"Emmanuelle" symbolisait la révolution sexuelle des années 70...
Sylvia Kristel, alias "Emmanuelle", est décédée LA HAYE L'actrice néerlandaise Sylvia Kristel, connue dans le monde entier pour avoir incarné l'héroïne du film érotique "Emmanuelle", est décédée à 60 ans...
"L'actrice néerlandaise Sylvia Kristel, connue dans le monde entier pour avoir incarné l'héroïne du film érotique "Emmanuelle", est décédée à 60 ans dans la nuit des suites d'un cancer, a annoncé son agent jeudi.Sylvia Kristel était devenue célèbre avec son premier film, "Emmanuelle", sorti en 1974. Tourné par le réalisateur Just Jaeckin, il était une adaptation du roman du même titre d'Emmanuelle Arsan. (...)
L'actrice avait été victime d'une attaque cérébrale début juillet et avait été hospitalisée. L'agence a refusé d'indiquer si l'actrice était décédée chez elle ou à l'hôpital. Mme Kristel avait été soignée pour un cancer de la gorge et avait subi un traitement contre des métastases au foie.
Le film, qui a connu un succès international, du Japon aux Etats-Unis, raconte les aventures sexuelles d'une jeune femme en Asie. Il était resté treize ans à l'affiche sur les Champs-Elysées à Paris.
Sylvia Kristel avait tourné ensuite, avec un succès moindre, "Emmanuelle 2" en 1975, "Goodbye Emmanuelle" en 1977 puis "Emmanuelle 4" en 1984."
"... A l’affiche pendant 13 ans dans un cinéma des Champs Elysées, le film reste l’un des plus grands succès du cinéma français. L’actrice tourne ensuite Emmanuelle 2 en 1975, Goodbye Emmanuelle en 1977 puis Emmanuelle 4 en 1984. Victime de son succès, Sylvia Kristel n'est jamais parvenu à se défaire de son personnage érotique. Après plusieurs déceptions sentimentales, la belle néerlandaise sombre dans la drogue et l’alcool. Dans les années 90, elle connait un relatif succès en tant que peintre.
Depuis 2002, l’actrice était soignée pour un cancer de la gorge et du poumon, elle avait publié son autobiographie en 2006, intitulée « Nue ».www.lexpress.fr/culture/livre/ne-l-appelez-plus-emmanuelle_821596.html
VIVENT
LES POILS
PUBIENS !
Source
360.ch
15/08/2012 Une
doctoresse
américaine
tire la
sonnette
d'alarme: le
ratiboisage
de nos
entre-jambes
est tout
sauf
«hygiénique».
Elle appelle
à une trêve
dans la
guerre
déclarée aux
poils depuis
quelques
années.C'est
devenu un
marché
stratégique
pour les
instituts de
beautés et
pour
l'industrie
cosmétique,
qui vantent
désormais
ouvertement
le look
«lisse» ou
«propre» de
parties
génitales
débarrassées
de leurs
poils. On
peut se
perdre dans
les
explication
psy ou
sociologiques
données sur
le
phénomène.
Si elles
diffèrent
selon le
sexe (les
plus
techniques
étant la
vogue du
bikini pour
les filles
et la mise
en valeur du
pénis pour
les mecs),
elles ont
un point
commun: la
croyance en
ce que le
rasage
apportera
davantage
d'hygiène.
Or ce serait
l'inverse,
avance une
professeure
américaine.
«Il y a un
bon bout de
temps que
les
chirurgiens
se sont
rendu compte
que le fait
de raser une
partie du
corps avant
une
intervention
avait plutôt
tendance à
augmenter
qu'à
diminuer les
infections,
écrit
le Dr Emily
Gibson sur
le blog
AlterNet.org.
Quels
que soient
les armes
sophistiquées
utilisées –
lames,
rasoirs
électriques,
pinces,
cire, crème
dépilatoires,
électrolyse
– le poil,
comme la
mauvaise
herbe,
reprend
toujours le
dessus.
Pendant ce
temps, la
peau se
transforme
en champ de
bataille.»
Tableau
"L'origine
du monde"
Gustave
Courbet 1866
Musée
d''Orsay ... L'épilation irrite, enflamme et
laisse des
plaies
microscopiques,
surtout s'il
est – et il
l'est
forcément –
répété. La
suite est
facile à
deviner,
poursuit le
médecin.
«Quand cette
irritation
se combine
avec
l'environnement
humide des
parties
génitales,
cela devient
une joyeux
bouillon de
culture pour
les plus
méchantes
des
bactéries
pathogènes:
streptocoques,
staphylocoque
dorés, etc.»
Le médecin
souligne
qu'il n'est
pas
exceptionnel
pour les
adeptes de
la peau
lisse de se
retrouver
avec des
pustules,
voire des
abcès au
pire endroit
imaginable.
Bon appétit.
Et ce n'est
pas tout:
les
microlésions
seraient
également
une porte
d'entrée
pour les
infections
sexuellement
transmissibles,
comme
l'herpès.
Pitié,
une trêve!
implore la
généraliste.
Elle
rappelle que
les poils
pubiens ont
leur raison
d'être:
adoucir le
frottement
susceptible
d'endommager
la peau,
mais aussi
la protéger
des
bactéries. A
cet égard,
ce n'est
certainement
pas quelque
chose dont
on doit être
embarrassé
ou honteux.
Reste à
convaincre
les adeptes
du string
pendant ces
dernières
semaines à
la plage."
Article
complet
http://360.ch/blog/magazine/2012/08/poils-pubiens-laissez-les-vivre/
HUMOUR
"Pourquoi
avons-nous
des poils
?"
>>>>à voir
Expo "CULTURE
TOUF"
(cliquez sur
la photo
pour
l'agrandir
et sur le
fond noir
pour revenir
en arrière
et... faites
le tri des
intrus :))
-
Totales Goudous, Lesbies, Lez, Dyke, Girlz,
Gouines,
Goudes, Garçons manqués, Amazones, Lesbi-Fems,
Butchs,
Drag Kings, Boïs, Tomboys, Lesbiennes
branchées, Sappho d'un soir, Lesbi-Trans,
Ex-hétéros,
Lesbiennes tendance-Bi,
Lesbiennes tendance-Bio, Lesbians, lesbisch, lesben,
Lesbicas et Lesbianas...
Lesbi-Sorcières,
Euro-Lesbiennes
et
LezWebiennes
!
... d'où
vient le mot
"Gouine" ? *
"Gouine"
est un terme
du français
populaire
désignant
une
lesbienne
habituelle.
Malgré une
connotation lesbophobe,
le mot a été
repris sans
connotation
négative par
les
lesbiennes
organisées
qui
l'utilisent
dans divers
contextes.
Le mot
apparaît
entre 1625
et 1655
"gouyne"
dans le sens
de "femme de
mauvaise
vie", sur le
mot normand
"gouain",
salaud,
lui-même de
l'hébreu
"goyim"
(non Juif).
Selon Alfred
Delvaud, ce
mot d'argot
dériverait
de l'anglais
"queen",
pour
désigner les
prostituées,
"reines de
l'immoralité"
au XIXe
siècle.
Il est
rapproché de
goule(*)
dans l'idée
de femme
dévoreuse,
et de gouge
pour
désigner les
femmes "de
mauvaise
vie".
Dans la
mesure où on
pensait
alors que
l'homosexualité
féminine se
trouvait
surtout chez
les
prostituées,
les
lesbiennes
sont
rapprochées
des
prostituées
et le terme
se
spécialise
dès 1867.
Il
est alors
précédé par
gougnotte,
avec lequel
Pierre Louÿs
intitule
certains de
ses poèmes,
et
concurrence
aussi
gousse,
du verbe "gousser",
manger.
Le terme
gouine est
utilisé
banalement
mais il sert
aussi comme
insulte
directe
attaquant
l'honneur et
la
réputation
des femmes
homosexuelles.
Il est
d'abord
employé par lesbophobie,
pour
humilier,
blesser et
dévaloriser
une ou des
personnes.
Les insultes
sexistes lui
sont
cependant
souvent
préférées.
Le terme
gouine est
encore
aujourd'hui
un terme du
langage
argotique
désignant
les femmes
homosexuelles.
Il peut
aussi être
assimilé au
terme "pédé"
désignant
les
homosexuels
masculins
dans la
manière dont
il est
utilisé.
En Amérique
du Nord, le
Congrès du
travail du
Canada a
publié les
définitions
de termes
dits LGBT.
La
définition
qu'ils
donnent du
mot gouine
synonyme
pour eux des
termes
anglais
Dyke et
francisés
"Dykette"
est la
suivante :
«Terme
péjoratif
utilisé
auparavant
pour
désigner les
lesbiennes,
réapproprié
depuis comme
identité
positive par
bon nombre
de
lesbiennes.
»
À l'origine
d'une
utilisation
péjorative,
le mot
gouine
aujourd'hui
tendrait à
être utilisé
d'une
manière
atténuée
dans le
langage
courant même
s'il reste
dépréciatif.
Réappropriation
C'est à
partir du
début des
années 1970
que les
lesbiennes
se
réapproprient
le terme,
notamment
les Gouines
rouges (pour
lesbiennes
communistes)
du FHAR. La
reprise du
mot infâmant
permet de
revendiquer
a contrario
la fierté de
son
identité.
Il entre
aussi dans
des jeux de
mots comme
"gode
save the
gouine".
Parfois, le
mot est
accolé au
terme
homophobe
"pédé" en
pédégouine
ou
transpédégouine
pour
désigner la
communauté
LGBT par ses
propres
représentants,
de manière
décomplexée
et sans but
homophobe..
Un dérivé,
goudou,
existe,
ressenti
comme moins
péjoratif et
plus
amical,
voire
tendre.
Monique
Wittig et Sande Zeig
inventent
pour ce
dernier mot
l'origine «
la célèbre
chanson "le goût
doux que
j'ai de
vous"
»7 Il est
très souvent
repris dans
la
communauté
lesbienne
..."
(*)
La goule
(de l'arabe
al-ghûl,
le « démon
», la «
créature
»...) est
une créature
monstrueuse
du folklore
arabo perse
qui apparaît
dans les
contes des
Mille et Une
Nuits.
Elles
forment une
classe de
Jinn,
comme les
Éfrits par
exemple, et
sont donc à
ce titre
l'engeance
du diable,
Iblis. Les
goules
changent de
forme,
prenant le
plus souvent
l'apparence
d'une hyène
ou celle
d'une femme,
mais elles
sont
reconnaissables
à leurs
pieds
fourchus,
seul élément
constant de
leur
apparence.
La ghula,
féminisation
du mot
arabe, est
l'équivalente
arabe/perse
de Lilith
(Lamia).
>>>Notre Histoire
On retrouve
ses
homologues
dans la
mythologie
hindoue,
Yogni et
Dakini,
chaldéenne,
Utug et
Gigim
(démons du
désert) et
russes,
Baba Yaga.
Le poète
anté
islamique
Ta'abbata
Charrane
décrit dans
l'un de ses
poèmes sa
rencontre et
sa lutte
contre une
goule. La goule
affectionne
les
cimetières
où elle
déterre les
cadavres
pour s'en
nourrir et
dans
d'autres
endroits peu
fréquentés.
La goule
hante aussi
le désert
sous les
traits d'une
jeune femme
et elle
dévore les
voyageurs
qui
succombent à
ses appels,
non sans
rappeler
les sirènes
du récit de
l'Odyssée.
De nombreux
récits
terrifiants
destinés aux
enfants ont
pour acteur
principal
une goule
dans les
pays du
Maghreb. La
goule y joue
souvent le
rôle du
Grand
méchant
loup."
Source
http://fr.wikipedia.org/wiki/Goule
Découvrez
la
maison
qui
immortalise
la
culture
lesbienne
à
New-York
Dans
la
maison
des «Lesbian
Herstory
Archives»
se cache
une
importante
collection
de
documents
et
d'objets
traitant
de la
culture
lesbienne.
Avec
plus de
11 000
livres,
des
badges,
des VHS
et
même...
des
sextoys.
Suivez
le
guide.Source
tetu.com
24/10/2011
A
New-York,
dans un
quartier
résidentiel
de
Brooklyn,
à quinze
minutes
en métro
du cœur
de
Manhattan,
il
existe
une
curiosité.
Un lieu
insolite,
improbable
même,
mais
précieux:
les
Lesbian
Herstory
Archives.
Il
s'agit
d'une
petite
maison
privée
comme
les
autres
-une
brownstone
comme on
dit
là-bas,
qui
a la
particularité
d'abriter
«la plus
grande
collection
d'objets
conçus
par et
sur les
lesbiennes
et leur
communauté». Créée
en 1974
par un
groupe
de
femmes
majoritairement
lesbiennes,
la
collection
demeure
durant
ses
quinze
premières
années
dans
l'appartement
de Joan
Nestle,
une des
initiatrices
du
projet,
avant de
prendre
résidence
en 1990
(pour
une
ouverture
publique
en 1993)
dans le
quartier
de Park
Slope, à
Brooklyn.
Si ces
milliers
de
documents
reconstituant
l'histoire
lesbienne
ont pu
s'offrir
un tel
espace,
c'est
grâce à
la
création,
dans les
années
1980,
d'un
«comité
de
coordination»
destiné
à
rechercher
des
fonds.
Celui-ci
a permis
l'obtention
d'un
emprunt
à la
banque
et son
remboursement
dans les
délais.
Impossible
n'est
pas
américain...
CD,
T-shirts
et
sextoys...
Aujourd'hui,
la masse
des
objets
archivés
est
impressionnante.
Constituée
grâce
aux
contributions
de
particuliers
ou
d'organisations,
la
collection
est le
résultat
glorieux
de plus
de
trente
années
de dons,
en main
propre
ou par
courrier,
de
lesbiennes,
d'ami(e)s,
d'inconnu(e)s,
d'anonymes.
On y
trouve
de tout:
des
documents
publiés
ou non,
des
livres,
des
journaux
intimes,
des
comptes-rendus
de
conférences,
des
journaux,
des
photographies,
des
cassettes
audio,
CD, DVD,
VHS, des
objets
d'art,
des
T-shirts,
des
badges,
des
calendriers
et même
des
sextoys! Au
premier
étage,
on
trouve
une
bonne
partie
des
quelques
11 000
livres
écrits
par ou
sur les
lesbiennes,
datant
du 19ème
siècle à
aujourd'hui.
Tous
sont
catalogués
dans la
base de
données
et sont
classés
par
thème:
science-fiction,
poésie,
humour,
«pulp
novels»,
théorie
lesbienne,
santé,
sports,
sexualité...
La liste
est
longue.
Lors de
notre
visite,
un
chercheur
photocopiait
les
journaux
intimes
qu'une
dame
«d'un
autre
temps»
avait
offerts
aux
archives.
Collections
personnelles
- Dans
ces
archives
lesbiennes,
on
trouve
même...
une
cuisine
(!),
avec,
dans un
coin, la
collection
de
cassettes
vidéo
(des
produits
commercialisés
ou des
enregistrements
faits
maison).
Chaque
pièce
est
peuplée
d'objets
insolites:
dans les
toilettes,
on peut
ainsi
trouver
une
veste «Dyker
Union»;
dans la
salle de
bain,
une
énorme
collection
de
badges
lesbiens
et
féministes.Au
second
étage,
on
découvre
le plus
fascinant
peut-être:
des
articles
et des (auto)biographies
non
publiés,
des
dizaines
d'années
de
presse
nationale
et
internationale.
On peut
également
y voir
des
collections
personnelles-
car
chacun(e)
à le
droit de
créer sa
propre
collection
au sein
des
Archives.
Tout
le monde
peut y
envoyer
ses
propres
documents.
Son
petit
morceau
d'Histoire.
"
Adresse
:LHEFF,
INc. PO
Box 1258
New
York, NY
10116
NB : En
France ,
nous
avons
aussi
des
Archives
Lesbiennes
:
Les ARCL Archives Recherches
Cultures Lesbiennes Notre Histoire
"L'immense fonds d'archives lesbiennes se trouve à la Maison des
Femmes de Paris, 163 rue de Charenton, à Paris dans le 12ème
arrondissement, 01 46 28 54 94. Trop peu de lesbiennes sont au
courant et les archives gagneraient à être exploitées pour enfin
construire une histoire des lesbiennes digne de ce nom... " - ouvertes à toutes,
tous les jeudis de 19h à 21h30.
Site :http://arcl.free.fr
"Do It
Yourself
([D.I.Y])"
Un
collectif
surmotivé
«pour
faire
vivre la
culture
lesbienne»
à LILLE
Source
tetu.com
12/10/2011
>>>Nord-Ouest Deux
Lilloises
pleines
d'enthousiasme
viennent
de
fonder
un
collectif
pour
partager
la
culture
lesbienne
et faire
bouger
les
filles
et les
garçons.
Première
soirée
vendredi,
avec une
très
belle
affiche!
Pour
commencer,
la
première
édition
de leur
soirée
trimestrielle,
la
Klubenkraft,
aura
lieu ce
vendredi.
Soirée
Klubenkraft
le
14/10/2011
-
Minuit/7h
- Etik
Clib 29 bd
Jean-Baptise
Lebas à
Lille Une
soirée
faite
par des
filles,
pour des
filles,
mais
ouverte
à un
public
plus
large,
sous le
signe de
la fête
et de
l'art.
Au
programme:
DJ set
électro,
avec
notamment
Jennifer
Cardini,
et
performances
visuelles,
le tout
à l'Etik,
un club
lillois
tenu par
des
passionnés
de
musiques
élec
troniques.
Do It
Yourself
([D.I.Y])
www.collectifdiy.com Cécile,
graphiste
et
peintre,
et Noé,
étudiante
en arts
plastiques,
se
connaissent
depuis
10 ans.
C'est
avec
leurs
économies
personnelles
et
l'aide
d'amis
qui ont
cru en
leur
projet
qu'elles
ont pu
fonder
le
collectif
[D.I.Y],
dans
l'objectif
de
«décloisonner,
casser
les
codes et
les
idées
reçues».
Pour
Noé, «à
Lille,
il n'y a
que deux
boîtes
homo,
surtout
fréquentées
par des
hommes,
ou des
soirées
filles
sans
aucune
mixité
autorisée.
Nous
avons
envie de
partager
la
culture
lesbienne
avec le
plus
grand
nombre.»
Son
berlinois
à
l'honneur
mais
Paris,
Berlin
ou
Londres...
Il y
aura un
peu de
chaque
capitale
dans le
son et
l'ambiance
de la
soirée.
(...)
Expos,
performances,
concerts,
ateliers... Et
pour que
la
Klubenkraft
reste
festive,
elle
sera
déclarée
«Drug
Free
Zone»,
avec un
stand de
sensibilisation
sur les
dangers
des
drogues
et de
l'alcool.
«J'ai
constaté
depuis
quelques
années
la mode
de la
coke, et
maintenant
la MD
est
partout,
explique
Noé.
Nous
avons eu
envie de
recentrer
la fête
sur ce
qu'elle
est
réellement,
à savoir
une
interaction
entre
des
artistes
de
qualité
et un
public,
un
échange.»
Pas
question
de faire
la
morale,
mais
plutôt
d'informer
les
consommateurs
et ceux
qui
s'interrogent...."
Article
complet
www.tetu.com/actualites/france/lille-un-nouveau-collectif-surmotive-pour-faire-vivre-la-culture-lesbienne-20311
Le Top
des
Mecques
Lesbiennes
aux
États-Unis
Si vous
êtes à
la
recherche
de
nouveaux
endroits
pour des
vacances
en
compagnie
de
femmes,
de
quelques
destinations
d'escapades
lesbiennes
favorites...
Que vous
songiez
à
déménager,
ou tout
simplement
à faire
du
tourisme
aux USA,
voici
les
villes
où
aiment
vivre
les
lesbiennes....
en cours
complément
...
La
première:
Northampton,
Massachusetts
Surnommée
"Lesbianville
des
Etats-Unis"
par
le
National
Enquirer
La
en
1992,
Northampton,
MA
est
la
meilleure
ville
en
Amérique
pour
les
lesbiennes.
La
zone
de
Northampton
a
toujours
été
un
endroit
agréable
à
vivre,
et
parce
que
les
gais
et
les
lesbiennes
peuvent
se
marier
légalement
dans
le
Massachusetts,
il
dépasse
notre
liste.
Northampton
est
une
petite
ville,
mais
à
cause
de
nombreuses
universités,
y
compris
Smith
College,
Northampton
a
toutes
les
offres
culturelles
d'une
grande
ville. "...
Northampton
est
une
petite
ville,
avec
deux
rues
principales
et
environ
30.000
habitants,
mais
vous
verrez
probablement
plus
lesbiennes
qui
marchent
par
ici
qu'à
Chicago,
Paris
ou
Sydney.
Vraiment,
elles
sont
partout!
Alors,
comment
est-ce
arrivé?
Il
n'y
a
pas
une
simple
réponse,
mais
quelques
facteurs...
Tout
d'abord,
Northampton
est
à le
Smith
Collège,
le
plus
important
en
Amérique
collège
d'arts
libéraux
pour
les
femmes
(Gloria
Steinem,
fondatrice
du
magazine,
Mme
Sylvia
Plath
poète
renommée,
Bell
Jar
et
Betty
Friedan,
auteure
de
"The
Feminine
Mystique"....
(...)
Sans
doute
aussi
parce
que
Northampton
(NoHo),
est
connue
pour
être
le
lieu
d'
icônes
lesbiennes
telles
que
Rachel
Maddow,
première
lesbiennes
de
la
télévision
américaine.(...)
D'autres
femmes
célèbres
comme
l'aviatrice
Amelia
Earhart
et
Alison
Bechdel,
auteur
de
BD
"Dykes
to
Watch
Out
For",
ont
aussi
vécu
ici.
(...)
Et
surtout,
le
Massachusetts
est
l'un
des
États
les
plus
libéraux
d'
Amérique,
premier
des
deux
seuls
Etats
à
rendre
le
mariage
gay
juridique
(l'autre
est
le
Connecticut).
La
ville
a un
maire
ouvertement
lesbienne,
Clare
Higgins,
son
propre
Journal
LGBT,
dirigé
de
longue
date
par
deux
lesbiennes
et
un
certain
nombre
d'entreprises
qui
appartiennent
aussi
à
des
lesbiennes.
Plus
qu'une
ville
lesbienne,
Northampton
est
aussi
une
belle
ville
universitaire
avec
de
grands
magasins,
d'excellents
restaurants,
à
proximité
des
sentiers
de
randonnée,
et
plusieurs
de
premier
ordre
les
salles
de
concert...
Située
à
seulement
quelques
heures
de
Boston,
vous
pourrait
facilement
visiter
ces
deux
destinations
pour
vos
vacances
en
Nouvelle-Angleterre
!"
Portland,
Oregon
Si
Northampton
est
la Lesbianville
de
l'Est,
Portland
est
Lesbianville
de
l'Ouest.
Lesbiennes
se
rejoignent à
Portland
pour
les
mêmes
raisons,
c'est
un
endroit
agréable
à
vivre.
Entre
autres
distinctions,
Portland
a
été
classé
comme
le
meilleur
"Walking
City"
et
"Best
vélo
City"
en
Amérique.
Bien
que
les
électeurs
aient
voté
une
loi
contre
le
mariage
gay
l'année
dernière,
les
résidents
Portland
penchent
plus
à
gauche
que
le
reste
de
l'Etat.
Ajouter
une
scène
de
la
grande
musique
et
beaucoup
de
lieux
de
rencontre
lesbiennes.
San
Francisco,
en
Californie
San
Francisco
doit
être
la
ville
la
plus
Gay
sur
la
terre.
Et
ce
n'est
pas
seulement
pour
les
garçons.
Que
vous
soyez
un
jeune,
d'un
genre
politique
ou
queer
sexe
ou
une
lesbienne
en puissance,
San
Francisco
ne
peut
pas
être
battue.
Promenez-vous
sur
le
Golden Gate
Park
ou
achetez des
banc de
mariage
dans
le
Castro.
Avec
l'un
des
meilleurs
droits
de
partenariat
de
la
nation et
de
lois
nationales
de
protection
des
enfants,
San
Francisco
est
aussi
un
endroit
idéal
pour
élever
une
famille.
New
York,
New
York
La
plus
grande
ville
dans
le
monde
est
aussi un
paradis
pour
les
lesbiennes. Brooklyn's
Park
Slope
quartier
où
les
sœurs
saphiques
de
New
York
ont
tendance
à se
rassembler,
mais
la
ville
qui
ne
dort
jamais
a
quelque
chose
pour
les
lesbiennesn
de
tous
âges,
de
convictions
politiques
et
de
fond
dans
l'ensemble
de
ses
quartiers.
Dans
le
classique Rubyfruit
et
l'art
de
la
performance
ésotérique
dans
Soho.
Que
vous
souhaitiez
visiter
le
lieu
des
émeutes
de Stonewall
ou
le Riot
grrl New
York
City
est
un
endroit
pour
vous.
Atlanta,
en
Géorgie
Atlanta
est
la
capitale
queer
du
Sud.
Que
vous
vouliez
vous
dégourdir
les
pieds
et
danser
au bar Sister's
Room
lesbiennes
ou
passer
un
après-midi
à
la
librairie
gay
et
lesbienne
Outwrite.
Avec
un
des
plus
grands
défilés
de
la
fierté
gay,
un
festival
du
film
gay
et
de
nombreuses
autres
manifestations
culturelles,
vous
comprendrez
pourquoi
certaines
l'
appellent
aussi
"Hot-Lanta."
Asheville,
Caroline
du
Nord
Les
couleurs
d'automne
sont
à
leurs
plus
beaux
atours
à
Asheville,
une
ville
remarquable
"artsy"
où
les
femmes
marchent
main
dans
la
main
et
l'art
déco,
beaux-arts,
et
de
l'architecture
néoclassique
créent
un
cadre
élégant.
Les
meilleurs
endroits
pour
rencontrer
les
filles...
entre
le
parc
national
Shenandoah
et
les
Great
Smoky
Mountains
ou
dans
les
jardins
du
centre-ville
Asheville
botanique.
Lively
Malaprops
appartenant
à la
librairie
lesbienne
et
plaque
tournante
de
la
communauté
des
femmes,
a
une
terrasse
de
café.
C'est
l'idéal
pour
parcourir
la
perche
dames
locales.
Une
fois
qu'il
est
trop
sombre
pour
admirer
le
feuillage,
une
soirée
livre
remplie
au
Cercle
de
poésie...
où
les
habitantes
et
visiteuses
peuvent
discuter
des
œuvres
telles
que
les
écrivains
lesbiennes
Audre
Lorde
de
Sister
Outsider.
Key
West,
en
Floride
Si
vous
êtes
d'humeur
pour
une
semaine
dans
le
sud
au
WomenFest
(
WomenFest.com
en
Septembre
),
alors
que
3000
femmes
de
plus
de
126
cours
d'eau
et
42
miles
ponts
par
les
Florida
Keys
à la
pointe
sud
de
la
États-Unis...
Le
WomenFest
vous
propose
des
événements
chauds
comme
la
"pool
parties"
et
avec
option-vêtements
pour
la
monte
de
taureau
concurrentiel.
Vous
trouverez
des
femmes
partout
durant
le
festival
mais
plus
facile
en
réservant
l'une
des
38
chambres
de
luxe
Pearl's
Rainbow,
une
seule
auberge
de
femmes.
Eugene,
Oregon
Bénéficiant
d'un
chœur
lesbiennes,
Realtors
lesbiennes,
un
groupe
de
bal
lesbiennes
danse,
le
café
des
femmes,
l'écriture,
et
des
groupes
de
randonnée,
et
une
célèbre
université
d'arts
libéraux,
cette
ville
universitaire
de
150.000,
à
100
miles
au
sud
de
Portland,
est
votre
destination
si
vous
aimez
vos
femmes
capable
de
dynamiser
le
débat.
2009
a vu
l'Université
de
la
femme
de
l'Oregon
et
d'accueil
des
sexes
département
études
de
la
première
conférence
en
études
lesbiennes
(thème
de
cette
année
était
«L'incroyable
Shrinking
Lesbiennes
mondiale
et
d'autres
Queer
Conundra.")
Pour
rencontrer
des
gens,
communiquez
avec
Lavande
Femmes
(kayak,
le
club
du
livre
nuits
et
repas-partage)
Sinon,
au
Coffee
Company
Eugène
Madison,
Wisconsin
Un
autre
point
chaud
universitaire,
mais
aussi
une
ville
ayant
un
poids
politique
important,
la
capitale
du
Wisconsin
est
le
siège
de
la
représentante
des
lesbiennes
Tammy
Baldwin.
La
ville
isthme
(Madison
est
perché
entre
les
lacs
Mendota
et
Monona)
est
un
processus
dynamique,
accueillante,
ville
universitaire
et
active
de
230.000.
Vous
ferez
des
rencontres
dans
le
salon
des
lesbiennes
Foxhole,
et
au
LGBT
Club
5...
Le combat de Céline
Source 2Articles - lunion.presse.fr
17/05/2010
Homosexuelle et fière de l'être, Céline
espère que la France légalisera un jour le
mariage des couples du même sexe… -
CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (Marne). «Ce que je voudrais dire aux homophobes,
c'est qu'on n'a pas choisi d'être
homosexuel. Que ça aurait pu leur arriver à
eux, qui n'ont pas choisi non plus d'être
hétéro. Hétéro, ça leur est arrivé comme ça…
» Un jour, elle a été agressée
physiquement, au nom de sa différence
sexuelle. Elle en a souffert. Elle s'est
relevée. Elle a continué son chemin de vie.
Elle assume. Céline a le cheveu court. Sur
un bras, un indélébile tatouage, les
symboles enlacés de la féminité dans le
langage visuel génétique : «J'ai simplement
fait graver ma fierté. Je sais qu'il y en a
qui n'ont pas besoin de marquer leur
différence. Moi je suis très fière d'être
homosexuelle. Je le sais depuis toujours.
Ces choses se sentent toute petite. Même si
au début, on ne sait pas trop ce que cela
signifie».
voir>>>
HOMOPHOBIA
Son style vestimentaire est asexué et son
aspect quasi masculin en dépit de l'extrême
finesse des traits de son visage : « J'ai
toujours eu ce côté garçon manqué. Sans que
je m'explique pourquoi. J'ai souvent
demandé ceci à mes amours : pourquoi, si je
suis lesbienne, tu sors avec quelqu'un qui
ressemble à un garçon. Parce que moi, il
faut que ma femme ressemble à une femme ! ».
Céline a dix-neuf ans. Elle est serveuse
dans la vie. Elle dit que les femmes
aiment chez elle sa beauté, son sourire, son
enthousiasme et son instinct de protection.
Elle se libère progressivement de tous les
jougs. Céline sait qu'elle a de la chance.
Ses parents ont toujours accepté sa
différence. Alors que d'autres filles
subissent une pression si forte que
certaines essaient de rentrer dans la norme,
à savoir au bras d'un garçon. Céline raconte
le cas d'une amie qui a voulu tenter
l'aventure dans un lit masculin : « Elle m'a
dit que quand elle l'avait fait pour la
première fois avec une femme, elle avait eu
ce déclic qu'elle était faite pour les
femmes. Et là, après avoir fait l'amour avec
cet homme, elle a eu le déclic qu'elle
n'était pas faite pour les hommes ! C'était
devenu pour elle une certitude. Ça l'a
rendue plus forte ». Et d'ajouter : « Sa
mère lui disait surtout, que ce qu'elle ne
supporterait pas avec l'homosexualité, c'est
de ne pas pouvoir garder des petits-enfants.
Elle lui a répondu dit que pour les
petits-enfants, il restait sa sœur… ». Mais
Céline de se démarquer : « Personnellement,
je ne suis jamais allée avec un homme. Je
n'irai jamais ».
Le cœur de Céline est pris. Il s'agit
d'une femme de 24 ans qui a déjà vécu en
couple lesbien : « Je crois que j'avais
besoin de quelqu'un qui sache ce que c'est.
J'ai besoin de sécurité ». Si c'est
possible, Céline aimerait des enfants : « Un
garçon et une fille. Par insémination
artificielle. Mais pas avant 25 ans. Et dès
que les enfants seront en âge d'apprendre,
on leur dira tout pour nous, avant qu'ils ne
se rendent compte par eux-mêmes. D'ici là,
on espère que les choses auront encore
évolué ».
Une évolution et un rêve au bout : « Que
le mariage gay soit un jour permis en France
». Qui sait. Pour défendre ce thème ou
un autre, on verra peut-être Céline et son
amie à la prochaine gay-pride : « J'ai
envie d'y aller. Pour être ensemble, entre
gens comme nous. Comme ça, on aura
l'impression que sont les hétéros qui sont
en minorité ».
En attendant, reste en elle l'impatience de
vivre son idylle au grand jour, quand elle
partagera avec sa compagne un même
appartement. Sans mentir aux gens, en disant
qu'elles sont deux amies qui vivent
ensemble. De toute façon, le leurre ne
prendrait pas. Car, comme une femme lui a
glissé un jour : « Franchement, t'as
vraiment pas une tête de meilleure amie… ». Le vœu de Céline : « Que le mariage
gay soit un jour permis en France ».
>>>Droit au Mariage
!
«
Ce qu'on a n'est pas contagieux »
Source article www.lunion.presse.fr
17/052010
Anna et Isabelle : « C'est Dieu qui nous
a faites comme on est ».
Nous les nommerons Anna et Isabelle. Toutes
deux sont châlonnaises. La première a 25
ans. La seconde en a 21. Elles vivent
ensemble dans le quartier Schmit : « Dans la
rue, on se tient la main. Mais c'est tout.
On ne s'embrasse pas. On ne veut pas choquer
».
Ne pas choquer, tel est le credo de ces deux
homosexuelles à qui il arrive cependant de
constater que l'intolérance est toujours là.
Comme cette anecdote vécue en ville alors
que les compagnes cheminaient ensemble : «
En face il y avait une femme, à peine plus
âgée que nous, qui était avec son fils.
Quand elle nous a vues, elle a dit à son
fils : viens, on change de trottoir. Je n'ai
pas pu m'empêcher de lui dire : t'en fais
pas, ce qu'on a n'est pas contagieux, ton
fils ne l'attrapera pas ! ». Discrimination à l'emploi - Elles
attendent de la société qu'elle fasse
avancer les choses. Reste du chemin à
parcourir, assurent-elles, dans à peu près
tous les domaines. Anna par exemple, a vécu
la discrimination par l'emploi. Il y a peu,
elle travaillait pour le compte d'une grande
enseigne d'électroménager. Elle dit qu'elle
n'a pas pu supporter la pression ironique de
la hiérarchie quant à sa préférence sexuelle
: « Tout était fait pour que je m'en aille.
J'ai fini par partir ». Anna et Isabelle aimeraient surtout une
chose, s'unir officiellement :«
Nous, on n'a que le Pacs. D'accord, c'est
déjà ça, mais pourquoi pas le mariage devant
Dieu ? Moi je suis croyante. Et Dieu est
amour. Il nous aime. C'est lui qui nous a
faites comme on est ». Quand elles
auront construit leur vie professionnelle,
les deux femmes aimeraient des enfants. Par
méthode naturelle : « Parce qu'on a le corps
fait pour ça. On le fera avec un homme. Les
hommes sont tolérants avec ces choses-là. On
en portera un chacun. Mais il faut d'abord
que l'on trouve un travail. Il nous faut le
budget pour les accueillir ».
>>>Homoparentalité
A
quoi reconnaît-on
une lesbienne ?
Durée 2 mn 50
...
voilà un sujet qui
peut s'avérer fort
utile : mais à quoi
reconnaît-on une
lesbienne ?
à écoutez
directement sur
l'excellent site
RADIO des lesbiennes
de :RADIO
ZEGIRLZ
www.zegirlz.com
Le
difficile aveu de
son homosexualité à ses parents
Source lemonde.fr 16/05/2010 - Révéler
son homosexualité à ses parents
est une épreuve difficile pour
un adolescent.
L'accepter est
souvent vécu douloureusement par
la famille.
(((:
c'est rien de le dire !
ou alors
Jouons à l'hétéro
:)))
pour girls only
De l'acceptation à la
tolérance, en passant par la
condamnation ou le dégoût, les
réactions des familles sont
multiples.
"Souvent, le père et la mère ne
réagissent pas de la même façon.
L'un peut éprouver un sentiment
de rejet, d'incompréhension",
explique Jean-Claude Pinchon qui
préside pour l'Ile-de-France
l'association Contact. Qu'ai-je
fait pour avoir un enfant
homosexuel ? L'ai-je trop
protégé ou pas assez ? Est-ce ma
faute ? "Pour certains, il faut
des mois, voire même des années
pour accepter l'orientation
sexuelle de leur enfant.
D'autres n'y parviendront
jamais", analyse M. Pinchon. Aux
jeunes qui veulent le dire à
leurs parents, il conseille
d'abord de préparer le terrain
en ayant une discussion générale
sur le thème de l'homosexualité
pour voir quelles réactions le
sujet suscite. "Si le milieu
familial est franchement
homophobe, je leur conseille de
ne pas en parler",
explique-t-il.
Même les parents les plus
ouverts peuvent éprouver de la
tristesse :
tristesse d'imaginer qu'ils ne
seront pas grands-parents - même
si cela peut être faux -,
tristesse pour la vie de leur
enfant dont ils craignent
qu'elle soit difficile. "En
discutant avec les familles,
j'ai compris qu'avant d'accepter
pleinement l'homosexualité de
leur enfant, de nombreux parents
devaient faire le deuil de leurs
projections parentales et que ce
deuil était marqué par toute une
série d'étapes", analyse
Elisabeth Thorens-Gaud, auteur
du livre remarquable Adolescents
homosexuels. Des préjugés à
l'acceptation (Favre, 2009). Et
mieux les parents les
soutiendront, plus leurs enfants
auront de chances d'être
heureux. "
Pour Félix, 20 ans, qui
préfère ne donner que son
prénom, l'annonce à ses parents
a pris la tournure "d'un drame
antique".
Ils étaient attablés
tous les trois à l'occasion de
l'anniversaire de sa mère - son
frère était absent. "Mon aveu a
eu un effet dévastateur. Il y a
eu un silence de mort. Le ciel
s'est écroulé sur leur tête." Sa
mère l'a questionné d'un ton
agressif, s'est mise à pleurer,
lui a même proposé les services
d'un psychiatre mettant son
homosexualité sur le compte des
troubles de l'adolescence.
Trois ans plus tard, Félix a
toujours le sentiment que ses
parents espèrent qu'il changera.
"J'ai compris que je ne pouvais
pas m'appuyer sur eux et cela a
creusé un fossé." Ses parents
ont tendance à occulter le
sujet, ce qui est insupportable
pour le jeune homme. "Ma mère a
un cortège de représentations
très négatives sur les
homosexuels. Elle pense que je
risque d'avoir le sida, que je
vais peut-être changer de sexe,
elle associe homosexualité et
pédophilie, craint que je me
prostitue auprès de vieillards."
Pour tenir, Félix est passé dans
une "logique guerrière" et est
devenu "férocement antihomophobe".
(...)
Mathilde Besson, 20
ans, étudiante en deuxième
année de médecine, estime avoir
eu beaucoup de chance. "Mes
parents me soutiennent, et c'est
très important pour moi." Vers
12-13 ans, la jeune fille
interpellait souvent ses parents
sur le sujet. Connaissaient-ils
des homosexuels ? Comment
réagiraient-ils si un de leurs
enfants l'était ? "Ma mère était
gay friendly, mon père moins
conciliant, mais ça ne le gênait
pas fondamentalement." Ce
n'est que vers 15 ans qu'elle a
pris conscience de sa
différence. "Je suis sortie
en seconde avec un garçon dont
j'étais très amoureuse, mais
pour qui je n'éprouvais pas de
désir physique." Cette attirance
troublante, elle l'a ressentie
en prenant une amie dans ses
bras. En début de terminale,
elle a fait son coming out
auprès de ses camarades. "D'un
seul coup, je me suis dit que
j'en avais marre de me mentir.
Personne n'a été vraiment
surpris." L'annonce à sa mère
s'est faite plus tard, en
première année de fac. "J'aimais
une fille et je me confiais à ma
mère en la faisant passer pour
un garçon. Quand j'ai rompu, ma
mère m'a dit, pour me consoler,
que les garçons étaient
immatures. Alors je lui ai dit
que ce n'était pas "il", mais
"elle"." Il a fallu deux
semaines à la mère de Mathilde
pour accepter la nouvelle. Elle
s'est sentie coupable, s'est
inquiétée pour sa fille avant de
l'accepter pleinement. Mathilde
n'a pas osé en parler à son
père. Ce dernier, informé par
son épouse, est allé vers sa
fille, six mois plus tard, et
lui en a parlé de lui-même, très
naturellement.
Selon une étude menée par
Caitlin Ryan, de l'université de
San Francisco, publiée dans la
revue américaine Pediatrics en
janvier 2009, les jeunes gays et
lesbiennes qui subissent,
adolescents, des comportements
de rejet de la part de leur
famille auraient 8,4 fois plus
de risques de faire une
tentative de suicide, 6 fois
plus de risques de faire une
dépression et 3,4 fois plus de
risques de se droguer, comparés
aux homosexuels dont les parents
sont plus compréhensifs.(...)
Voir également les très nombreux LIENS
des ASSOCS dans les pages de Tasse
de Thé :
>>>NOS LUTTES
>>>>Si on s'éduquait....
Rappel : Le coming-out mal
vécu nuit gravement à la
santé !
Un coming out
mal accueilli peut vous
pourrir la santé. C'est la
conclusion d'une étude
américaine selon laquelle
les jeunes homosexuels, bi
ou trans dont la famille a
réagi négativement à
l'annonce de leur
orientation sexuelle
risquent beaucoup plus de se
suicider, de plonger dans de
graves dépressions ou de
prendre de la drogue. Caitlin Ryan, la chercheuse
de l'Université d'Etat de
San Francisco qui a dirigé
l'enquête publiée dans la
revue "Pediatrics" de
janvier, conseille donc aux
parents ou tuteurs d'essayer
de modérer leur réaction
plutôt que de rejeter
brutalement les jeunes gays
et lesbiennes, dont la santé
mentale pourrait en être
fortement fragilisée.
Il apparaît par exemple
qu'empêcher un jeune homo
d'en fréquenter d'autres
peut s'avérer aussi
traumatisant pour
l'intéressé que de
l'insulter ou le frapper.
L'étude montre comme la
plupart des travaux sur la
question que les jeunes gays
et lesbiennes ont en moyenne
moins de 11 ans la première
fois qu'ils se sentent
attirés par le même sexe, un
peu plus de 14 quand ils
comprennent qu'ils sont
homosexuels, et moins de 16
ans quand ils l'annoncent à
la famille.
Source Blog
Ltoutes 30/12/2008
"Bien
vivre son homosexualité et
réussir son coming-out"
de Béatrice Millêtre
(2006) - Editions
Odile Jacob
"Par peur d'être rejeté, de
décevoir ou de faire souffrir,
on est souvent contraint,
lorsqu'on est homosexuel, de
mentir et de cacher sa vie, à sa
famille, à ses amis, aux
personnes que l'on côtoie chaque
jour.Et on en souffre. Or
révéler son homosexualité permet
de se libérer et de s'épanouir
enfin. Comment alors l'annoncer
? Béatrice Millêtre propose des
conseils pratiques pour réussir
cette étape indispensable. Et
ensuite ? Le processus
continue... Ce livre apporte une
réflexion et de nombreux
conseils pour vivre sereinement
son homosexualité tout au long
de sa vie."
Si vous ne l'avez
pas fait AVANT...
PRINCIPALES PETITES CHOSES qu'une Lesbienne doit ARRETER
?
12. Arrêtez de porter des cravates. Le mois d'Avril est
maintenant terminé et c'est aussi valable pour vous !
(sans oublier les accessoires clinquants, le port du
jeans sans âge, et les dessous flanelle-quelque chose...
)
11. Cessez d'acheter des Z-animaux de compagnie. Ma
théorie c'est qu'après avoir introduit le deuxième
animal de compagnie dans votre maison (et vous n'avez
pas de gosses !), ce ne sont plus des "animaux de
compagnie" mais juste... des animaux !
10. Arrêtez de prendre la chambre à coucher pour une
arène de corrida. Nous sommes deux femmes, on peut
parler aussi. Oui, j'ai aussi une vie de femme,
mais cela ne signifie pas que c'est la même que toi !
9. Limitez votre consommation de Milène Farmer. A la
longue ça attaque.
8. Arrêtez de parler en détail de votre vie sexuelle.
Tout le monde finit par connaître le mode d'emploi au
féminin et au final... ça n'est pas une bonne
chose pour les hommes hétéro :))
7. Arrêtez un peu de rêver à l'amour en permanence. Il
est bon d'avoir des amies... Rappelez-vous qu' elles
seront toujours là, elles, quand la votre sera
partie!
>>>voir
Vous avez-dit Rupture ?
6. Stoppez avec le tabagisme. Vous pouvez penser qu'il
est délirant de respirer de l'air frais, et cela vous
laissera du temps pour sélectionner une cravate et
choisir les accessoires... :))
5. Cessez de tomber amoureuse de femmes hétéro. Et je ne
le dirai jamais assez : Cessez de tomber amoureuse de
femmes hétéro !
4. Rompez avec votre cercle-ghetto. Il y a des gens qui
vivent au dehors : Gays, Hétéros, Noirs, Rouge, Verts, Bleus
ou Roses...Ouvrez enfin votre horizon et rencontrez de
nouvelles et charmantes autres personnes... Si vous commencez à manquer à vos vieilles copines, ne
vous inquiétez pas, elles iront au bar lesbien habituel,
et Dieu sait qu'elles y seront !
3. Débranchez de l'abus d'alcool. Vous allez encore
grossir et être encore malade dans les soirées ! ...
Avez-vous si peur de vous surprendre, à jeun, en
forme et
lucide... ?
2. Arrêtez de plonger toujours dans le Drame version
Lesbienne. Ou alors gardez-le uniquement pour votre
intimité.
ELLE VOUS A
QUITTéE... et vous êtes au
36ème sous-sol
Tasse de Thé vous soutient adonf !
1ère grande certitude :
- "Les blessures dont on
se remet le plus
difficilement,
sont celles où l'on a été
dupe de soi-même !"
..................................................................................................................................................................................
retour
(VO) How the
Grinch
Stole my Heart! (and my favorite sweatshirt...)
Comment le Grinch a volé mon coeur! (Et mon
sweat-shirt préféré ...) Canada - 2009 - 10 '
présenté lors de nombreux
FESTIVALS L-GBT
Ecrit, dirigé et produit par Gabrielle Zilkha (voir
plus bas)
Avec : Sara Gilchrist (Abigail), Maria Dinn (The Grinch),
Hallie Burt (la nouvelle petite amie d'Abigail) -
Narrateur : Spencer Evoy
SYNOPSIS :
"Prenant comme
motif le "Grinch",
méchante et
célèbre créature
sans coeur, figurant dans
"Comment le Grinch a volé
Noël" du
Dr. Seuss,
le court métrage
comique de
Gabrille ZILKHA
est plein de
satire
humoristique
pour parler des
blessures et de
la guérison des
cœurs brisés
dans l'amour...
"
Dans un
snack-bar
moderne, Abigail
vit un cauchemar
depuis que sa
"Grinch ex-girlfriend"
a rompu.
Ecrasé par cette
perte, Abigail
tombe dans un
monde
d'obsession, de
harcèlement
internet et
d'automédication...
Mais finalement
Abigail est
frappé par un
sursaut d'estime
de soi et semble
triompher de son
amour pour le
Grinch (après
avoir récupéré
son sweet-shirt)
...
Elle pense
s'être dégagé de
l'étreinte du
Grinch avec la
rencontre d'un
nouvel amour,
mais ce n'est
pas la façon
dont cela
fonctionne
vraiment..."
- Ce SHORT
LESBIEN est en
VO (version
originale,
anglais)
cependant, la
plupart
d'entre-nous,
comprendront très vite le langage récalcitrant des coeurs brisés
:)))
Tasse de Thé
vous gâte
trop...
La
réalisatrice
:Gabrielle
ZILKHA
(photo) ...
"Avant de
déménager à
Toronto en 2004,
elle est
diplômée du
Collège Dawson à
Montréal de
théâtre
professionnel.
Elle a récemment
terminé son
baccalauréat à
l'Université de
Toronto en
études de
l'équité,
l'anglais et
études sur la
diversité
sexuelle.
Gabrielle vise
un avenir plus
prometteur, se
tailler une
carrière qui
allie sa passion
pour la justice
sociale et la
théorie
culturelle de
son amour pour
la vidéo
artistique, le
cinéma et le
théâtre. "
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retour Dix Commandements
en période de Rupture
1.- N'écoute pas tes amies
apitoyées sur ton sort, elles sont
toutes passées par là et ça leur fait du
bien quelque part... ou alors, elle font des
plans pour sauter dans ton lit, maintenant que tu
es sur la liste des single et vautrée comme une carpette, à te
soûler tous les soirs, en dansant le
twist pour l'oublier...
2.- Ne souffre pas en silence,
ça ne
sert à rien du toouuut : HUUURLLE !
3.- Elle n'était pas pour toi, OK mais
alors pour personne d'autre? !
4.- "Souvent Femme varie, Bien Fol qui s'y
fie"
(François
1er... )
5.- Elle croit peut-être que tu vas te
laisser aller, descendre au plus bas,
pleurer ta mère, sauter dans le vide de
tes nuits blanches,
tout re-niveler vers le bas... écouter
Céline Dion ?
Et elle aura raison car c'est exactement
ce que tu vas faire.
6.- N'essaie pas composer avec le deuil,
habille toi en noir, pleure , ferme
tes
volets, ne sort pas de chez toi, use
1000 boites de kleenex, ne
répond pas au tél., écoute de la Ziiiik
bien gluante, et avance à l'enterrement,
expressive et magistrale....
Roule toi avec volupté dans le goudron
et les plumes des amours défuntes...
avec au final
avec quelques kilos en moins, pas
négligeables !
7.- Tu l'aimes encore ?
(niak, niak, niak,..)
8.- La
rupture, c'est le commencement d'une
rencontre.
10.- Tu as mal de ce qui existe
... "entre les
travaux d'approche et les cortèges
d'adieux".
MORALI- THé
:
- "Il n'y a qu'une seule
façon d'arrêter de souffrir. C'est
d'être enfin heureuse !"
Signé Arianas-la-Furynx, Ethnologue lesbienne (Equipe Tasse de Thé)
ou
En cas de Blues intense
only
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