandements en période de Rupture                       

1.-  N'écoute pas tes amies apitoyées sur ton sort, elles sont toutes passées par là et ça leur fait du bien quelque part...  ou alors, elle font des plans pour sauter dans ton lit, maintenant que tu es sur la liste des single et vautrée comme une carpette, à te soûler tous les soirs, en dansant le twist pour l'oublier...

2.- Ne souffre pas en silence, ça ne sert à rien du toouuut  : HUUURLLE !

3.- Elle n'était pas pour toi, OK mais alors pour personne d'autre? !

4.-
 "Souvent Femme varie, Bien Fol qui s'y fie"  (François 1er... )

5.- Elle croit peut-être que tu vas te laisser aller, descendre au plus bas, pleurer ta mère, sauter dans le vide de tes nuits blanches,  tout  re-niveler vers le bas... écouter Céline Dion ?
Et elle aura raison car c'est exactement ce que tu vas faire.

6.- N'essaie pas composer avec le deuil, habille toi en noir, pleure ,  ferme tes volets, ne sort pas de chez toi, use 1000 boites de kleenex, ne répond pas au tél., écoute de la Ziiiik bien gluante, et avance à l'enterrement,  expressive et magistrale....  Roule toi avec volupté dans le goudron et les plumes des amours défuntes... avec au final avec quelques kilos en moins, pas négligeables !

7.- Tu l'aimes encore ?
(niak, niak, niak,..)

8.- La rupture, c'est le commencement d'une rencontre.

9.- Relire la phrase

10.- Tu as mal de ce qui existe ... "entre les travaux d'approche et les cortèges d'adieux".


MORALI- THé
- "Il n'y a qu'une seule façon d'arrêter de souffrir. C'est d'être enfin heureuse !"  
  
Signé Arianas-la-Furynx, Ethnologue lesbienne (Equipe Tasse de Thé)


PS :
 >>>  et relisez BIEN Le Petit Manuel "LESBIEN"

ou La vraie Cuisine Goudouxe

ou   Au Bonheur des Psy

ou  Les prédictions d'Irma

ou
  En cas de Blues intense only

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     en construction permanente...



 

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