Les
Soeurs de la Perpétuelle Indulgence fêtent les 20
ans de leur couvent
Source
tetu.com 16/09/2010
Les «religieuses» dévouées à la lutte contre le
sida et l'homophobie célébraient ce week-end le 20e
anniversaire de leur présence à Paris. Pour
l'occasion, une procession très colorée avait lieu
entre la Sorbonne et l'Hôtel de Ville.
Les Soeurs de la Perpétuelle Indulgence soufflent
cette année les 20 bougies d'anniversaire de leur
couvent parisien. Pour l'occasion, ces religieuses
hautes en couleur organisaient samedi une procession
festive dans Paris: départ en face de la Sorbonne,
où elles s'étaient installées en 1989, un an avant
la naissance officielle du couvent. Puis passage
devant le musée de Cluny, direction le parvis de
Notre-Dame. Les nonnes n'iront pas jusqu'à la
cathédrale, l'archevêché ayant fait savoir qu'elles
n'étaient pas les bienvenues sur le parvis Jean-Paul
II. C'est donc sous bonne escorte qu'elles ont
descendu le boulevard Saint-Michel, jusqu'aux quais
de Seine, s'arrêtant ici pour bénir un distributeur
de préservatifs, là pour admirer des escarpins à
talons aiguilles en vitrine. Du pain béni pour les
touristes, nombreux dans ce secteur, qui mitraillent
les religieuses à faux cils ou à barbe. 1 500
membres : Pourtant, au-delà de leur excentricité et
de leurs happenings festifs, les Soeurs mènent un
vrai combat contre le sida et pour l'accompagnement
des malades. Une démarche née il y a trente ans,
quand quelques copains californiens se mettent au
défi de revêtir un habit de nonne et de débarquer
dans le quartier gay de San Francisco. Sur place,
ils s'aperçoivent que leur apparence attire les
passants, et suscite leurs confidences. Un besoin
d'écoute que les plaisantins ne soupçonnaient pas,
et qui les conduira à créer officiellement les
Sisters of Perpetual Indulgence. Mais très vite,
l'épidémie de sida explose, et les Soeurs se
consacrent tout naturellement à la lutte contre le
virus et l'homophobie. Provocantes, mais en même
temps très impliquées, les soeurs ont deux mantras:
«l'expiation de la culpabilité stigmatisante» et «la
promotion de la joie multiverselle». Dix ans plus
tard, en 1990, le premier couvent français
s'installe offciellement à Paris (il y en a deux
actuellement). «Les soeurs se donnent pour mission
de faire rire, même des choses les plus sérieuses»
indiquent les statuts de l'organisation.
Aujourd'hui, les soeurs rassemblent autour d'elles 1
500 bénévoles dans le monde. A quand la
reconnaissance officielle par le Vatican?
Photo
Mathias Casado Castro
Les
Soeurs de la Perpétuelle Indulgence prononcent 5 voeux, qui
guident leurs actions :
Les Soeurs participent donc à de nombreuses manifestations,
qu'elles soient de lutte contre le SIDA ou de visibilité. On
les retrouve souvent pour "bénir" une union ou un évenement,
à la Lesbian and Gay Pride, aux Solidays, dans la rue, sur
les Quais,...bref partout où ils y a des pédés, des goudous,
des bis, des trans...On les associe souvent aux associations
de lutte contre le SIDA mais elle sont avant tout un
mouvement de visibilité, de fierté."
Couvent de Paname :
SPI Couvent de Paris :http://soeursdeparis.9online.fr
en PACA :
Sœurs de la perpétuelle indulgence,
c/o M. Pugliese, 2695, avenue du col. Maurice-Bellec,
quartier La Glacière, 13540 Puyricard. Tél. : 06 62 57 56
71.
L'
Interview
Madame H
(Homosexualité
et Bourgeoisie)
sur jagg.com
>>>"Madame H is
back! La
présidente
d’Homosexualité
& Bourgeoisie
présente
"Morceaux
choisis", au
Tango (13, rue
au Maire, 75003
Paris), les 23,
24 et 25 mars.
Au programme,
ses meilleurs
sketchs et des
inédits. "
"Elle est la présidente et l’unique membre de
l’association Homosexualité & Bourgeoisie ,
qu’elle a fondée il y a quatre ans et se bat pour
les valeurs pédérastiques et sapphistiques : Madame
H nous fait un come-back fracassant au Point
Virgule.
Désormais célèbre pour son engagement dans un combat
volontairement solitaire contre le mauvais goût et
la vulgarité dans la communauté gay. Sur un ton
démagogique, opportuniste, drôle et décalé, Madame H
milite, explique-t-elle, pour que 2 000 ans de
culture et de raffinement pédérastiques ne soient
pas engloutis dans les tréfonds d’une backroom. "Madame H. tente de réconcilier les
homosexuel-les avec les valeurs bourgeoises, le bon
goût, et, le savoir vivre. En armure 100% CHANEL,
elle milite inlassablement pour que 2000 ans de
culture et de raffinement pédérastiques ne soient
pas engloutis dans les tréfonds d'une backroom, et
que perdure le charme et l'élégance parisienne même
chez les lesbiennes les plus radicales. "
www.madameh.fr
Grand prix Jean Giono pour
Dominique Fernandez
Source tetu.com 15/10/2009 "Ce prix littéraire, qui récompense l'ensemble de l'œuvre
d'un auteur, revient cette année à Dominique Fernandez, qui
revendique d'être le «premier académicien ouvertement gay».
(...)Porte-parole de la communauté homosexuelle
Né à Neuilly-sur-Seine en 1929, Dominique Fernandez est le
fils du grand critique d'origine mexicaine Ramon Fernandez.
En 1974, il révèle son homosexualité à l’occasion de la
publication de Porporino ou les mystères de Naples, roman
qui lui valut le Prix Médicis en 1975. L'étoile rose,
publié en 1978, fait d'ailleurs référence sur le thème de
l'homosexualité. En 1999, il prend la défense du pacs et se
fait porte-parole de la communauté homosexuelle avec Le loup
et le chien.
Se qualifiant de «premier académicien ouvertement gay», il
fait figurer Ganymède sur le pommeau de son épée lors de son
accession en 2007 au fauteuil 25 de l'Académie française.
Le Jury, présidé par
Pierre Bergé (qui est par ailleurs directeur de TÊTU) est
composé de trois immortels: Jean Dutourd, Erik Orsenna et
Frédéric Vitoux, ainsi que de Sylvie Giono-Durbet, Françoise
Chandernagor de l’Académie Goncourt, Jacques Chessex du Prix
Medicis, Paule Constant du Prix Fémina, Gilles Lapouge,
Claude Mourthé, Pierre Pain, Franco-Maria Ricci, Jean-Pierre
Rudin, et Yves Simon... "
Photo:
Académie française.
L'écrivain homosexuel Dominique
Fernandez entre à l'Académie française "AU COMMENCEMENT, il y a une vision
émerveillée de la Méditerranée et du golfe de Naples.« Jamais je n'ai
oublié cette découverte, fondatrice de tout ce que je suis devenu ;
souvenir physique qui me trouble encore », écrira Dominique Fernandez.
Plus tard, il y a eu Jérusalem, Constantinople, Rio, Palmyre, Moscou,
Saint-Pétersbourg... Au cours de ses voyages, l'écrivain a toujours pris
soin de prêter son bras à une ombre choisie : Michel-Ange, Bernin,
Vivaldi, Casanova, Dostoïevski, Haydn, Nabokov, Pasolini
(...) "www.lefigaro.fr/culture/20070309.FIG000000150_dominique_fernandez_a_l_academie_francaise.html L'écrivain
et critique littéraire Dominique Fernandez, est
désormais académicien français. Élu, jeudi 8 mars
dans un fauteuil (dès le 1er tour, avec 21 voix, ce
qui est rare), Dominique Fernandez, né en 1929,
domine une œuvre riche de plus d'une cinquantaine de
romans, essais ou récits de voyages, passionné
d'Italie. En 1982, "Dans
la main de l'ange", une biographie imaginaire de Pier
Paolo Pasolini, lui vaut le Goncourt. Mais pour
nombre d'homosexuels, la révélation Fernandez vint
surtout avec L'Étoile Rose (1978) où l'écrivain, qui
fut d'abord marié et père de famille, faisait
revivre, à travers son personnage de David, des
questionnements qui trouvèrent un écho chez
d'innombrables lecteurs. «Ai-je donc honte de vivre
comme je vis? Ne puis-je être moi-même qu'au fond
d'un souterrain? Qui m'empêche aujourd'hui d'être
publiquement ce que je suis?», se demandait ainsi
David, dès les premières pages. L'essentiel de son
œuvre est publié chez Grasset et disponible en
poche. Source
tetu.com par Daniel Garcia 09/03/07
"Son univers est glauque, son romantisme
noir, le climat qu'il fait naître
presque étouffant. La voix de Jean Guidoni
dessine l'image du Berlin
décadent des années 1930, fausses fêtes
lugubres dans des cabarets sombres où il
faut, pour être admis, faire semblant de
vivre. Il y a en lui des accents qui
rappellent ceux de la chanson réaliste,
des cris de bête traquée, des gestes de
combattant vaincu. Pourtant, l'espoir
affleure dans ses couplets et, après
chaque coup reçu, ses héros se
redressent. Parce que, comme lui, ils se
battent; comme lui, ils ont fait du
refus une vertu. Guidoni trouble,
Guidoni émeut, Guidoni fait frémir... Et
Guidoni encourage, redonne vie à ceux
qui pourraient s'effondrer. Par ses
ambiguités, ses doutes et ses
certitudes, son talent et son allant,
par l'étrangeté de son répertoire, il
s'est créé une place à part. Dans la
chanson actuelle, il est symbole
d'originalité. "
(Préface du livre, 1988)Jean Guidoni par Colette Godard (1988)
Collection Poésie & Chansons -
Editions Seghers/Lafont, 1988
(9782232101021)
Le dernier interview d' Elie
Kakou
"Fin avril, alors
qu'il était déjà très faible, Elie Kakou nous
avait reçu dans son appartement parisien. Il
nous parle pêle-mêle de ses deux derniers
films, de ses débuts, de son judaïsme... et de
la rumeur publique. Elie Kakou est marseillais
d'origine tunisienne. En cette fin du mois
d'avril où les rumeurs sur sa mort vont bon
train, il nous a reçu dans son loft parisien,
quasi immobile sur un canapé, déjà très
affaibli. Des bords de la Méditerranée à la
populaire rue de Montreuil, Elie nous a offert
thé à la menthe et makroud. Derrière la cheminée
trônait un portrait du président de
la République... Elie Kakou. - Cela
fait un an que vous vous êtes retiré de la scène
médiatique. Qu'avez-vous fait pendant tout ce
temps ? Elie
Kakou: J'aurais préféré que vous me demandiez :
ça fait combien de temps que vous tournez pour
prendre une année sabbatique ? (Silence.) Vous
savez, le corps se venge. Je fais des salles de
3 000, 6 000 personnes... Ils veulent tous me
parler, me toucher au point que j'ai parfois
l'impression d'être une mezzouza. Vous savez,
j'ai une technique : je donne d'abord des
autographes. Ceux qui sont persévérants ont le
droit à la bise dans un deuxième temps. On a
toujours envie de faire plus pour les fans, on a
envie de les régaler... "
source et article complet :
www.rudy-lagersie.net/eliekakou.html
Almodóvar retrouve
Penélope Cruz
Source
tetu.com 12/09/2007
Pedro Almodóvar (Volver,
Tout sur ma mère), devrait retrouver très
bientôt sa muse Penélope Cruz. S'il a mis de
côté —pour l'instant— son long-métrage sur la
vengeance, La piel que habito (une adaptation du
roman français Mygale), il se concentre sur un
scénario original, sur le destin croisé de cinq
ou six personnages. Selon Variety, la bible US
du showbiz, Blanca Portillo (Volver) et Lluis
Homar (La Mauvaise éducation) feraient aussi
partie de la distribution.
Provocateur, brillant et infatigable, Pedro Almodovar
enchaîne les films depuis le début des années 80.
Personne
mieux que lui en Espagne ne sait filmer les femmes : les
problèmes des femmes, la fragilité des femmes, les excès des
femmes. Portrait du réalisateur qui a imposé le cinéma
espagnol au box-office...
"Né le 25
septembre 1951 à Calzada de Calatrava (Espagne, Pedro
Almodovar regarde la vie en technicolor et très jeune,
trouve sa voie : le cinéma. A seize ans, sans un sou en
poche, il part à la recherche de son rêve et s’installe à
Madrid. Il a pour projet de s’inscrire à l’école officielle
du cinéma, mais celle-ci vient de fermer ses portes sur
ordre de Franco. Commence alors la ronde des petits boulots
avant qu’il ne trouve un job fixe à la Compagnie nationale
du téléphone dans lequel il restera douze ans. Parallèlement
à ce travail alimentaire, il écrit des scénarios et les
tourne en Super 8. Il fait aussi partie d’une trouve de
théâtre Los Goliardos et d’un groupe punk-rock parodique
Almodovar y McNamara. Il côtoie alors la classe moyenne
qu’il découvre, et les petits malheurs des gens sont pour
lui une source inépuisable d’inspiration.
En 1974,
il réalise son premier court métrage. Une dizaine d’autres
suivront jusqu’en 1979.
Quant la démocratie arrive en Espagne en 1980, Almodovar
sort Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier. Film cru,
qui caractérise la volonté d’ouvrir le cinéma espagnol à la
liberté retrouvée. Viennent ensuite Le labyrinthe des
passions et Matador, films qui révèleront Antonio Banderas."Photo absolutenow.com
Avec Femmes au
bord de la crise de nerfs, Almodovar gagne ses galons de
cinéaste reconnu. Le film sort des frontières et le propulse
au rang de réalisateur "à la mode". Attache-moi, Talons
aiguilles, Kika s’enchaînent alors le positionnant comme un
cinéaste particulièrement doué quant il s’agit de mettre en
scènes des actrices. Mais c’est avec Tout sur ma mère en 1998, qu’Almodovar
atteint la consécration. Il obtient pour ce film le prix de
la mise en scène à Cannes, l’Oscar et le César du meilleur
film étranger, le Golden Globe et sept Goya (l’équivalent
des Césars en Espagne).
Si Parle avec elle (2001), traite d’une amitié entre
deux hommes qui se rencontrent au chevet de... femmes,il passe à un registre plus intime avec La
mauvaise éducation (2003), œuvre dure et noire sur les
cicatrices d’une enfance violée. En 2006, retour à la case
drôles de dames avec Volver, une fois de plus sélectionné à
Cannes.
Source : Laurence Morel -
www.avoir-alire.com
Pepi,
Luci, Bom et autres filles du quartier (1980)
Le labyrinthe des passions(1982)
Dans les ténèbres (1983)
Qu’ai je fait pour mériter ça ? (1984)
Matador (1985)
La loi du désir (1986)
Femmes au bord de la crise de nerfs (1987)
Attache-moi (1989)
Talons aiguilles (1991)
Kika (1993)
La fleur de mon secret (1996)
En chair et en os (1997)
Tout sur ma mère (1998)
Parle avec elle (2001)
La mauvaise éducation (2003)
Volver (2006)
Jean-Luc
Roméro confie à IBnews son actualité et présente son nouveau
roman.
« Je n'ai
jamais connu Amsterdam au Printemps »
est le journal
d'un homme politique et militant.
Mais aussi -surtout ?- un
voyage du souvenir.
CitéGay09/04
"Il y
a 10 ans, le sida emportait Hubert, le
compagnon de Jean-Luc Romero. Parmi les
projets irréalisés, un printemps entier
passé à deux à Amsterdam. «Pour toi, je
tiendrai notre serment d'amour», promet
Jean-Luc à Hubert dans les premières
phrases de son texte.
Pourquoi avoir attendu une décennie?
C'est qu'une carrière politique prend du
temps, surtout quand elle se double
d'une vie associative fournie. Tout en
relatant ses rencontres officielles,
Jean-Luc Romero nous entraîne dans sa
visite d'Amsterdam, ses souvenirs qui
reviennent.
Entre émotion et confidence, ce livre
est la touchante synthèse d'un combat
politique qui a tout de personnel."
États-Unis :Le
Secret de Brokeback
Mountain
en tête de
la course aux Oscars
e-llico
01/02/06
"Le Secret
de Brokeback
Mountain",
réalisé par
le Taïwanais
Ang Lee, a
été nominé
huit fois
aux Oscars
2006 qui
seront
décernés le
5 mars.
Le film a
notamment
été
sélectionné
dans la
catégorie
meilleur
film,
meilleur
réalisateur,
meilleur
acteur
(Heath
Ledger),
meilleure
actrice dans
un second
rôle
(Michelle
Williams),
et meilleur
acteur dans
un second
rôle (Jake
Gyllenhaal).
Samantha
Oups
Réalisateur
Xavier
Pujade-Lauraine
Samantha
(à
gauche)
:
...sous
la
perruque
décolorée
de
notre
héroïne
se
cache
Doudi,
un
irrésistible
comédien
dans
la
veine
du
Splendid...
Voir les Vidéos (extraits) :
http://kd2a.france2.fr/videossamantha
Chantal
(à
droite)
:...le
comédien
Pepess
se
cache
sous
la
perruque
brune
de
Chantal,
il
est
le
fidèle
acolyte
de
Doudi
dans
la
série
aussi
bien
que
dans
la
vie....
Dave
Le
chanteur qui a fêté ses soixante ans
pose dans le magazine
Gala avec son
conjoint Patrick
qui partage sa vie
depuis 33 ans, annonçant qu'ils se sont
pacsés. - « L'amour, c'est
vraiment chimique (...) J'ai eu la
chance de rencontrer la personne qui me
complète tout à fait », confie
Dave dans un long entretien avant son
retour à l'Olympia les 14 et 15 mai. Le
chanteur regrette « qu'en France, le
fait de dire ouvertement que l'on aime à
la fois les hommes et les femmes choque
encore beaucoup de gens, y compris au
sein de la communauté gay ». «En
Hollande, dans mon pays d'origine, on
n'en parle pas. Question de Culture »,
observe Dave qui, « au risque de ne
pas [se] faire que des amis », est « plutôt
contre » l'adoption d'enfants par
des homosexuels (avec AFP).
site fans :
www.douxtamtam.com/accueil.php
Rob Epstein
débute sa carrière
au cinéma en travaillant
avec Jeffrey Friedman comme
consultant sur The Times of
Harvey Milk, un film qui
obtient l'Oscar du Meilleur
Documentaire en 1985. En
1987, il fonde avec son
collaborateur la société de
production Telling
Pictures.Tous les deux
produisent et réalisent
entre autres The Celluloid
Closet (1995), un
documentaire sur la manière
dont les films hollywoodiens
traitent de homosexualité
depuis cent ans. Robert
Epstein et Jeffrey Friedman
reçoivent alors l'Emmy Award
du Meilleur réalisateur.En
1999, avec l'aide du docteur
Klaus Müller, un historien
allemand, ils réalisent
Paragraphe 175, un
documentaire sur les
persécutions dont ont fait
l'objet les homosexuels sous
le IIIe Reich. Ce film
obtient l'Ours d'Or du
Documentaire au Festival de
Berlin 2000 et les deux
cinéastes se voient décerner
le Prix du Meilleur
Réalisateur de documentaire
au Festival du Film
Indépendant de Sundance
2000.Ses Films:
Out of order (1982), The
times of Harvey Milk (1985),
Common threads: Stories from
the quilt (1989),Where are
we (Our trip through America)(1992),
The Celluloid closet (1995),
Paragraph 175 (2000)...
....................................................................................................................................................................................
retour
"Follement
Nulle" -
réaction pertinente d'un téléspectateur sur Têtu mars 2004
"L'émission "Follement gay" sur M6,
m'a beaucoup appris sur moi-même. Je sais maintenant que
je vis en 1972, que j'ai le QI d'un hamster et le goût
artistique d'un crapaud australien. Désormais, grâce à
M6, je vais pouvoir m'assumer tel que je suis. Merci M6. Et,
demain, je regarde TF1 ! Yeaahh ! Plus sérieusement, je ne
m'étais pas senti aussi mal depuis des années" Claude d'Evry
Elton John et David Furnish
Le « mariage » correspondra à la
mise en place des contrats d'unions
civils en GB... Souvent précurseur dans le
domaine musical, la pop star
britannique a annoncé après des
fiançailles en février qu'il
« épousera » David Furnish, son
compagnon depuis 11 ans lors
d'une cérémonie à Windsor en
décembre prochain.
Le lieu est
symbolique, le Prince Charles
ayant épousé au même endroit sa
maîtresse Camilla Parker Bowles.
Cette dernière a été marquée par
l'action d'un activiste récidiviste
Gay du groupe Outrage, Peter
Tatchell, qui a brandi une pancarte
rappelant que si « Charles peut
se marier une seconde fois, les gays
ne peuvent pas se marier une seule
fois ». En décembre prochain
pourront être conclus les premiers
contrats d'union civils, équivalents
de notre Pacs national. L'Eglise
anglicane s'est déchirée sur la
question du mariage gay et de
l'ordination des prêtres
homosexuels. Photo
Elton John et David Furnish
Le
gouvernement travailliste de Tony
Blair, qui a de grande chance d'être
confirmé aux responsabilités lors
des législatives qui se dérouleront
le mois prochain, a quant à lui
multiplié depuis quelques mois les
signes positifs à destination de la
communauté LGBT. Outre l'adoption
d'un contrat d'union civil, la
Grande Bretagne a multiplié les
mesures égalitaires entre couples
homosexuels et hétérosexuels
concernant les retraites, pensions,
droits sociaux... Lors de l'annonce
de ses fiançailles, Elton John,
58 ans, justifiait ce choix en
ces termes : « Cela fait 11 ans que
nous sommes ensemble. Nous devrions
avoir les mêmes droits de nous
engager l'un envers l'autre et de
nous protéger que les couples
hétérosexuels. »
.....................................................................................................................................................................................
retour
Cent
proverbes à l’usage des gays" Marc Châtelard
"Un Chien sans queue peut montrer son amour"
Réunis par Marc Châtelard, cent proverbes de tous les pays
et de tous les temps que l’humour gay détourne à sa façon,
cent interprétations de la « sagesse populaire » qui
n’étaient peut-être pas celles que nos ancêtres avaient en
tête !
http://www.dieselpress.com/cat.html#006
Garçon,
une banane
! Brèves de comptoir gay
Thierry MARTIN
Illustration de
couverture : Cuneo
"Un bar gay, c'est tout un univers.
Il y a le vantard qui gueule à travers la salle :
« J'ai pris qu'une boîte de 12 capotes :
j'espère qu'on en aura assez pour la nuit. »
Il y a l'intello qui chuinte d'une voix pointue :
« C'est l'hyposécrétion d'endorphines par le système
nerveux
qui provoque l'état morbide appelé "amour". »
Et puis il y a l'ingénu qui susurre :
« Mon chat, il est comme moi : quand il a rien à faire, il
joue avec sa queue. »
À ceux-là et à tous les autres, Thierry Martin offre une
tournée générale :
« Garçon, une banane ! »
Thierry Martin est spécialiste de l'histoire médiévale,
il a déjà publié plusieurs essais sur la sexualité et la
poésie homosexuelle à cette époque (chez GayKitchCamp) et un
recueil de Ballades en argot homosexuel de François Villon
(chez Mille et une nuit). Il est également l'un des
animateurs de l'émission de radio gay Riz Pilaf et Bouillon
Kub sur Divergence FM (Montpellier).
Tom de Pekin
n’est pas vraiment de Pekin mais de Savoie
et vit à Paris. Artiste militant, graphiste,
réalisateur, il s’intéresse au rapport texte image,
au détournement, toujours dans un esprit érotico
ludique. Il a travaillé pour les magazines Têtu,
360°, Les Lettres Françaises, Nova, mais aussi pour
le Sneg, Amnesty International et Aides. Tom de
Pekin est également auteur et réalisateur de clips
présentés dans de nombreux festivals
internationaux.... "
Source
www.lasuperette.com/fiche_illu.php?id_illu=13#
Bande
Dessinées
"ROGER" de Roger Payne Editions H&O
Article du 18/07/2007
Ses dessins hyperréalistes d'hommes murs et virils,
se faisant plaisir tout seuls ou engagés dans des
accouplements, ont rendu Roger Payne célèbre dans le
monde de l'art gay. Ses modèles sont de tous
âges, ils sont poilus et bien pourvu par la nature.
Cette rétrospective des dessins de Roger est une
belle réussite!
Steve Walker artiste
peintre (US) reconnu à travers le monde, dont le langage
très visuel mêle le drame, le silence et la séduction...
http://stevewalkerartist.com/
.....................................................................................................................................................................................
retour
* Gay Heroes, by Joë PHILLIPS