Coup de coeur ! à offrir à sa Belle... ou à créer soi-même :))
LOVE HEART 365 Chaque Jour un Mot d’Amour ! Un mot d'amour différent pour chaque jour de l'année.
A réserver aux amoureux : 365 jours de petits messages tendres...
Cette ravissante boîte en forme de coeur contient 365 petits mots doux pour séduire chaque jour l'élu(e) de votre coeur. Les petits billets blancs, à piocher chaque matin au hasard, délivrent à l'être aimé un message d'amour. Les petits billets rouges (un par semaine) sont autant de bons pour un service tendre que vous vous engagez à offrir immédiatement ! Le plus merveilleux des cadeaux pour l'année entière...
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NON, je ne veux pas ...
Chère x.
Je te remercie pour le bouquet de roses et pour les chocolats...
Cependant, j'ai le regret de décliner ton offre pour la journée du 14 Février 2010
en effet , après avoir bien relu ta carte je tiens à te préciser que
"Si l'amour est une cause perdue, mon âme est libre d'y avoir enfin cru mais reste prisonnière de mes sentiments réels." (... cependant, rien ne le prouve pas).
C'est pourquoi, étant plutôt superstitieuse je suis obligée de reporter notre RDV
à l'année prochaine, le cas échéant. J'espère que tu comprendras. Meilleurs sentiments
signé : ton ex.
Sainte
Valentine
a existé.
Elle avait
des
tendances
lesbiennes
au début
et elle
croyait en
Dieu,
sinon elle
n'aurait pas
été
sanctifiée
en fin de
carrière...
Personne ne
parle de
Sainte
Valentine
(car Saint
Valentin
prend toute
la place).
Sainte
Valentine
était timide
et effacée
quand elle
était
petite.
Elle lisait beaucoup
trop, d'après le témoignage du
libraire de son quartier
auprès des forces de
Police.
D'ailleurs
son quartier était
malfamé. On y trouvait
de tout.
Sainte Valentine a
découvert sa foi, un
soir
qu'elle avait bu et
rentrait tard chez elle
et alors que son amie
était vautrée dans les
bras de sa meilleure
copine.
C'est là qu'elle
entrevit Dieu de
justesse.
De toute façon c'était
Dieu
ou Sériale Killeuse
comme métier : elle a
choisit, ça prouve bien.
On ne peut rien lui
reprocher.
Elle a toujours bien
réagit et fait l'amour,
le bricolage et le
jardinage avec
goût, mais au bout d'un
moment, ça n'était plus
son truc... Elle
fumait trop, elle
grossissait... ne
s'intéressait plus à
rien...
Alors, Dieu lui rappela
que le coeur est plutôt
élastique lui aussi,
il suffit de
ne pas se crisper !
Sainte Valentine
prit donc le voile rose
avec légèreté et devint
la Sainte béatifiée
de toutes les
Lesbiennes, opprimées,
invisibles adonf, un peu
planquées quand même il
faut bien le dire,
qui ne s'affichent pas,
qui ne dépensent pas,
qui dansent et ne
s'éclatent que pour
aller draguer et qui
disparaissent dès
qu'elle en ont trouvé
une,
qui ne sont même pas
foutues d'avoir un seul
magazine intéressant, un
seul lieu digne de ce
nom, qui pensent
chacune pour soi, qui se
cristallisent dans des
assoces, qui colloquent
à n'en plus finir, qui
sont incapables d'une
action cohérente sans
foutre le wouaille ou
pire, sans se référer à
l'action féministe
(puisqu'on te dit que
"les lesbiennes ne sont
pas des femmes !") qui
sont conservatrices, qui
ne
pratiquent aucun
lobbying, qui ne
demandent rien, qui ne
voient rien de ce qui se
passent autour, qui
cherchent avec
obstination l'âme-soeur-pas-droguée-alcoolo-fumeuse-chômeuse-camionneuse,
un peu féminine avec un
poil d'androgyne, à
roulement à bille et
petite maison dans la
prairie incorporées...
Le
Béguinage,
autre choix
de vie ?
ça donne
envie de
visiter la
belle ville
de Bruges,
Venise du
Nord.. non ? Où
vont- L?
Le béguinage offrait aux femmes un espace de liberté...
Paru le Samedi 17 Juillet 2004 - Article SARAH SCHOLL - lecourrier.ch* Le béguinage de Bruges appelé " Ten Wijngaarde" dégage une atmosphère mystique. Il abritait, au Moyen Age, des femmes ayant choisi de mener une vie à la fois contemplative et active.
Le paysage est féerique... ou peut-être faudrait-il dire mystique! Il y a l'horizontale: les toits rouges des maisons et leurs façades blanches. Et des verticales: l'herbe verte, les jonquilles et surtout les troncs noirs des arbres s'élevant vers le ciel. A Bruges, en Belgique, le béguinage est devenu un incontournable. Les bénédictines y ont remplacé les béguines, continuant à donner vie à ce lieu tout à la fois touristique et spirituel. Mais que se cache-t-il derrière la quiétude de l'endroit? Si les murs pouvaient parler, ils raconteraient, ici comme à Gand, Amsterdam ou Bâle, la vie de femmes catholiques du Moyen Age, souvent vierges ou veuves et de toutes conditions sociales, qui avaient rompu avec leur environnement afin de poursuivre une quête religieuse, seule ou en groupe. Mais sans s'éloigner du monde. Ces femmes vivaient de leurs ressources personnelles et d'aumônes, mais aussi du travail manuel. Elles lavaient notamment la laine pour les tisserands, au grand dam des artisans du métier. Elles s'occupaient aussi des pauvres et des malades de la ville.
DES FEMMES INSTRUITES... (qui inquiètent) >>>>voir aussi
Hildegarde de Birgen Le béguinage de Bruges (en Belgique) a été fondé en 1245 par Marguerite de Constantinople, comtesse de Flandre. Les petites bâtisses nordiques, toits de tuiles et fenêtres à carreaux, entourent un pré fleuri où s'élèvent des peupliers. Les maisons, avec leur jardinet, ont entre un et cinq siècles. Véritable village dans la ville, avec son Eglise, le béguinage était fermé à la nuit tombante. Les femmes y vivaient en communauté sans pour autant prononcer les stricts voeux monastiques. Elles étaient ainsi libres de retourner à leur vie antérieure. Une supérieure, la «grand-dame», dirigeait le béguinage. Les murs raconteraient aussi les réunions de ces femmes: leurs interprétations de l'Ecriture, l'usage de traductions de la Bible en langues vulgaires ou les récits de leurs visions et expériences religieuses intimes. Les béguines savent lire et écrire et s'approprient ainsi les textes sacrés. Elles prennent la parole en public. Des pratiques que les autorités ecclésiales n'apprécient guère. Dès la fin du XIIIe siècle, les béguines deviennent suspectes. Leur relation directe à Dieu met en cause l'utilité du clergé et des sacrements. Leur statut fait fi de la distinction traditionnelle entre clercs et laïcs. Bref, les béguines menacent l'organisation de l'Eglise. D'autant plus que le phénomène prend vite une ampleur considérable. Bâle, par exemple, comptait quatre cents béguines au XIVe siècle, Cologne plus d'un millier. Et qu'il s'inscrit dans un mouvement plus ample, mystique et panthéiste, d'hommes et de femmes recherchant l'union personnelle avec Dieu.
ET (bien entendu) PERSECUTEES... Le réveil de la vie intellectuelle et spirituelle caractérise cette période du Moyen Age. Ce que l'on appellera les «hérésies» y sont légions: cathares, vaudois, fratricelles. Toutes aux prises avec l'Inquisition, qui vient d'être mise en place par le pape Grégoire IX (en 1231). Taxées, elles aussi, d'hérésie, les béguines sont interdites par la papauté en 1317.
L'une d'elle, Marguerite Porète a été brûlée à Paris quelques années auparavant pour avoir écrit le Miroir des simples âmes, un texte mystique en langue vulgaire. Ce qui n'a pas empêché cet écrit d'être traduit en italien et de prendre une bonne place dans les bibliothèques des couvents. En Flandre, les béguines échappent à l'extinction ou à l'assimilation à des ordres religieux en acceptant de rester groupées dans les béguinages, d'être soumises à des règlements et visitées régulièrement par des prêtres.
La dernière béguine est décédée en 1928.
Le site de Bruges est aujourd'hui classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Note : Cet article est le deuxième d'une série sur des édifices religieux peu connus et insolites. Des visites à faire ou à refaire pour mieux saisir l'histoire européenne.
*Marguerite de Constantinople est la fille de Jeanne, comtesse de Flandre (1205-1244) et fut comtesse de Hainaut.
"Inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, comme douze autres béguinages flamands, le béguinage de Bruges (la Venise du Nors) est situé sur la rive du Lac d'Amour (Minnewater), l'ancien port de Bruges."
"Les "Béguines" étaient des veuves ou des femmes célibataires qui, sans avoir fait des voeux monastiques, choisissaient de mener une vie religieuse indépendante et solitaire au sein d'une "cité de paix". Cette tradition remonte au Moyen Age..."
"Les beguines etaient le nom donne a des filles ou des veuves se reunissant en communaute religieuse sans prononcer de voeux.
Les premieres communautes de beguines datent du 12eme siecle. Le mouvement est principalement localise dans le nord de l'Europe, Allemagne, Belgique et nord de la France. Ces femmes menaient une vie spirituelle intense et habitaient generalement dans un beguinage, petit village dans la ville. Ces beguinages comprenaient une serie de petites maisons individuelles, quelques batiments communs, chapelle et hopital construits autour d'une place arboree. Elles vivaient de mendicite et d'artisanat, tissage, poterie ou copie de livres. N'etant pas sous la tutelle de l'eglise, celle-ci se sent concurrencee et au 13eme siecle, les beguines sont persecutees et accusees d'heresie. Les communautes de beguines seront cependant tres actives jusqu'a la fin du 15eme siecle. Le beguinage de Bruges, a ete officiellement fonde en 1245 par Marguerite de Constantinople, comtesse de Flandres. Une superieure " la grande demoiselle " dirigeait la communaute qui a accueilli des beguines jusqu'en 1928. De nos jours ce sont des soeurs benedictines qui habitent le beguinage."
............................................................................................................................................................................... retour Les béguinages ... subversifs ? Le XIIe siècle, période de renouveau économique, est également caractérisé par une effervescence religieuse d'une grande ampleur. Une nouvelle soif de Dieu s'empare d'hommes et de femmes de conditions sociales et d'âges différents. Cette exaltation spirituelle conduira certains d'entres eux vers les sentiers de l'hérésie, en mènera d'autres rejoindre des ordres monastiques. Beaucoup enfin inaugureront de nouveaux chemins spirituels au sein de l'Eglise. Parmi ceux-ci, un des plus originaux sera certainement le mouvement béguinal.
Dans les premières années du XIIIe siècle apparaissent en effet dans nos régions des femmes désirant vivre leur foi d'une manière plus radicale, indépendamment de couvent ou monastère, en conservant leur état laïc. Appelées par leurs contemporains "Mulieres religiosoe" ou "devotue", ces femmes pieuses se fixent, seules ou en communauté, aux abords d'hôpitaux, au sein des villes ou à l'ombre d'une abbaye. Elles souhaitent vivre simplement les valeurs évangéliques, en s'adonnant aux soins des malades et à la contemplation. Pour une Eglise qui se veut avant tout cléricale et masculine, la prétention de ces femmes non cloîtrées, donc incontrôlables, à une telle vie spirituelle, à un désir de vivre la chasteté sans en faire le vœu, relevait du registre de l'anarchie.
A la veille du Concile de Lyon, en 1274, le maître franciscain Guibert de Tournai s'inquiétait des activités intellectuelles des béguines : "Il y a chez nous des femmes qu'on appelle béguines, dont certaines se flattent de leur subtilités et se réjouissent des nouveautés. Elles ont interprété les mystères de l'écriture et les ont traduits en français, alors que ceux qui sont vraiment versés dans leur étude ne les pénètrent qu'à peine. Elles les lisent ensemble, sans respect, avec audace, dans des conventicules, dans des cellules obscures, sur les places publiques".1
Nombre d'entre elles sont reconnues coupables d'hérésie par le clergé. La plus célèbre, Marguerite Porete, sera brûlée à Paris en 1310 ; d'autres, à la théologie plus orthodoxe, sont tolérées, même si elles n'en sont pas moins suspectes. La populace, à la suite de ses prêtres, va qualifier ces dévotes du sobriquet de "béguines". Si les scientifiques débattent encore aujourd'hui de l'origine étymologique de ce terme 2, il est cependant certain qu'il exprimait alors une nuance péjorative : pensons seulement au célèbre "dit des béguines" de Rutebeuf...
Pourtant, des ecclésiastiques influents vont être touchés par les qualités spirituelles de ce nouveau mode de vie et travailleront à le défendre. Grâce à eux le mouvement béguinal ne s'est pas éteint aux Pays-Bas, comme ce fut le cas en France ou en Allemagne. Bien au contraire, les béguinages vont y foisonner. Ces femmes dévotes y seront finalement reconnues par l'Eglise et "apprivoisées" : elles vont former des communautés semi?cloitrées au sein de noyaux urbains, de véritables cités de femmes: entourés d'un mur d'enceinte, ces béguinages deviennent de véritables paroisses autonomes avec églises, cimetières, rues, maisons simples ou communautaires. Les béguines gardent la possibilité d'un jour le quitter, car elles ne sont pas liées par un vœu de stabilité; elles suivent non une des grandes règles monastiques, mais des règlements, variant d'un béguinage à l'autre. Elles sont indépendantes de tout ordre religieux, mais sont sous la direction spirituelle des frères pêcheurs. Elles n'ont pas la prétention de la pauvreté, mais désirent vivre sobrement du travail de leurs mains dans l'industrie drapière naissante. Semi?religieuse ou semi?laïque, la béguine manifeste alors la vivacité d'une église médiévale mystique.
Il existe trois types de plan de béguinage :
Dans le premier cas (Bruxelles, Louvain, Gand,...), le principe d'aménagement est similaire à celui d'une ville fondée au moyen âge : un complexe régulier et simple de rues parallèles et perpendiculaires qui délimitent des parcelles rectangulaires.
Dans le deuxième cas, on trouve les béguinages de plaine : les maisons sont construites autour de l'église, elle-même entourée d'un pré rectangulaire ou triangulaire (Turnhout, Bruges).
Enfin on trouve les béguinages de type mixte : autour d'une prairie sont construites des maisons en rangées doubles, qui forment une rue, avec l'église au centre (Anvers, Tirlemont).
Une enceinte sertit le béguinage, percée par deux ou trois portes d'accès richement décorées, surveillées par des portières. Si les entrées et sorties sont libres, ce rempart n'en constitue pas moins une forme de clôture. Les portes sont invariablement closes à 8 ou 9 heures selon la saison ; aucun homme ne peut résider dans l'enceinte après le coucher du soleil. Les murs ont également une autre fonction, celle de protéger la communauté des intrusions extérieures, car initialement tous les béguinages sont construits en dehors des murs de la ville. Celle-ci s'étendant, ils se retrouveront généralement à l'intérieur des murs d'enceinte après quelques décennies.
iLes Béguinages vont foisonner dans les Pays-Bas du Sud, puisqu'à l'époque de l'invasion française, on en comptait 94, avec une population variant de quelques femmes dans des petites entités à un millier pour le Grand béguinage de Bruxelles à la fin du XVIIe siècle Aujourd'hui, après avoir traversé huit siècles d'histoire, il ne reste plus que 14 béguines en vie. Un trésor de spiritualité va bientôt définitivement disparaître, dont il ne nous restera plus que ces magnifiques complexes semi-monastiques. Pascal Majérus - Source : www.guidecasa.com/bibliotheque.htm
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-"Tu
vas m'aimer !
Les roses sont rouges,
Les balles sont en
plomb,
Reprends-moi maintenant
ou prends ça dans la
tête!
(ça rime en anglais :)))
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