Lady Gaga & Beyoncé...'"Téléphone"
dans une
nouvelle,
impressionnante
HOOOoooT Vidéo (9min) en ligne
Source advocate.com
11/03/2010
Lady Gaga et Beyoncé
amantes en cavale
dans un mini film de
neuf minutes qui
accompagne leur
nouveau single,
"Téléphone".
"de la spécialement
érotique prison de
femmes à leur cavale
colorée vers une
autre série de
crimes virtuels...
les références
LESBIENNES sont
partout,
y compris
le ruban adhésif
noir sur les
mamelons en
référence aux butchs
activistes !"
Regarder la
vidéo et cliquer
sur
plein écran...WAAAOooouuuuuuu
!!!
Il est enfin là ! Le clip tant attendu du duo entre Lady Gaga et Beyoncé a finalement été dévoilé, après des semaines de buzz grandissant sur le Net. Et on n’est pas déçus !
Extrait de l’album « The Fame Monster », « Telephone » n’est pas un hommage à notre fameux groupe rock français, mais une collaboration dynamique et accrocheuse entre la reine du R’n’B moderne et la Lady de la pop-dance. Et le clip qui accompagne ce morceau est une véritable merveille d’humour noir et de délire visuel : superproduction aussi excentrique que La Gaga elle-même, « Telephone » démarre comme un film de prison de femmes (ambiance cuir et clous), avant de se transformer en road-movie féministe et grinçant, façon « Thelma et Louise »
/"Tueurs Nés"...
revu par Tarantino et John Waters (« Hairspray ») ! Des tenues délirantes, des effets cartoonesques, des couleurs qui flashent, des situations surréalistes ou franchement torrides… Dans sa version longue de presque 10 minutes, ce bijou détonant réalisé par Jonas Akerlund est largement à la hauteur de nos attentes… et même plus ! D’ailleurs, il ne se raconte pas, il se regarde sans plus tarder !"
SEXUALITE CARCERALE
-"Sorry, I can't
hear
you, I'm kinda busy
"/Désolée, je ne
peux pas t'entendre,
je suis "assez"
occupée/
-dans le HOTclip
carcéral de la
chanson plus haut...
MERCREDI
18/08/2010 à
23h10, Le
National
Geographic
Channel nous
ouvre les portes
de
L'Enfer des
prisons, avec
une visite
guidée de 55 mn
au sein du
pénitencier
d'Etat pour
femmes de Valley,
située en
Californie.
Il s’agit du
plus grand
établissement
pour femmes des
Etats-Unis, où
près de 4.000
détenues sont
incarcérées. Un
univers qui
n’échappe pas
aux trafics de
drogue et aux
règlements de
comptes....
...................................................................................................................................................................................
retour
Virginie,
Etats-Unis -
Une gardien d'une prison
de femmes a
démissionné suite aux
allégations selon
lesquelles elle a
autorisé la
discrimination contre
les détenues
homosexuelles.
Source GayNZ.com
30/12/2009
Démission suite à un
rapport d'Associated
Press dans Juin que les
détenus, pour la plupart
des lesbiennes, qui
portaient les cheveux
courts et desvêtements
amples et avaient des
traits masculins
avaient été présentés
séparément dans une aile
communément appelée
«l'aile butch» ou «aile
des petits garçons" pour
de plus d'un an.
Les détenus et les
gardiens disent que
cette pratique a cessé
dès que les médias ont
interrogés la gardienne
Wheeler ... "
Belgique - Deux détenues
lesbiennes mariées pourront se
rendre visite au sein de la
prison
Source tetu.com 25/01/2007
-
Le tribunal de
Bruges a accordé un droit de
visite à deux détenues
lesbiennes..
Linda Couvreur,
44 ans, condamnée pour
homicide et Theresa Van Heyst,
43 ans, condamnée pour incendie
volontaire, se sont mariées le
29 décembre dernier à la prison
de Bruges.
Les deux femmes, ne
résidant pas dans la même
section, bénéficiaient déjà de
visites à caractère intime mais
la direction de la prison leur
refusait le droit de se
rencontrer en dehors de ces
visites. Le directeur avançait
le fait que le couple se voyait
déjà le matin lors des ateliers
de travail, l'après-midi pour
suivre des cours ainsi qu'une
heure durant la promenade. Le
juge a toutefois estimé que la
finalité des travaux et des
cours était différente de celle
d'une visite. Il a accordé au
couple le droit de se voir
plusieurs fois par semaine dans
un «environnement agréable»
Affiche Film "Girls in prison -
1994
>>>>>> voir notre
rubrique
SxSanté
Sexualités
incarcérées- Qu'entend-on par sexualité en
prison ?
Le plus souvent
associée par le sens commun à
l'homosexualité, elle évoque
aussi les pratiques sexuelles,
les relations sexuelles, les
abus sexuels, les délits
sexuels, les représentations
sexuelles, les identités
sexuelles. La
sexualité peut-être réduite à un
exercice hygiénique comme
satisfaction des besoins sexuels
physiologiques. Elle appartient
aussi à la vie affective avec
son cortège de sentiments,
d'émotions. Articulée à la
question du désir, elle suppose
toujours un rapport à l'autre,
réel ou fantasmé.(...) Équivoque
qui tient peut-être aussi aux
représentations de
l'homosexualité féminine où le
rapport sexuel serait
impossible. Mais certaines
détenues se chargeraient de
lever cette ambiguïté en
revendiquant leurs relations
homosexuelles. Ainsi des
surveillantes dans une Maison
d'Arrêt parlent des "récits", de
"celles qui connaissent bien la
maison" : "Quand elles arrivent,
elles cherchent une nana. Elles
se maquent aussi… on laisse
faire." D'autres, en centre de
détention, témoignent aussi de
ces couples qui se forment "pour
aider à supporter la détention".
Les relations de couple sont
interprétées comme des formes de
compensation au manque, à la
séparation. Comme si ces
relations étaient un moyen de
lutter contre la solitude et
l'isolement dans cet univers
surpeuplé qu'est la prison. Les
différences relatives à la
proxémie entre hommes et entre
femmes se prolongent dans le
rapport lui aussi nettement
différencié à la séduction. La
quête du désir de l'autre est
manifeste chez les femmes :
plaire, attirer le regard, être
l'élue, la préférée parmi les
autres, toutes les autres.
Violence et sexualité ne sont
pas conjuguées ici comme cela
peut l'être chez les hommes. Il
est question de "pression", de
"drague", de "rivalité et
jalousie", d'agressivité aussi
mais pas d'abus sexuels.
L'agressivité appartient bien
aux deux sexes, mais ils
l'expriment différemment. On
ne peut manquer de repérer, à
travers les entretiens réalisés,
une inversion des
tolérance/intolérance dans les
prisons d'hommes et les prisons
de femmes. L'homosexualité,
stigmatisée chez les hommes est
tolérée chez les femmes ; là,
elle se cache, ici, elle
s'affiche. Inversement,
l'hétérosexualité au parloir est
tolérée chez les hommes… tant
que le surveillant n'est pas
contraint à un rôle de voyeur.
Aussi, s'il peut "fermer les
yeux", il n'interviendra pas.
Par contre, les rapports
génitaux hétérosexuels sont
interdits aux détenues. Non pas
seulement parce que comme ce
peut être aussi le cas dans
certains établissements pour
hommes, l'organisation spatiale
ne le permet pas, mais parce que
le risque de grossesse est aussi
celui de la preuve incontestable
des failles de la surveillance.
Mais au-delà de la "trace"
visible de la transgression, les
rapports sexuels au parloir
paraissent ici susceptibles
d'évoquer d'autres images :
celle de la "maison close" et de
la surveillante "maquerelle",
organisant la rencontre,
complice par son silence.
Soulignons encore la fréquence
des représentations d'un
"dehors" menaçant pour les
détenues et du rôle associé de
protectrice que se doit
d'assurer la surveillante, avec
le concours des murs et des
barreaux qui servent de ici
moins à empêcher l'évasion que
l'effraction de cet univers
féminin.(...)
Dominique Lhuillier, maître de
conférences à l'Université Paris
VII - paru dans la Lettre de
Genepi n°64, sept/nov 2003.
Article complet Les Pénélopes
www.penelopes.org/xarticle.php3?id_article=4755
....................................................................................................................................................................................
retour
Voici un autre LIEN
vers une étude
intéressante :
"Sexualités
féminines en
prison : pratiques,
discours et
représentations"
de Gwénola
Ricordeau
Female
sexualities
in prison :
practices,
discourses,
representations
Normes, expériences et stratégies sociales..
" Parler, en prison, de sexualité est, plus qu’ailleurs, compliqué. Officiellement, elle n’existe pas, puisqu’elle est interdite. Si la sexualité des hommes détenus est taboue (Welzer-Lang, Faure, Mathieu, 1996 ; Lesage De La Haye, 1998), celle des femmes détenues l’est encore davantage. Malgré la multiplication des travaux sur les femmes incarcérées (Rostaing, 1997 ; Albrecht, Guyard, 2001 ; Cardi, 2006), leur sexualité reste un objet à la fois de fantasmes, d’occultation et de déni. Les raisons de l’invisibilisation des femmes incarcérées – une invisibilisation irréductible à la faible proportion de femmes parmi la population carcérale (moins de 3%) – et de leur sexualité sont certainement à chercher dans les représentations communes de la sexualité des femmes, mais aussi des identités sexuées et des rapports sociaux de sexe qui réduisent les femmes – dedans encore davantage que dehors – à des mères ou à des épouses.(...)
...Le conformisme des représentations de genre et le passé de certaines des femmes détenues – prostitution, violences notamment sexuelles (commises ou subies) – contribuent à l’escamotage de la question de la sexualité dans les détentions féminines. Aux difficultés ordinaires auxquelles se confrontent les enquêtes sur l’intimité et la sexualité, sur « le domaine le plus privé de la vie privée » (Elias, 1973, 283-319), s’ajoutent, en prison, celles découlant du cadre institutionnel et carcéral : la dissimulation des pratiques résultant de leur répression, la difficulté de parler de cette souffrance – ce véritable châtiment corporel – qu’est la privation sexuelle, mais aussi la rareté des prises de parole des femmes détenues sur leur sexualité1, qu’on ne peut que déplorer2. En outre, le sociologue se retrouve à solliciter un récit déjà maintes fois sollicité par divers intervenants et donc, fréquemment produit, normalisé à l’aune de la « prizonisation »3 subie par la personne incarcérée, ce récit risque de se transformer en « récit-écran ». (...)
Les réflexions proposées ici s’appuient sur une recherche menée sur les relations affectives et familiales des personnes détenues (Ricordeau, 2008). Des entretiens ont été réalisés4, notamment sur les pratiques sexuelles et leurs représentations, avec une centaine d’hommes et de femmes, incarcérés dans cinq établissements pénitentiaires français (...)"
Texte Etude complète :
http://gss.revues.org/index830.html
AFFAIRE à
SUIVRE
Marie-Christine Van Kempen dans un faisceau
de présomptions de crime passionnel...
a t-elle assasiné ??
Non seulement cette affaire criminelle nous
touche, mais elle réunit tous les éléments
dramatiques d'un roman policier...
Extrait Lettre
de
Marie-Christine
Van Kempen
(photo dr),
tante de
Géraldine Giraud
(photo ght), =
Katia Lherbier
(photo gbas)
Affaire Giraud : la lettre qui
lève un coin du voile
Source
lefigaro.fr -Angélique NÉGRONI -
08/11/2007
-
"CE FUT une jolie rencontre. Je
la garde belle dans mon cœur…"
Ce courrier établirait le mobile
de l'assassinat de Géraldine
Giraud et Katia Lherbier, le 1er
novembre 2004.Lettre d’amour ou
de tendresse? Le courrier que
s’est procuré Le Figaro avait
été rédigé par
Marie-Christine Van Kempen
et adressé à Katia Lherbier.
Trois ans après le double
meurtre de Géraldine Giraud
et de son amie Katia, le 1er
novembre 2004 dans l’Yonne, ces
quelques lignes rédigées à la
hâte sont considérées comme une
pièce essentielle du dossier.
Pour les enquêteurs, elles
établissent le mobile de ces
crimes: le dépit amoureux.
Trompée par Katia qui lui a
préféré sa nièce, Géraldine,
Marie-Christine Van Kempen
aurait décidé de se venger. Et
de faire exécuter les jeunes
femmes, âgées de 32 et 36 ans,
en recourant aux services d’un
garde-chasse, Jean-Pierre
Treiber, le seul à être
écroué aujourd’hui dans cette
affaire. C’est dans le jardin de
ce dernier que les corps avaient
été découverts. " (...)
Article
complet lefigaro.fr
www.lefigaro.fr/france/20071101.FIG000000229_affaire_giraud_la_lettre_qui_leve_un_coin_du_voile.html
"... il reste de nombreux
éléments à vérifier et que de
lourdes charges pèsent contre
Mme Van Kempen", a en revanche
estimé Sabine Cordesse, avocate
du comédien Roland Giraud et de
Maaïke Jansen, les parents de
Géraldine Giraud. "Le juge
d'instruction instruit à charge
et à décharge.(...) Cela ne veut
pas dire que Mme Van Kempen et
Mme Darbeaud sont blanchies", a
noté Gérard Geneste, avocat des
parents de Katia Lherbier."
Affaire Giraud-Lherbier: Etrange
témoignage de dernière minute
Source
SCENE DE CRIME 21/07/2008
Après près de quatre ans
d'instruction dans l'affaire
du double meurtre de Géraldine
Giraud et Katia Lherbier, un
récent témoignage de l'ex-femme
de Jean-Pierre Treiber, le
principal suspect, mettrait en
cause Marie-Christine Van Kempen,
la tante de Géraldine Giraud.
Selon elle, son ex-mari lui
aurait raconté avoir rencontré
deux homosexuelles à Sens
(Yonne) aux environs du 14
juillet 2004, soit quelques mois
avant le drame. Sans les nommer,
il aurait indiqué qu'il
s'agissait d'une tante et de sa
nièce.Marie-Christine Van Kempen
est mise en examen pour
complicité d'assassinats. Elle a
été incarcérée quelques semaines
en 2005 avant d'être remise en
liberté. Dans sa défense, la
belle-soeur du comédien Roland
Giraud a toujours nié connaître
Jean-Pierre Treiber chez qui les
corps des deux jeunes femmes ont
été retrouvés en décembre
2004.Ce témoignage aussi tardif
qu'inatendu laisse perplexe les
avocats de Marie-Christine Van
Kempen et de Patricia Darbaud,
la concubine de Jean-Pierre
Treiber au moment des faits qui
n'y voient qu'un moyen de
"renvoyer tout le monde devant
les assises".
Article complet :
http://scenedecrime.blogs.com/scenedecrime/2008/07/affaire-giraud.html#more
Loin de
Paris, le
clubbing
lesbien ...
en rade !
Source
tetu.com
31/01/2011 La
multiplicité
des soirées
lesbiennes
parisiennes
fait rêver
plus d’une
fille de
province.
Car en
dehors de la
bulle
attractive
de la
capitale, un
navrant
constat
s’impose:
les bars et
soirées 100%
filles se
font de plus
en plus
rares… Même s'il
y en aura
toujours
pour se
plaindre et
regretter le
bon vieux
temps du
Pulp, soyons
honnêtes:
les
lesbiennes
parisiennes
ont de quoi
faire la
fête.
A contrario,
en province
et y compris
dans les
grande
villes, le
contraste
est souvent
saisissant.
Ainsi, le
Miss Marple
à Lille,le Sapho
à Nice, ou
le Lolita à
Toulouse
sont autant
de bars
lesbiens qui
ont fermé
plus ou
moins
récemment.
Quand on
sait que,
sur les
trois cités,
deux n'ont
pas trouvé
de bar
«remplaçant»,
on se pose
des
questions...
Pourquoi
faut-il
parfois
faire tant
de
kilomètres
pour aller
boire un
verre dans
un bar
féminin?
Laurence et
Sophie
gèrent le
LS Café.
Situé dans
la
communauté
urbaine de
Bordeaux,
le seul
bar lesbien
de toute la
région
Aquitaine
existe
depuis
bientôt 4
ans. Le
secret de sa
«longévité»,
malgré les
difficultés
qui touchent
actuellement
l'établissement?
Le LS s'est
trouvé une
petite
famille de
régulières,
qui viennent
parfois de
loin et se
retrouvent
tous les
week-ends.
«C'est pas
facile de
tenir un bar
féminin,
commence
Laurence.
C'est une
clientèle
qui est
complètement
différente
des gays:
les filles
boivent
moins, il y
en a qui ne
boivent
carrément
pas! Elles
sont plus
exigeantes
et moins
dans
l'euphorie
que les
garçons.
Ensuite,
quand elles
sont en
couple,
elles
restent chez
elles: elles
ont
tellement
galéré pour
trouver une
copine
qu'elles ont
peur de se
la faire
piquer
(rires)!
Pour toutes
ces raisons,
c'est
difficile de
durer.»
On comprend
alors que
beaucoup
soient
refroidies à
l'idée de
lancer leur
propre
établissement.
A Toulouse,
le resto-bar
Peu
Conventionn'elle
a, depuis
six mois,
comblé le
vide laissé
par la
fermeture de
l'emblématique
bar lesbien
de la ville,
le Lolita
Café. Une
initiative
que l'on
qualifierait
presque de
courageuse.
«C'est clair
qu'il faut
un certain
idéalisme
pour ouvrir
ce genre
d'établissement
à l'heure
actuelle»,
nous répond
Sandra. Pari
pour
l'instant
réussi,
selon la
jeune
gérante de
21 ans. Les
armes de sa
réussite:
l'originalité
des soirées
à thème
proposées,
régulièrement
pimentées
par des
combats de
catch
féminin dans
l'huile et
des
stripteases...
Soirées
lesbiennes
en stand by
Et du côté
des soirées
ponctuelles,
organisées
par des
filles qui
ont à cœur
de faire
bouger le
milieu
lesbien de
leur ville,
quel est le
constat? Il
n'est en
fait guère
plus
glorieux.
Jessica fait
partie de la
petite
équipe qui
organisait
les soirées
W à Nice.
Soirées qui
sont en
«stand by
depuis
septembre
car on avait
besoin de
repos»,
explique-t-elle.
...- «Les
lesbiennes
qui veulent
faire la
fête, elles
vont à
Paris!»
Autre ville,
autres
difficultés.
A Grenoble,
Isa a été,
en 2007, à
l'initiative
des soirées
Blonde on
Blonde,
les seules
qui
animaient
alors le
milieu
lesbien de
la ville.
Ces soirées
aussi sont
en stand by.
Mis à part
des
problèmes de
salles,
«trop peu
nombreuses à
Grenoble»...
...
D'abord à
Nice, où les
soirées Lz
Girls,
aux thèmes
aussi divers
que variés,
battent leur
plein toutes
les deux à
quatre
semaines.
Les Niçoises
peuvent
également
compter sur
les soirées
itinérantes
et
mensuelles
MADmoiZelles.
La ville de
Lyon
possède,
elle, deux
bars
lesbiens .
Mais la
ville la
plus gâtée
reste encore
Marseille
-la ville
d'accueil
d'un des
plus vieux
bars
lesbiens de
France.
Le o3g
fêtera ainsi
ses 15 ans
en 2011.
«C'est un
lieu qui ne
fonctionne
qu'avec des
bénévoles.
On organise
des débats
et des
expos, mais
aussi des
soirées. On
vient là
pour danser,
s'amuser, et
s'informer»,
affirme
Corine, qui
fait partie
de
l'équipe...
Et aussi
Tous les
vendredis
soirs, les
filles
peuvent par
exemple se
retrouver à
la Watch
Out.
«Le mot
d'ordre,
c'est
l'esprit de
liberté: on
ne sait
jamais ce
qu'il va s'y
passer!»,
nous répond
Nathalie,
qui organise
également,
en parallèle
et une fois
par mois,
«des plus
grosses
soirées».
Une fois par
mois, c'est
également à
cette
fréquence
qu'ont lieu
les
soirées
Yacht
depuis
quatre ans,
et les
Folygirls
depuis
trois ans .
"
Réaction
-
Et voilà ! des
librairies, des assocs, des soirées,
des mags, des
sorties... qui
doucement
s'estompent,
périclitent et
s'abîment dans
l'anonymat et
l'indifférence,
pour cause de belles
énergies épuisées,
de déceptions
et de découragements
successifs : à
tenter de faire
bouger au travers
d'organisations
d'activités et de
services "clés en
mains", la
masse molle,
insouciante,
personnelle,
planquée et râleuse
des lesbiennes de
France !
MAIS QUE SE PASSE-T-IL
CHEZ NOS LESBIENNES
?
Elles
n'aiment pas le mot
"Lesbienne", elles
n'aiment pas les G-BetT,
elle n'aiment pas
voyager "Gay", elles
n'aiment pas lutter
pour leur droits, elle
n'aiment pas
manifester dans la
rue, elles
n'aiment ni s'afficher ni
témoigner,
elles n'aiment pas
verser d'arrhes
pour leurs sorties ,
elles n'aiment pas
s'informer et
veulent TOUT obtenir sans
engagement ni
conviction ni
argent... En réalité, la
véritable source de
tels
comportements est
peut-être toujours
sous le couvercle
des siècles d'une
condition féminine,
habituée à être
subordonnée, dans
l'attente, le repli,
la non intervention...
Alors
que notre LEZ
Communauté
(n'aiment pas le mot
communauté non plus)
présage d'un
anticonformisme bien
plus subversif que
nos amis Hyper-Gays,
puisqu'il détrône
les bases même de
notre société
patriarcale à
barbichette - En
fait, la Lesbienne
EST l'avenir de la
Femme ! et, le
réflexe de Pavlov de
bon nombre
d'entre-nous
sera sans doute
cette sorte
d'indolence
réticente à devenir
les actrices
magnifiques de leur
temps (?)
voir>>>Qui était Sainte
Valentine
-Essai
En cours
de
rédaction
2008
(il
faut que je me
calme... )
de
réflexion
à froid
concernant
le peu
de
mobilisation
de notre
communauté
au féminin...
à la
poursuite
de son
indomptable
Visibilité...d'autres ont
essayé
vainement aussi
: le
mystère
"pâle Lesbien"
reste
entier !
signé
Arianas-la-furynx
12/01/2009 - Témoignage de Françoise présidente de l'association Entre'L (Nice)
- "Entre'L pendant 4 ans à essayer de construire une association pour les femmes un peu comme une grande famille. Bien des choses ont été mises en place et réalisées avec succès, mais aussi bien des choses ont dues être annulées par faute de participation féminine. Pourtant tout ce qui était organisé ne faisait que répondre à la demande. Nous avons souvent entendu dire qu'il n'y avait rien pour les femmes... ! Avec détermination et courage dénuée de tous sens financier nous avons cru que cette phrase pourrait un jour ne plus faire partie du vocabulaire lesbien. Nous arrivons pourtant à la triste constatation que cette phrase "il n'y a rien pour les lesbiennes" va demeurer encore longtemps.... faute aux lesbiennes tout simplement. Créer une association est à la portée de tout le monde la faire vivre ne dépend essentiellement que de sa fréquentation. Comme beaucoup d'autre associations, nous y avons cru ! nous l'avons aimé ! nous y avons travailler sans relâche jour et nuit ! Nous souhaitons bonne chance à celles qui voudrons prendre le relais pour l'année 2009." contact :entrelles06@hotmail.fr ...Spécial
PACA
De
plus,
Tasse de
Thé
trouve
la
réflexion
(ci-dessous)
de
Francis
Lamberg
de LA
LUCARNE
hautement
pertinente
et très
révélatrice
du
comportement
Lesbien
en
général.
Les
personnes
qui
souhaitent
apporter
une
réponse,
un point
de vue,
leur
vécu...
sur ce
sujet
qui nous
implique,
seront
les
bienvenues
:
FIASCO de la L-Week
: Coup de gueule de Francis Lamberg -
Auteur article/ Rubrique
Œil de LA LUCARNE
"La première semaine
de décembre 2007,
LaLucarne" s’est
investie, à l’instar
de nombreuses autres
associations belges,
dans
l’organisation de la
L-Week
Cette manifestation
propose, pendant une
semaine, des
activités destinées
au public lesbien
belge. Pour
l’édition de
décembre passé,
LaLucarne.org a mis
beaucoup
d’enthousiasme et
d’énergie à
concocter un
programme liégeois
riche et diversifié.
Nous proposions une
soirée dansante
Drag-king en
partenariat avec les
Girls Night, une
soirée littéraire
avec deux auteures
de la région, un
atelier drag-king et
deux soirées vidéo.
A l’heure du bilan,
le constat est amer.
Seule la soirée
dansante a été un
vrai succès ; une
des soirées vidéo a
eu quelques
spectatrices ; les
trois autres
activités ont connu
une fréquentation de
zéro lesbienne. Il
n’est pas inutile de
souligner que
lorsque ce genre
d’activités (soirées
littéraires, soirées
vidéo) cible les
homos mâles, la
fréquentation y est
toujours plus
qu’honorable.
Depuis le temps que
les filles nous
rabâchent les
oreilles avec
l’éternelle antienne
sur le manque
d’activités festives
et culturelles qui
leur sont destinées,
nous avions voulu
leur offrir, pendant
une semaine, un
choix susceptible de
satisfaire les
attentes et les
goûts les plus
variés. Nous avions
perçu une demande
importante,
persistante et
insistante
d’activités
destinées aux
lesbiennes, nous
nous sommes démenés
et investis pour
proposer une variété
d’animations… mais
force est de
constater que :
soit notre offre
d’activités ne
correspondait pas
aux désirs des
lesbiennes ;
soit le cliché de la
lesbienne casanière
repliée sur son
foyer et son couple
est une réalité.
Ce quasi fiasco,
nous a refroidis. A
l’heure de
l’évaluation, nous
envisageons une
participation
minimum à l’édition
2008 de la L-Week…
et nous attendons de
pied ferme les
doléances et les
récriminations des
filles à propos du
manque d’activités
destinées aux
lesbiennes." Francis Lamberg -
Auteur article/
Rubrique Œil de LA
LUCARNE
La LUCARNE.ORG
(Art, Culture,
Médias &
Homosexualité) :
www.lalucarne.org/spip.php?article602
L-week
& LesbienneDag !
... oui mais c'est en
Belgique !
Depuis 19 ans, Folía organise la
Lesbiennedag -
Journée qui rassemble des
lesbiennes
autour d’activités diverses à
Gand.
Jusqu’à présent, l’événement n’a
été proposé qu'en néerlandais,
mais cette année pour les 20
ans, Folía et la FAGL
(Fédération des Association
Gayes et Lesbiennes) ont décidé
de travailler ensemble pour
ouvrir l'événement aux
lesbiennes francophones.
le site :
www.lesbiennedag.be
Allemagne
Après le
coming-out d'Anne Will,
voir
Potins Lesbiensles
lesbiennes réclament leur
Journée officielle...
«Il y a des fêtes
pour tout, pour la
Saint-Nicolas, le travail, la
constitution, etc., alors
pourquoi pas une Journée des
lesbiennes?», insiste
la porte-parole de la Fédération
gay et lesbienne allemande,
Renate Rampf. Dans l'euphorie du
coming-out de la
présentatrice-star de télévision
Anne Will (lire Quotidien du 20
septembre), les lesbiennes
allemandes ont en effet proposé
que le 17 novembre devienne leur
journée officielle. «Cette date
est aussi l'anniversaire du
mouvement lesbien, dont nous
avons fêté le centenaire cette
année», explique Renate Rampf.
«Nous devons en finir avec la
tradition de la non-visibilité
de l'homosexualité féminine.
Chaque jour, des lesbiennes sont
victimes du mépris et de
l'oubli.» Et lorsqu'Anne Will a
présenté sa compagne, samedi 17
novembre, c'était déjà «une
journée de fête pour les
lesbiennes», se réjouit Renate
Rampf."
Source tetu.com 23/11/2007
Les
Lesbiennes
de LAM
ont
frappé
très
fort !
et Bravo
aussi à
la
Mairie
de
Morlaix
!
L'association
LAM
(Lesbiennes
à
Morlaix)
a
fait
une
superbe
action
de
visibilité
pour
la
journée
internationale
des
femmes,
en
passant
un
message
sur
le
panneau
lumineux
de
la
ville
de
Morlaix.
-
"Comme
il
n´y
avait
pas
beaucoup
de
messages,
le
nôtre
est
passé
très
souvent,
toutes
les
minutes.
Le
samedi,
en
plus
c´est
le
marché
chez
nous
et
plein
de
monde
dans
le
centre
ville.
Et à
la
mairie,
la
dame
responsable
pour
le
panneau
m´a
très
bien
accueillie."
Lisbeth
de
LAM
(Morlaix,
Finistère,
Bretagne)
contact
:
lesbiennes.morlaix@free.fr
Photo
LAM
- le
panneau
lumineux
en
question
à
Morlaix
!
Les
filles
de
Morlaix
s'étaient
déjà
bien
mobilisée
en
Mars
2007
en
célébrant
un
mariage
Lesbien
!
La Journée
internationale des
femmes plus que
jamais d'actualité
tetu.com
07/03/2008 par
Ursula Del Aguila
Lsamedi 8 mars, nous
célébrerons la
Journée
internationale des
femmes. Officialisée
en 1972 par les
Nations-Unies et
adoptée en France en
1982, elle rappelle
qu'à l'échelle
planétaire les
femmes –qui
représentent la
moitié de
l'humanité–
subissent des
violences, sont
moins payées que
leurs homologues
masculins, accèdent
difficilement aux
postes-clés du
pouvoir, subissent
des discriminations
de toutes sortes
(santé, précarité
économique, etc.).
Et ce uniquement en
raison de leur sexe.
À Paris, le
rassemblement aura
lieu à 15h, à la
Fontaine des
Innocents (1er),
à l'initiative de la
Marche mondiale des
femmes, du Collectif
national pour le
droit des femmes et
de nombreuses
organisations (voir
les signataires de
l'appel au
rassemblement)
Une marche à l'appel
des Panthères roses,
d'Act Up-Paris, du
SCALP, du Collectif
Les Mots sont
importants, etc.
partira de la Place
de la République à
13h et rejoindra le
rassemblement à 15h,
Place des Innocents.
À l'appel de
l'association Ni
Putes Ni Soumises,
un rassemblement
festif aura lieu, à
14h30 demain, en
hommage à Simone de
Beauvoir, sur la
passerelle qui porte
le nom de
l'écrivaine (13e;
métro Bibliothèque
François
Mitterrand).
(...)Cette journée est
plus que jamais
nécessaire
politiquement et
montre la vigueur et
l'actualité des
combats féministes.
Les inégalités
hommes-femmes en
termes de salaires
subsistent, la
sous-représentation
politique malgré la
loi de la parité
sévit toujours, les
violences conjugales
dans la sphère
privée continuent.
Aussi l'enjeu
politique de
l'égalité prend-il
tout son sens à la
veille des élections
municipales et après
avoir fêté cette
année le centième
anniversaire de la
naissance de Simone
de Beauvoir.
Voir aussi le site
des PENELOPES
:www.penelopes.org
8 MARS 2007 -
Journée des femmes : les inégalités et les
violences persistent !
"Près d'un siècle après l'instauration de
cette journée internationale, les femmes
sont plus souvent au chômage et moins bien
rémunérées que les hommes. En Europe, le
fléau de la violence touche 20 à 25% des
femmes.Comme
chaque année depuis presque cent ans, le
monde célèbre jeudi 8 mars la Journée
internationale des femmes. L'occasion de
dénoncer, dans de nombreux pays, les
violences exercées contre les femmes et les
inégalités persistantes au travail comme
dans la sphère domestique.
"La violence contre les femmes et les filles
ne recule pas, quels que soient le
continent, le pays et la culture", a affirmé
mercredi le secrétaire général de l'ONU Ban
Ki-moon, à la veille du 8 mars. Elle est
"souvent dissimulée" et "fait des ravages
dans la vie des femmes, dans leur famille et
dans la société tout entière", dit-il. En
Europe, le fléau de la violence touche 20 à
25% des femmes. Si le nombre de femmes
présentes sur le marché du travail a atteint
en 2006 le chiffre record de 1,2 milliard
sur 2,9 milliards de travailleurs dans le
monde, selon un rapport du Bureau
international du travail (BIT), les femmes,
plus souvent au chômage que les hommes, sont
confinées dans des emplois peu productifs,
et sont moins bien rémunérés.
Manifestations et actions
symboliques
Au sein des pays européens, l'écart de
salaires entre hommes et femmes est de 15%
et les femmes restent très minoritaires dans
les postes décisionnels.
En France, les féministes dénoncent la
persistance des violences exercées contre
les femmes, les écarts de salaires et le
retard dans la parité en politique, malgré
la place prise par Ségolène Royal dans la
campagne présidentielle.
Un peu partout dans le monde, des
manifestations et des actions symboliques
sont prévues jeudi. Au Brésil notamment, les
paysannes du Mouvement des Travailleurs
ruraux sans terre vont occuper des terres. A
Paris, à 18H00, le Collectif national pour
les droits des femmes (CNDF), soutenu par
des mouvements et partis de gauche, appelle
à manifester du métro Père-Lachaise à la
Place de la Bastille.
Instaurée le 8 mars 1910 par une Conférence
internationale des femmes socialistes réunie
à Copenhague, qui revendiquait alors le
droit de vote pour toutes, la Journée
internationale des femmes sert en effet de
caisse de résonnance aux luttes des femmes
contre les violences, les inégalités,
l'injustice"
Source NOUVELOBS.COM | 08.03.2007
LE PARFUM - Patrick SÜSKIND
(...) C'est donc dans la fange parisienne du XVIIIe que
Grenouille, né sans parents ni amour, sans racines ni odeur,
mène une vie de nomadisme olfactif, volant les odeurs, les
imaginant, les recréant pour les infuser au monde entier.
Sans distinction hiérarchique, il se pénètre de la moindre
senteur, tout d'abord frénétiquement, puis avec méthode,
pour finalement se livrer à un projet démiurgique et
vampirique. Dans ce voyage jusqu'aux confins de
l'imagination à la fois poétique et morbide, Süskind nous
entraîne sans repos à la suite de son héros monstrueux,
véritable buvard des essences dont l'ultime expérience revêt
presque un caractère généreux et mystique." STang-L
Wauters
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