-"J'adore vieillir.
Pour rien au monde,
je ne voudrais
revenir en arrière.
C'est tellement mieux,
on est moins con..."
Muriel Robin
*Photo Stokholm GayPride 2007
-" Il faut
garder la forme. Ma
grand-mère a
commencé à faire 10
km par jour à l'âge
de 60 ans.
Aujourd'hui, elle en
a 97, et... on se
demande bien où elle
peut être."
(Elen Degeneres)
-"On dit que
vous perdrez
l'esprit en
vieillissant. Ce
qu'on ne dit pas,
c'est que cette
absence ne vous
affectera pas
beaucoup." (M.Cowley)
-"Cinquante
ans, c'est la
frontière entre
"Bien conservée" et
"Bien habillée"....
Optez pour
l'élégance"
(Lisa
Rochambeau-Lapierre)
Source :
Les PetitsLivres-Cadeaux
d' Helen EXLEY - "Régimes,
Rides et Libido !"
à
commander par
AMAZONE.
LES
BABAYAGAS
L'art de bien
vieillir... La
maison des
Babayagas
s’articule
autour de deux
pôles :
- lieu de vie de
femmes
vieillissantes
choisissant
d’inscrire leur
cheminement
jusqu’à son
terme dans un
compagnonnage
solidaire ;
- lieu de vie de
rencontres,
d’échanges
festifs,
d’actions et de
réflexion,
ouvert sur le
quartier, sur le
monde. Vivre
Ensemble
Encore
totalement
autonomes, nous
désirons mener
notre vie au
quotidien selon
nos goûts et
habitudes, pour
y poursuivre nos
activités comme
nos relations
familiales et
amicales... "
www.lamaisondesbabayagas.fr/vivre%20en%20babayagas%20septembre%2009.html
REPAIRE
DE
JUBILATION
Association
Loi 1901
-
VIVRE ET
VIEILLIR
SOLIDAIRES
Pour la
Création
d'un
lieu de
vie
lesbien,
féministe,
non
mixte -
"Notre
désir
est de
créer un
lieu où
chacune
puisse
continuer
à
inventer
sa vie
le plus
longtemps
possible
grâce à
la
solidarité
entre
lesbiennes
féministes,
dans
le
respect
de nos
choix et
de notre
identité.(...)"
Quelques pierres pour une société philogyne. Initiative pour la création d'un lieu de vie pour lesbiennes âgées... de tous âges. Une conception lesbienne, entre pairs, porteuses d'utopie. sitewww.repairedejubilation.org/
INFOS et Inscriptions au 04 75 71 40 84 ou par courriel:jubilaction@orange.fr
VIDEOS
témoignages
émouvants au
Québec
de la vision de
l'âge pour des
personnes GAYS
VIDEO
Québec :Voici un
court vidéo de
témoignages
depersonnes GAYS
pour mieux
comprendre les
peurs, la
solitude,
l'amour, le
secret...
( 3:54 min)
VIDEO
témoignage du
Québec"Je
les aime encore"met
en vedette
Michel
(Michelle)
Gagnon Gay
depuis toujours,
selon ses
propos. Âgé de
80 ans,
Michel(le) nous
livre ses
confidences sur
son amour
inconditionnel
des femmes, ses
conquêtes et ses
ruptures. À
travers le récit
de sa vie fort
mouvementée, la
réalisatrice
Marie-Pierre
Grenier aura su
nous dévoiler
l'autre côté du
miroir, la
solitude, la
peur de la mort
et le
vieillissement."
voir la
Version
intégrale
(12:55)
Fondation
Émergence
Aux
Etats Unis, le
premier centre
social réservé
aux retraités
homos
Source
AFP/tetu.com
07/03/2012
Contre
l'isolement
social vécu par
beaucoup de
retraités LGBT,
l'association
SAGE et la
mairie de New
York viennent
d'ouvrir un lieu
de rencontres et
de détente qui
leur est
réservé. Une
première aux
Etats-Unis.
Un centre social
pour retraités
LGBT, le premier
des Etats-Unis,
vient d'ouvrir
ses portes à New
York. Le Centre
SAGE a été
inauguré jeudi
dernier dans le
quartier de
Chelsea, au
coeur de
Manhattan, après
un accord entre
la mairie et
l’association
SAGE, qui se
consacre à
améliorer les
conditions de
vie des homos
retraités. Il
aura pour but
d'aider une
population
souvent plus
seule et isolée
dans son grand
âge que le reste
de la
population. Lieu
de rencontres et
de détente«Nous
pensons que
c'est le premier
centre de ce
type qui
fonctionne à
plein temps pour
lesbiennes,
gays, bisexuels
et trans»,
explique
Christopher
Miller,
porte-parole du
département du
troisième âge de
la ville de New
York. «Ce n'est pas une maison de
retraite»,
précise-t-il,
«ni un
établissement
médical
spécialisé». Il
s’agit en fait
d’un lieu de
rencontres et de
détente pour les
plus de 60 ans.
Au quinzième
étage d'une
tour, il offre
des activités
liées «à l'art
et la culture,
l'alimentation
et la nutrition,
la santé et le
bien-être». Les
retraités
peuvent venir y
dîner, ils
peuvent
participer à des
cours de yoga,
de danse, y
trouver des
conseils,
rencontrer une
infirmière ou
participer à des
séminaires.Deux fois
plus de risque
de vieillir
seuls
L’objectif du
centre?
Permettre aux
homos, bi et
trans de
«vieillir en
bonne santé,
avec une
sécurité
financière et un
soutien fort de
la communauté»,
selon
l’association
SAGE, fondée en
1979 et qui se
présente comme
un «filet de
sécurité» pour
ces populations
qu'il épaule
dans quinze
Etats
américains.
Souvent, de
l’avis même de
la mairie de New
York, les LGBT
«ne se sentent
pas à l'aise
dans les centres
sociaux
traditionnels».
La peur d'être
discriminés les
dissuaderait de
demander de
l'aide, y
compris
médicale. SAGE
dénonce cet
«isolement
social» qui a
«un énorme
impact sur leur
santé et leur
bien-être».
Selon
l’association,
les homosexuels
ont
statistiquement
«deux fois plus
de risque de
vieillir seuls
que les
retraités
hétérosexuels et
quatre fois plus
de probabilités
de ne pas avoir
d'enfants». Un centre
réservé aux
New-Yorkais
Ce premier
centre est
destiné à ceux
qui habitent
dans les cinq
quartiers de New
York (Manhattan,
Bronx, Brooklyn,
Queens, Staten
Island), ville
américaine qui,
si l’on en croit
sa mairie,
compte le plus
de personnes se
présentant comme
homos ou bi. Il
n'existe pas
pour l'instant
de projet pour
en ouvrir un
autre. New York
compte
actuellement 1,3
million de
retraités (pour
une 8,17
millions
d'habitants au
total). Leur
nombre devrait
augmenter de 46%
dans les 25
prochaines
années, d'où
l'attention
particulière
apportée à cette
tranche d'âge.
Outre ce centre
social pour
homos, la mairie
de New York a
également
annoncé
l'ouverture d'un
centre social
destiné aux
retraités
aveugles ou
mal-voyants,
nommé «Visions».
"Cloudburst
"de
Thom
Fitzgerald
ouvrira
le Festival de
films G&L de
Londres Résumé :
Fricker et
Dottie son
amante depuis 31
ans, le
mauvais état de
santé de cette
dernière a forcé
sa petite-fille
à l'inciter
d'entrer dans
une maison de
soins. Lorsque
Dottie est prise
en charge par
Stella, elles
décident de fuir
pour le Canada
où le mariage
des lesbiennes
est légal, mais
les policiers
sont çà leur
trousses..
Fitzgerald a
déclaré
(...)"Pour moi,
la BFI est plus
qu'un trésor
national, c'est
une icône
culturel
d'importance
dans le monde
entier. Il
représente le
meilleur dans la
projection de
films et de la
préservation. Je
suis
profondément
reconnaissant de
ses programmes.
"
L'organisatrice
du Festival Emma
Smart précise
«C'est un film
d'ouverture
courageux et
très drôle pour
une
très belle nuit
La chimie de
l'écran entre
Dukakis et
Fricker est
crépitante et
leur relation
extrêmement
touchante et
crédible.
"C'est
formidable de
voir des femmes
plus âgées
dépeint avec
esprit et la
profondeur."
>>>
CINEMALESBIEN
"Des
seniors en
colocation"
manuel de survie
de Christiane
Baumelle
Les éditions TLP
viennent de
publier « Des
seniors en
colocation » de
Christiane
Baumelle. Un
petit guide en
forme de «
manuel de survie
» pour réussir
votre colocation
entre seniors.
Un ouvrage
rédigé par une
spécialiste de
la question,
puisque
Christiane
Baumelle est à
l’origine du
concept Cocon3S,
qui vise à
favoriser la
colocation
solidaire entre
retraités.
Pour vivre vieux
et heureux,
vivons ensemble
! La colocation
offre une
alternative
séduisante pour
de nombreux
seniors
aujourd’hui.
En effet, 68%
des Français
estiment que la
prise en charge
des personnes
âgées est
insuffisante et
49 % d’entre eux
ont une mauvaise
opinion des
maisons de
retraite. La
colocation
permet de faire
des économies
importantes, de
partager les
tâches
ménagères,
d’avoir une vie
sociale plus
animée, de
s’assurer une
certaine
sécurité. Ce
guide donne des
conseils, des
pistes de
réflexion, des
modèles types de
« règlement
intérieur » pour
une colocation
sereine et pour
vivre heureux à
plusieurs. Comment
choisir ses
colocataires,
sur quels
critères ?
Comment vivre
ensemble alors
qu’aucun lien
affectif
n’existe ? Quel
type de maison
choisir ?
Comment se
donner des
règles de vie en
commun... "
EXTRAIT : ÊTRE
DES SENIORS
SOLIDAIRES
www.senioractu.com/Des-seniors-en-colocation-de-Christiane-Baumelle-manuel-de-survie-livre_a14597.html?preaction=nl&id=7004739&idnl=106064&
L’auteur :
Christiane
Baumelle
(photo) a
créé
l’association la
TRAME
(prévention des
risques
individuels liés
à la solitude)
après la
canicule de
2003. Elle a en
outre développé
le dispositif
des « Cocon3S »,
colocation
solidaire de
seniors dans de
grandes maisons
partout en
France.
www.psychanalyse-en-ligne.org/annuaire/Christiane-BAUMELLE-438.html
Gay, la maison de retraite! Source notretemps.com - Blog de Geneviève Jurgensen 09/01/2012 Federico Armenteros (photo) a convaincu la mairie de Rivas-Vaciamadrid, une cité-dortoir proche de Madrid: un terrain a été mis à la disposition de son association pour y bâtir une maison de retraite.
Le projet? "Un lieu de vie où nul n'aura à cacher son orientation sexuelle".
Armeteros remarque en effet que les homosexuels vieillissants ne trouvent pas bon accueil dans les maisons de retraite. Cette génération a grandi dans l'idée que l'homosexualité était un vice, et a été persécutée sous le général Franco.
En 1978, trois ans après la mort de Franco, les homosexuels ont enfin été retirés de la liste des personnes jugées "socialement dangereuses". Mais pas des esprits, du moins pour les seniors.
Le projet verra le jour si 120 personnes sont réunies pour former une coopérative capable de donner des assurances à une banque. Le prix du séjour sera fixé à 1000€ par mois (le prix moyen en Espagne est de 1400 €, et de 2200 € en France). Naturellement, les femmes et hommes non homos pourront s'inscrire, du moment qu'ils adoptent la philosophie du lieu.
Ce concept, déjà bien développé aux Etats-Unis ("on ne veut pas retourner au placard en vieillissant, on a eu assez de mal à en sortir", insistent, là-bas, les associations gay), est inconnu en Europe. "Notre ville a l'esprit de tolérance, a déclaré le maire de Rivas-Vaciamadrid. Nous avons proposé le terrain à des gens qui défendaient un projet social, et c'est celui-là qui nous a semblé le meilleur." http://genevievejurgensen.blog50.com/archive/2012/01/09/gay-la-maison-de-retraite.html
Federico Armenteros, président de la Fondation Décembre 26, montre le projet «résidentiel XXVI de Décembre" pour les personnes âgées lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres.. article complet http://tuzonaes.com/2011/09/16/federico-armenteros-...
- "Les personnes gays et lesbiennes ont eu une vie difficile. Nous avons été opprimés dans les années Franco et de nombreuses personnes ont été arrêtées. Il a fallu des années pour nous de gagner nos droits", at-il dit. "Nous refusons de revenir à cette atmosphère quand nous nous retirons."
Si tout va bien, at-il ajouté, la résidence sera opérationnel d'ici 2014. L'ONG voit Rivas-Vaciamadrid que qu'une première étape.
«Si cela fonctionne, nous allons commencer à regarder d'autres endroits», at-il dit. "Benidorm est un choix possible, comme Sitges - qui est une station balnéaire populaire gay." Article complet en VO www.guardian.co.uk/world/2012/jan/02/spains-first-gay-retirement-home
MAISONS DE
RETRAITE: LES
HOMOS
DÉBARQUENT!
Source 360.ch
25/11/2011
La première
génération de
gays et de
lesbiennes qui a
osé faire son
coming out
arrive à
l'automne de sa
vie. Enquête sur
les
préoccupations
de ces retraités
qui peinent à se
faire
entendre.(...)
Comme tout le
monde, ils
espèrent entrer
en EMS le plus
tard possible.
Mais eux
craignent cette
transition
encore plus que
les
hétérosexuels.
«On n'a pas eu
d'enfants et les
liens avec notre
famille sont
souvent
compliqués. Nous
sommes seuls, et
donc à la merci
de n'importe
qui!» lance l'un
d'entre eux,
approuvé par les
autres. Ils sont
d'autant plus
vulnérables
qu'en Suisse, il
n'existe aucune
loi contre
l'homophobie et
que «les
aides-soignants
viennent parfois
de pays où
l'homosexualité
est très mal
vue», souligne
un des «Tamalou».
LE RETOUR AU
PLACARD? A leur
entrée en EMS,
les homosexuels
ont le choix
entre afficher
leurs
préférences et
risquer la
méfiance voire
l'hostilité, ou
se taire. Coming
out ou placard,
les avis sont
partagés.
Certains en ont
assez de devoir
«dire qu'on est
gay pour tout et
n'importe quoi.
On ne va quand
même pas faire
notre coming out
tous les jours!»
Pour d'autres au
contraire, se
taire serait
frustrant, alors
qu'ils ont
milité toute
leur vie.
«D'accord, on
est une
minorité, on
doit s'adapter,
mais après tout
ce qu'on a vécu,
c'est quand même
la meilleure de
vouloir se
fondre dans le
paysage!»,
souligne l'un
d'eux. La
situation n'est
pas plus rose
pour les femmes.
«Je parie
qu'aucun
directeur d'EMS
ne vous dira
qu'il accueille
des lesbiennes»,
raconte Eliane
Blanc, qui a
longtemps
milité. En
effet, lors de
la bonne dizaine
de téléphones
effectués dans
des
établissements
médicaux-sociaux
de Suisse
romande,
personne n'a
indiqué avoir
des patients
gays, et la
question a
offusqué plus
d'un responsable
d'établissement.
«J'ai
soixante-six ans
et la plupart
des femmes de
mon âge ont vécu
dans le silence
toute leur vie.
Ce n'est pas en
maison de
retraite
qu'elles feront
leur coming
out!», souligne
Eliane Blanc....
L'article
complet
http://360.ch/blog/magazine/2011/11/maisons-de-retraite-les-homos-debarquent/
Lily
Vogel, 82 ans -
«Alors Madame,
que faisait
votre mari?»
Lorsqu'à 25 ans,
Lily Vogel
entame sa vie
amoureuse, une
chape de plomb
pèse sur les
relations
homosexuelles.
«A l'époque,
j'avais des
amies lesbiennes
mais personne ne
parlait de rien.
Il fallait être
très discrète.»
Au travail, elle
n'en parle
jamais. «J'ai
récemment appris
que depuis
quarante-cinq
ans, certains
savent que je
suis lesbienne
mais ne me l'ont
jamais dit!»,
sourit-elle.
Elle fait
«toujours face à
tout», travaille
en librairie
puis ouvre un
bar lesbien à
Genève. «Je ne
pouvais pas
exclure les
hommes car la
loi
l'interdisait,
mais ils
n'étaient pas
bien servis, je
peux vous
l'assurer»,
raconte-t-elle.
Militante
jusqu'au bout
des ongles, elle
reste très
active dans le
milieu lesbien
jusqu'à ce qu'un
cancer la force
à ralentir le
rythme.
Lily Vogel a
alors septante
ans, et aucune
envie de tout
lâcher. «Cela ne
fait que cinq ou
six mois que je
ne sors plus»,
dit-elle, et
elle voit peu
d'amies
lesbiennes de
son âge. «Quand
elles sont en
couple, les
femmes ne
mettent
généralement
plus le nez
dehors. C'est
peut-être la
raison pour
laquelle j'en
vois si peu.» Et
puis, beaucoup
de ses amies
sont décédées.
«C'est une
grande
souffrance de
voir mourir
celles qui nous
ont accompagnées
toute notre
vie», dit-elle,
le regard grave.
Elle qui s'est
tellement battue
ne voit pas très
bien pourquoi le
fait d'être
lesbienne
devrait lui
poser problème
maintenant. «Je
suis moi, je ne
me cache pas,
mais je ne
comprends pas
pourquoi je
devrais annoncer
mes préférences
partout où je
vais!»,
lance-t-elle. Ce
qui l'ennuie en
revanche, ce
sont les
bavardages entre
voisines. «On me
demande: alors
madame Vogel,
votre mari est
mort? Qu'est-ce
qu'il faisait?
Et vos enfants?
Je ne dis pas
souvent toute la
vérité. Refaire
mon coming out
en permanence,
ça m'ennuie.»
Tout ce problème
d'âge et
d'homosexualité
ne semble
finalement pas
trop la toucher.
Ce qui la
préoccupe, en
revanche, c'est
de mourir après
Nicotine, la
petite chienne
de sa compagne
décédée depuis
peu. «Je
n'aimerais pas
la laisser
seule.»
Italie:
Quand la
discrimination va
jusqu'à la tombe
Source tetu.com
08/11/2010
Un règlement basé
sur une loi vétuste
empêche les couples
gays, lesbiens et
hétéros non mariés
d’être enterrés côte
à côte dans les
cimetières de
Lombardie. La presse
et les politiques
locaux s’emparent de
la
polémique.L’affaire
est née dans la
petite ville de
Castellanza, une
localité de 14 000
âmes, dans les
environs de Milan.
Massimo d’Agostino,
un habitant,
interpelle le
journal local pour
dénoncer un
règlement qui lui
interdit d’être
enterré à côté de
son compagnon dans
le cimetière de la
commune, où de
nouvelles
concessions viennent
d’être mises en
vente.
Une fois
l’information
vérifiée et relayée,
les pouvoirs publics
sont interpellés. Et
l’affaire se corse.
Le règlement en
question est en fait
rattaché à une
ancienne loi
régionale, donc
valable pour tous
les cimetières de la
Lombardie.... "
Suite de l'article
complet
www.tetu.com/actualites/international/italie-quand-la-discrimination-va-jusqua-la-tombe-20469
L'isolement des ainés Gays irlandais Source SheWired/Advocate05/11/2011
En Irlande une nouvelle étude montre que un tiers des personnes âgées gaies évite de le dire à leur famille et amis de peur du rejet, et qu'elles vivent souvent dans l'isolement.La "Visible Lives" étude - la première grande enquête sur les homosexuels de plus de 55 en Irlande - a réuni ses données à partir d'entretiens avec +144 personnes. Parmi les résultats les plus visibles ... beaucoup ont le sentiment qu'ils sont incapables de vivre ouvertement dans la société... et que «tandis que 28% ne sont pas du tout à l'aise avec leur identité"
"Cependant, ce rapport montrent aussi la résilience de nombreux gays qui ont surmonté l'adversité et développé acceptation de leurs relations avec la famille, amis et collègues."Les données nous éclairent aussi sur le thème de l'isolement. Environ 46% des aînés homosexuels vivent seuls, comparativement à 15% des aînés dans la population générale.Catherine Rose est directeur général de Age and Opportunity - organisme qui a financé l'étude - Article complet www.shewired.com/lifestyle/2011/11/05/elder-gays-isolated-and-not-out-according-new-study-ireland
Canada
- Le Québec
publie une
charte de
bientraitance
pour homosexuels
âgés
Source
AFP/ E-llico.com
09/08/2011 Une "charte de bientraitance"
destinée à
rendre la vie
plus facile aux
personnes âgées
homosexuelles et
transsexuelles,
élaborée avec le
soutien du
gouvernement du
Québec, a été
rendue publique
mardi à
Montréal.
"Une première
génération de
personnes
ouvertement
homosexuelles
arrive au
troisième âge et
elle ne souhaite
pas retourner
dans le
placard", a
déclaré le
président de la
Fondation
Emergence,
Laurent McCutcheon, à
l'origine de
l'initiative.
Le document a
été élaboré dans
le cadre du
programme "Pour
que vieillir
soit gai" de
cette fondation,
avec une
subvention de
400.000 dollars
canadiens
(autant de
dollars
américains) du
ministère
québécois de la
Famille et des
Aînés. Ce
programme, a dit
Laurent
McCutcheon, est
destiné à
"soutenir les
personnes qui
côtoient les
aînés dans leur
désir de respect
des différences
et à leur donner
des outils
favorisant
l'inclusion de
tous,
indépendamment
de l'orientation
sexuelle ou de
l'identité de
genre".
La charte doit
"sensibiliser et
informer" les
personnes
travaillant avec
aînés,
infirmiers et
employés des
maisons de
retraite en
premier lieu.Un
syndicat
d'infirmiers, la
Fédération
interprofessionnelle
de la santé du
Québec, a
d'ailleurs
adhéré
officiellement à
ses principes.
La
charte a été
lancée au début
de la semaine de
Fierté Gaie de
Montréal qui
doit culminer
avec le
traditionnel
défilé
dimanche."
VANCOUVER
-Le BOLD Fest,
Conférence annuelle
des Lesbiennes plus
âgées... Le BOLD Fest
accueille + de 180
Femmes / partout au
Canada et aux
États-Unis chaque
année à l'Hôtel
Coast Plaza, situé
dans le centre du
quartier Gay de
Vancouver, à côté de
baie des Anglais et
duparc Stanley.
-
" Nous célébrons
notre âge (s), notre
orientation
sexuelle. D'un large
choix de
présentatrices
diversifiées et
talentueuses, nous
apprenons de
nouvelles
compétences, de
nouvelles façons de
voir les choses,
nous sommes
divertis, nous
divertir, nous
rions, rencontrer
des amis anciens et
nouveaux, et surtout
..... nous sommes en
compagnie de
lesbiennes de tous
âges pour un
week-end mémorable
qui nous soutient
dans l'année! Nous
espérons que
beaucoup d'autres
pourront profiter
BOLDFest dans les
années à venir... "
Rens.:
soundsfuries@shaw.ca
-Site :www.soundsandfuries.com/BOLD.html
-
Le
Centre
LGBT
Paris
IdF
-"Vieillir
LGBT-Mardi
31 mai
2011
de 19h à
20h30...
Paris-RP
"La
Résidence" Excellent TV FILM à REVOIR... pour le magnifique Tango
Lesbien entre Marthe Keller et Nicole Calfan
/FR3.CINEMALESBIEN
AVIS
!
Le Sénat rétablit en commission
l'inscription du pacsé dans
l'acte de décès
.................................................................................................................................................................................
retour
INFO
: Conjoints /PaCsés... En cas de
décès d’un proche comment
bénéficier du capital décès ?
La Sécurité Sociale verse
uniquement aux ayants-droits,
à leur demande,
un capital égal aux trois
derniers salaires mensuels
plafonnés de l'assuré décédé...
Conditions d'attribution du
capital décès :
Source CPAM - ameli.fr mis à
jour le 1 janvier 2011
Le droit
au capital décès est ouvert si
le défunt était dans l'une des
situations suivantes durant les
trois mois précédant son décès :
- Il exerçait une activité
salariée.
- Il percevait une indemnisation
par Pôle emploi.
- Il était titulaire d'une
pension d'invalidité ou d'une
rente d'accident du travail ou
de maladie professionnelle
correspondant à une incapacité
physique permanente d'au moins
66,66 %.
Il était en situation de
maintien de droits.
-Le chômeur indemnisé bénéficie
du maintien de droit à
l'assurance décès pendant toute
la durée de son indemnisation et
les 12 mois suivants.
BENEFICIAIRES :
Le capital
décès est versé au conjoint
ou au partenaire lié par un
pacte civil de solidarité (PACS)....aux
enfants, ascendants (parents,
grands-parents)...."
DELAIS : "Vous disposez d'un
délai d'1 mois
à compter de la date du décès
pour faire valoir votre droit de
priorité. Passé ce délai, vous
perdez votre droit de priorité
mais vous bénéficiez toujours
d'un
délai de 2 ans
à compter de la date du décès
pour formuler votre demande de
capital décès, au même titre que
les bénéficiaires non
prioritaires."...
LES
OEUFS DE
L'UMP Assemblée
nationale
- L'UMP
supprime
l'inscription
du
partenaire
pacsé
dans
l'acte
de décès
Les
députés
ont
supprimé
mercredi
en
commission
l'inscription
dans
l'acte
de décès
d'une
personne,
du nom
de son
partenaire
de PaCS,
par un
amendement
du
rapporteur
UMP
Etienne
Blanc.
Source
E-llico.com19/01/2011
Les
sénateurs
votent
l'inscription
du
partenaire
dans
l'acte
de décès
Ce
camouflet
anti-pacs
est
intervenu
dans le
cadre de
l'examen
de la
proposition
de loi
de
simplification
du
droit.
L'inscription
dans
l'acte
de décès
d'une
personne,
du nom
de son
partenaire
de PaCS
avait
été
introduite
au Sénat
par
Alima
Boumediene-Thiery
(Europe
Ecologie-Les
Verts)
et
adoptée
contre
l'avis
du
gouvernement
à la
mi-décembret.
Il
s'agissait,
pour
EELV,
d'apporter
"une
sécurisation
des
droits
du
partenaire
survivant"
et de
"la
possibilité
pour lui
de
bénéficier
de
certains
droits"
dont "la
jouissance
gratuite
du
logement
du
défunt
durant
une
année ou
l'attribution
préférentielle
de la
propriété
du
logement".
Cette
inscription
pouvait
également
aider le
partenaire
survivant
pour
l'organisation
des
funérailles.
Le
gouvernement
a
profité
du
passage
du texte
à
l'Assemblée
pour
revenir
sur la
mesure
votée au
Sénat.
Un
amendement
du
rapporteur
UMP
Etienne
Blanc a
repris
l'argumentaire
développé
alors
par le
ministre
de la
Justice,
Michel
Mercier,
à savoir
que la
mention
du
conjoint
survivant
était
"justifiée
par la
vocation
successorale
de
celui-ci".
+En
septembre
dernier,
des
millitants
d’Act
Up-Paris
avaient
zappé le
siège
parisien
de l’UMP
afin de
dénoncer
la
condition
dans
laquelle
sont
tenus
les
homosexuels
en ce
qui
concerne
les
droits
du
conjoint
survivant
en cas
de
décès. Deux
cas
récents
de veufs
homosexuels
évincés
de
l’organisation
des
funérailles
de leur
compagnon
ont mis
en
lumière
des
failles
juridiques
discriminatoires
envers
les
homosexuels.En
effet,
ni le
PaCS ni
l’union
libre -
seuls
modes
d'union
ouverts
au
couples
de même
sexe -
n'ouvraient
jusqu'ici
de droit
en la
matière."
(voir
plus basLes
funérailles et le couple de
même sexe
Nous on préfère
"sensibiliser le
candidat"...
Les gays français
cherchent des
maisons de retraites
friendly
Source tetu.com
04/01/2011
C'est un problème
qui va forcément
devenir de plus en
plus pressant: le
manque de maisons de
retraites
sensibilisées à la
clientèle gay et
lesbienne.Les
homosexuels français
ont beau frapper à
toutes les portes,
ils sont toujours
à la recherche de la
première maison de
retraite «gay
friendly» en France,
comme il en existe
beaucoup aux
Etats-Unis, ainsi
qu'en Allemagne, aux
Pays-Bas ou en
Belgique. «La
génération des
personnes
homosexuelles
arrivant à l'âge de
la retraite est la
première qui a pu
vivre, durant sa vie
active, son
homosexualité de
façon ouverte et
elle n'entend pas
changer d'attitude
en arrêtant de
travailler»,
argumente Philippe
Coupé, président de
l'association
l'Autre cercle
Ile-de-France.
2 millions de
retraités LGBT dans
10 ans.
Dans dix ans, la
France comptera 20
millions de
retraités, parmi
lesquels 8 à 9%
d'homosexuels, soit
entre 1,5 à 2
millions de
personnes, selon des
estimations de
l'Inter-LGBT. Il
existe environ
10.000 maisons de
retraite dans
l'Hexagone. «Personne n'a
pris en compte en
France cette
problématique
retraite», souligne
M. Coupé, notant
la différence avec
le secteur du
tourisme qui avait
par exemple réservé
un espace gay et
lesbien lors du
Mondial du tourisme
(MAP) à Paris en
mars dernier.(...)
«On ne souhaite pas
des maisons de
retraites réservés
uniquement à la
communauté gay,
comme cela existe en
Amérique – bien que
nous ne soyons pas
opposés à ce concept
- mais on souhaite
une sensibilisation
des personnels au
fait que des
personnes du même
sexe partagent la
même chambre, qu'il
soient sensibilisés
aux problèmes de
santé touchant
notamment les gays,
comme le sida»,
poursuit ce
responsable.
Le porte-parole de
l'Inter LGBT (qui
regroupe 60
associations),
Nicolas Gougain,
entend «sensibiliser
les candidats sur ce
problème lors des
prochaines élections
cantonales». «Les
conseils généraux
gèrent des maisons
de retraites, il
faut sensibiliser
les élus au
problème de
l'égalité réelle qui
doit se penser
pendant toutes les
périodes de la vie»,
dit-il....
Article complet
www.tetu.com/actualites/france/les-gays-francais-cherchent-des-maisons-de-retraites-friendly-18559
Alors
? On
fait pareil
ou quoi?!
Quand les seniors
(hétéros)
se lancent dans l'aventure de la
colocation...
Source partage-senior Pour éviter la solitude, pour
arriver à boucler les fins de
mois ou pour profiter d'une
grande maison, les seniors se
lancent peu à peu dans la
colocation. Un mode de vie qui
pourrait bien devenir un
phénomène de société au regard
de la démographie....
d'ici la fin du mois de juin,
ils seront six. Six retraités à
vivre à Sallèles-d'Aude dans une
belle et grande maison
vigneronne de plus de 300 m 2 ,
avec piscine, parc, potager,
source...
Bref, un petit coin de paradis
que Jeanne, Sylvie et Francis
occupent depuis le 10 janvier.
Et depuis cette date, ils
reçoivent régulièrement des
visiteurs : des colocataires
potentiels mais aussi des
personnes qui voudraient créer
une colocation et qui viennent
se renseigner et voir comment ça
se passe au quotidien. Pas
évident en effet de se lancer
dans ce mode de vie : il faut
trouver un lieu, un propriétaire
d'accord avec le principe et des
personnes avec qui on se sent de
vivre. C'est Sylvie qui a
découvert la maison de Sallèles
sur internet. " J'ai commencé à
contacter les personnes qui
étaient intéressées. Le
propriétaire a été réceptif à
notre projet. Il y a eu une
sympathie réciproque. Ca a été
une rencontre efficace",
explique Sylvie en souriant. Une association a été créée :
l'Agecosa (association de
gestion des colocataires de
Sallèles-d'Aude).
Et c'est à
cette association que le
propriétaire loue la maison.
La structure établit ensuite des
contrats de sous-location à
chaque habitant. Voir leur histoire sur le
site de leur association ...
http://agecosa.hautetfort.com/index-7.html Mais alors comment se passe
la vie au quotidien dans cette
maison ? "Tout n'est pas
idyllique. Il peut y avoir des
petits problèmes de
cohabitation", poursuit Sylvie.
Jeanne avoue qu'au début "j'ai
eu beaucoup de mal. J'ai un
caractère de cochon", dit-elle
non sans humour. Un règlement
existe donc et il est revu au
fur et à mesure des expériences.
Pour les repas, le ménage, les
courses : c'est en commun. Il
existe un porte-monnaie que tout
le monde approvisionne pour
l'épicerie et les produits
d'entretien. Et puis après,
chacun à tour de rôle, selon
l'envie, se met derrière les
fourneaux. Le prix du repas est
partagé par ceux qui l'ont
consommé. Et si chacun garde des
activités en solo, Sylvie fait
du dessin, Jeanne lit des contes
à la bibliothèque, il y a aussi
beaucoup de moments passés en
groupe. Sylvie et Francis
s'occupent du potager ensemble.
Sylvie et Jeanne font partie
d'une association de "femmes
internationales". Et ce
week-end, les trois colocataires
iront voir une pièce de théâtre.
Francis avoue : "j'y serais pas
allé seul". La colocation est
donc un rempart contre la
solitude mais aussi un gage
d'autonomie. Dans cette maison,
les colocataires ont entre 55 et
80 ans. Et ce n'est pas un
hasard. "On voulait avoir un
panel d'âges. Si une personne ne
peut plus conduire, ça
représente un handicap. Mais
ici, il y aura toujours
quelqu'un", explique Sylvie, qui
regrette qu'"il n'y ait pas plus
d'encadrements des pouvoirs
publics". Les colocataires ont
en effet eu du mal à s'assurer
et à obtenir les aides aux
logements. "Les pouvoirs publics
auraient tout intérêt à
promouvoir ce mode de vie qui
coûte beaucoup moins cher à la
collectivité (grâce au maintien
à domicile) et qui propose un
lieu de vie mieux qu'une maison
de retraite", conclut Sylvie."
Dossier réalisé par Fanny Dupuis
/lindependant
Les
funérailles et le couple de même sexe...
Suite au
décès
récent
d'un
homosexuel
vivant
en
couple,
Act-Up
est en
colère
face à
la
triple
peine
des gays
non
reconnus
dans le
deuil,
non
reconnus
comme
veufs,
voir
interdits
de soins
de
conservation...
voir la
suite de
l'article
citegay.com
"...
Thomas
tente de
faire
valoir
ses
droits
après le
décès de
son
partenaire
de pacs.
Act
Up-Paris
a
récemment
publié
un
communiqué
sur uneautre
affaire
comparable
(sur
laquelle
nous
reviendrons
très
bientôt
sur Yagg).
Pour y
voir
plus
clair,
nous
avons
une
nouvelle
fois
sollicité
le
juriste
Daniel Borrillo
(photo)
afin
qu’il
apporte
des
précisions
sur la
place du
partenaire
de même
sexe
dans
l’organisation
des
funérailles....
QUI A
QUALITÉ
POUR
POURVOIR
AUX
FUNÉRAILLES?
La
personne
ayant
qualité
pour
pourvoir
aux
funérailles
d’un
défunt
peut
s’entendre
de toute
personne
se
chargeant
de ce
soin en
l’absence
d’opposition
d’un
tiers
plus
qualifié.
En cas
de
conflit,
c’est la
Justice
qui
décide.
Le
critère
de
détermination
demeurant
la
volonté
présumée
du mort,
il
appartient
au juge
de
déterminer
souverainement
quels
sont,
parmi
les
proches
du
défunt,
celui ou
ceux que
leurs
rapports
privilégiés
d’intimité
avec lui
permettent
de
reconnaître
comme
les
interprètes
les plus
qualifiés
de sa
volonté
probable.
Source
Yagg 12/08/2010
C’est
pourquoi
il est
important
de
rédiger
de son
vivant
un
document
indiquant
clairement
le nom
de la
personne
qui peut
décider
des
funérailles.
En
l’absence
d’un tel
document,
d’autres
moyens
de
preuve
peuvent
entrer
en jeu,
tel le
témoignage
des
proches
du
défunt.
La prise
en
charge
des
frais
funéraires
peut
également
constituer
un
élément
important
à
l’heure
de
résoudre
un
conflit.
En tout
cas, les
obsèques
doivent
répondre
à la
volonté
de la
personne
défunte.
Il est
important
aussi
que la
loi
permette
l’inscription
du nom
du
partenaire
pacsé
dans les
actes de
décès
(ce qui
n’est
pas le
cas en
droit
français)
afin que
le
survivant
ait la
qualité
requise
par la
loi de
manière
incontestable.
(...)
- " Les conflits auxquels sont confrontés
les couples de même sexe pacsés ou concubins
mettent en lumière
la précarité juridique
de ce type d’unions.
Il suffit qu’un juge considère
qu’un parent ou un frère est plus apte à
décider des funérailles
pour que le compagnon de même sexe soit évincé.
Afin d’éviter tout forme de discrimination en matière de funérailles,il est urgent d’octroyer aux couples de même sexe les mêmes droits qu’aux couples mariés."
Daniel
BORILLOL'Allemagne
instaure
l'égalité
des
Droits
de
Successions
80
Egunean
(dans 80 jours)
une histoire d'amour et d'amitié
entre deux femmes
âgées
Le film
"Dans 80 jours",
réalisé par Jon et Jose Mari
Goenaga Garaño raconte l'histoire
de l'amour et l'amitié de deux amies d'enfance qui se retrouvent
après des années cinquante ans
quand s'occuper de leurs familles dans un hôpital.
avec
Meredith
Aizpuru,
Mariasun
Pagoaga
et Juan
Ramón
Argoitia(+
sous-titres
en
castillan).
SYNOPSIS
:" Asun
(Itziar
Aizpuru)
retrouve
son amie
d'enfance
Maite (Mariasun
Pagoaga),
après 50
ans
dans la
salle
d'un
hôpital.
Ensemble
elles
s'amuseront
et
profiteront
de ces
retrouvailles
jusqu'à
ce que
Maite
Asun
découvre
qu'elle
est
lesbienne."
L'intention
du film
est de
ne pas
dramatiser,
mais que
le
public
comprenne
une
histoire
simple .
Il
s'agit
d'éviter
certains
sujets
pour que
la
relation
entre
ces deux
femmes
reste
non-forcée
et sans
ridicule.
Au-delà
de l'âge
de ses
protagonistes,
"en 80
jours"
est une
histoire
de deux
personnes
qui font
face à
la
crainte
de la
réalisation
d'un
désir.
Nous
avons
essayé
de
mettre
l'accent
sur
l'universel,
afin que
tout
spectateur
puissese
reconnaître
en
elles.
Montrer
deux
vieilles
dames se
comportant
comme
des
adolescentes
c'est
montrer
que «à
bien des
égards,
que
vieillir
ne nous
rend pas
plus
sage,
ni nous
garde de
retomber
dans les
mêmes
ornières,
encore
et
encore"
BANDE
ANNONCE
(VO
espagne)
Un
couple
lesbien fête
son 70e
anniversaire
!
Source
PinkNews.co.uk
-
21/07/2009
Caroline
Leto, 96
ans et
Venera
Magazzù,
97 ans,
vivant à
Dania
Beach en
Floride
,
célébreront
leur 70
années
de vie
commune
le 17
août
2009.
Dans une
interview
au South
Florida
Sun-Sentinel,
elles
ont
décrit
comment
elles
avaient
gardé
leur
relation
secrète
pendant
de
nombreuses
années.
-"Nous
ne
pouvions
pas dire
à tout
le monde
nous
avons
été
amantes",
a
déclaré
Leto.
"Nous
précisions
aux gens
que nous
sommes
des
amies,
et
certains
croyaient
même que
nous
étions
soeurs."
Elles se
sont
rencontrées
en 1939
lors
d'une
fête, et
vécu
ensemble
à New
York un
an plus
tard, en
n'informant
que la
famille
proche
et d'une
poignée
d'amis à
propos
de leur
vraie
relation
amoureuse.
Elles se
sont
enregistrées
en tant
que
partenaires
officielles
à New
York en
1996 et
ensuite
en
Floride,
où elles
ont été
en
mesure
de
s'impliquer
dans la
communauté
gaie et
lesbienne.
Une
grande
fête est
prévue
par le
groupe
local
gay Etz
Chaim
à la
date de
leur
anniversaire.
www.pinknews.co.uk/news/articles/2005-13354.html
...................................................................................................................................................................................
retour
Les gai(e)s retraité(e)s à Paris
tous les lundis
Les gai(e)s retraité(e)s vous donnent rendez-vous le lundi de 15h00 à 18h30 au Centre Gay et Lesbien de Paris, rue Keller. Vous pouvez venir vous amuser autour des jeux de société (belote, tarot), bavarder, tricoter, faire connaissance, bref se retrouver entre seniors.
Info: appelez Abel au 06 80 94 63 34 ou Jean-Claude au 06 80 53 57 87.
...................................................................................................................................................................................
retour
Belgique-
Bientôt une maison de retraite
gay
Source
antony Blog
29
août 2008
(Après
l'Allemagne et lesPays-Bas)
C'est
au tour de la Belgique de penser
aux seniors homos. Une nouvelle
maison de retraite gay friendly
ouvrira ses portes à Schoten.
Johanna se situera dans un
environnement verdoyant, déjà
bien connu des homos belges.
L'établissement proposera un
grand niveau de confort, et une
brasserie attenante permettra
aux résidents et à leurs
visiteurs de manger à la carte.
Le futur directeur précise que
les hétéros seront aussi les
bienvenus "à condition d'être
ouvert d'esprit". Et ce afin que
tous puissent vivre une
vieillesse sans tabou.
www.lairedantony.over-blog.com/article-11526186.html
Allemagne -La
première maison de
retraite gay et
lesbienne d'Europe
ouvre à Berlin Le
Village accueillera,
à terme, vingt-huit
personnes âgées qui
pourront évoquer
leur homosexualité
sans tabou.
Pour la
première fois en
Europe, une maison
de retraite dédiée
aux gays et aux
lesbiennes ouvre ses
portes demain,
vendredi 18 janvier,
au nord de Berlin.
Le Village, du
nom de l'association
qui s'est battue
pendant trois ans
pour sa création,
dispose d'un étage
de vingt-huit lits
au sein de la Maison
Asta-Nielsen, qui
héberge déjà des
personnes âgées
depuis août 2006,
ainsi que
d'équipements
modernes de soin.
Les pensionnaires
comme le personnel y
seront tous homos ou
gay-friendly, pour
permettre aux
personnes âgées de
cultiver des amitiés
et d'évoquer leurs
souvenirs sans
tabou. Cinq chambres
doubles permettront
même d'y vivre avec
sa compagne ou son
compagnon. "Notre
idée était de
proposer une autre
vie aux personnes
âgées
homosexuelles",
explique le
responsable du
projet, Christian
Hamm. Il souhaite
désormais ouvrir une
résidence avec des
appartements
privatifs où les
personnes âgées
pourront recevoir
des soins"
source tetu.com
07/01/ 2008
"Touche étoile" Benoite Groult
Un Cyber centre LGBT pour les "surfeurs d'argent" ouvre à New York "Sage" le plus vieux du monde et le plus grand organisme à but non lucratif dédiée au service et la défense LGBT pour les personnes âgées, a ouvert un Cyber Centre entièrement équipée dans leurs bureaux à New York.
"C'est un rêve rêve pour SAGE pendant des années parce que nous savons que les ordinateurs et l'Internet sont un excellent moyen pour les personnes âgées de rester en contact les uns des autres et aveccla communauté, et c'est ce que SAGE est surtout», a déclaré le directeur général Michael Adams. Cyber SAGE Centre offre dix semaines de cours par les aînés Technology Services (EAE) d'enseignement utilisateurs à maîtriser l' informatique de base et l'utilisation de l'Internet.
Les cours ont commencé au début de cette année en collaboration intergénérationnelle entre SAGE, OATS, et la communauté LGBT du Centre jeunesse programme de services d'enrichissement. Les jeunes ont agi comme assistants d'enseignement pratique pour les personnes âgées à travers la classe. La première classe a été diplômée en avril 2008" article en VO www.pinknews.co.uk/news/articles/2005-8522.html
Le prince de Rajpipla veut ouvrir une maison de retraite pour homos Source tetu.com 19/06/2008
Le prince Mavendra Singh Gohil (photo), premier membre ouvertement gay d'une dynastie royale indienne , prévoit de fonder une maison de retraite pour homosexuels à Rajpipla, sa ville d'origine dans l'État du Gujarat. Mavendra, qui dit avoir trouvé une seconde famille dans la communauté gay, souhaite que les homosexuels, souvent désavoués par leur entourage, bénéficient d'une fin de vie heureuse. La structure devrait accueillir cinquante pensionnaires dans un premier temps.
Mais, si les bonnes intentions du prince activiste ne font pas de doute, ses déclarations renforcent parfois les clichés. Ainsi les membres du personnel seraient eux-mêmes gays car «les hommes de cette orientation sexuelle ont une tendance naturelle à prendre soin des autres», a-t-il affirmé.
Espagne
-
Lesbiennes
et gays
mobilisés
contre
l'exclusion
des
homos
âgés
Source
tetu.com
27/06/2008
Alors
que ce
week-end
débutent
les
journées
de
l'orgueil
gay (El
Orgullo
gay),
notamment
à
Barcelone
demain,
la
fédération
nationale
des
gays,
des
lesbiennes
et des
transsexuels
d'Espagne
présente
une
étude
réalisée
par
Beatriz
Gimeno,
intitulé
«Vieillesse
et
orientation
sexuelle».
Cette
étude
met
l'accent
sur les
difficultés
que
rencontrent
les
homos
âgés:
«On peut
parler
d'un
syndrome
spécifique
à la
culture
homo,
explique
Beatriz
Gimeno
dans une
interview
accordée
à
l'agence
de
presse
espagnole
EFE, il
est
courant
qu'un
hétérosexuel
dise
qu'il
est
jeune à
40 ans,
alors
qu'un
gay du
même âge
se
sentira
vieux.
Les
progrès
politiques,
la lutte
du
mouvement
lgbt ces
dernières
années a
permis
l'acceptation
d'un gay
ou d'une
lesbienne
jeune
mais pas
celle
des
vieux.»
Beatriz
Gimeno
explique
que les
questions
posées
par
l'orientation
sexuelle
ne sont
pas
rendues
caduques
avec le
temps et
fait
part de
sa
préoccupation
à
l'égard
d'une
population
de
personnes
plus
âgées,
le plus
souvent
sans
descendance,
en
rupture
familiale
et qui
affronte,
en
outre,
une
homophobie
générationnelle.
.....................................................................................................................................................................................
retour
Gays et lesbiennes
âgés: Une génération
à bichonner
Source 360.ch -
article Nadja Simko
- nov. 2007
Aux Etats-Unis,
chercheurs et
entrepreneurs
s’intéressent de
plus en plus près à
ce nouvel enjeu
social et
démographique: les
lesbiennes et gays
âgés.
"Avoir du temps à
consacrer à leurs
loisirs et intérêts,
aux voyages ou à la
détente. C’est ce
qu’ont répondu les
baby boomers de la
communauté gay quand
on leur a demandé ce
que signifiait pour
eux la retraite et
le troisième âge*.
Mais pas seulement.
Parce que l’âge
d’or, comme on se
plaît à l’appeler,
n’a pas le même
éclat pour tous. «En
vieillissant, les
LGBT sont confrontés
à toute une série de
problèmes, dont la
majorité ont trait à
une crainte de la
discrimination»,
observe Kimberly
Acquaviva,
professeure
assistante à
l’Université George
Washington. «Et
cette peur, fondée
sur leurs
expériences passées,
fait qu’ils ne vont
souvent pas demander
l’aide dont ils ont
besoin.» (...) Aussi
en vieillissant, ces
retraités, habitués
à une attitude
d’ouverture,
recherchent-ils les
institutions
nécessaires au
maintien de ce mode
de vie. Sans
toujours les
trouver. Et le
manque de structures
adéquates les
renvoie dès lors à
la même peur: celle
de la
discrimination. Un retour au
placard ?
recherche publiée en
2006 par MetLife*,
Plus de de la moitié
des LGBT américains
de la génération des
baby boomers
"craignent d’être
rejetés ou traités
avec moins
d’attention ou de
sympathie s’ils
nomment leur
homosexualité»,
observe Dan Ashbrook,
directeur de
Lavender Seniors of
the East Bay, un
réseau de soutien
pour les LGBT
vieillissants dans
la région de San
Francisco.A tel
point d’ailleurs que
certains même
seraient prêts à
passer sous silence
leur orientation
sexuelle. Ce sont les
lesbiennes qui se
disent les plus
angoissées par une
possible
discrimination à
leur encontre. «Cela
s’explique par la
fait qu’elles font
face à la
ségrégation relative
à leur identité
sexuelle d’une part
et vivent dans une
société qui
marginalise les
femmes d’autre part,
observe Gerard
Koskovich. Elles
cumulent donc les
difficultés. Et, les
différences
salariales étant ce
qu’elles sont, elles
ont à redouter à la
fois une
vulnérabilité accrue
et une précarité
financière.»
L’isolement et la
solitude auxquels
sont confrontés les
LGBT en vieillissant
peuvent aussi
conduire à d’autres
difficultés, d’ordre
pratique notamment.
Ainsi, sans
précautions prises,
personne n’est
habilité à prendre
de responsabilité en
termes de décisions
médicales. «En
l’absence de
personne désignée,
la décision relative
à des soins
intensifs ou
continus revient
alors directement à
la famille
biologique, avec
laquelle les liens
de confiance sont
souvent rompus»,
regrette Kimberly
Acquaviva.
Reste que, pour
parer à ces
difficultés, la
communauté LGBT
américaine
s’organise peu à
peu. Les maisons de
retraite «gay-friendly»
se multiplient et le
pays compte
désormais plusieurs
résidences
spécifiquement
conçues pour les
LGBT. (...)"
APRÈS-LECTURE - MARY
MEIGS
Le texte de Mary
Meigs a paru dans la
revue TRIVlA, No 19,
Printemps 1992, USA.
D'après le livre
LOOK ME IN THE EYE:
OLD WOMEN, AGING AND
AGEISM, de Barbara
Macdonald et Cynthia
Rich.
San Francisco,
Spinsters Book
Company, 1991.
Édition augmentée.
"(...)Barbara
et
Cynthia
refusent
de se
plier
aux
images
de
femmes
âgées
concoctées
par les
autres,
aussi
bienveillantes
soient-elles
: «
Nous
sommes
les
femmes
que nous
ne
voulions
pas voir
», dit
Barbara.
Nous
devons
oser
sortir
encore
une fois
du
placard
en tant
que
vieilles
lesbiennes,
être
visibles
et
parler.
Barbara
veut
parler
de son
expérience
de
vieillir
sans
qu'on se
mette à
croire
qu'elle
se
plaint.
« Je
suis
entrée
dans le
processus
de ma
mort »
dit-elle,
« et
cela
fait
partie
de
l'expérience
de vie
».
Dans
Ageism
and The
Politics
of
Beauty,
Cynthia
nous
montre
comment
l'âgisme
est
inculqué
à chaque
bébé
femelle
dès la
naissance.
Nous
devons
passer
notre
vie,
nous dit
notre
super-ego,
à nous
battre
contre
la
décrépitude
du
vieillissement,
et
l'industrie
de la
beauté
soutiendra
notre
lutte.
Quand
une
jeune
femme se
lamente
à chacun
de ses
anniversaires,
cela
signifie
qu'elle
porte
l'âgisme
comme un
parasite
en elle,
tourné
contre
elle-même,
et qui
domine
la vie
de
nombreuses
femmes.
(...)"
Suite de
l'extrait
:
www.algi.qc.ca/asso/rlq-qln/aut_hommagemeigs.html
AVIS DE RECHERCHE
- Lesbienne + 60 ans
!
L'avis s'adresse aux
LESBIENNES ÂGÉES de
60 ans ou plus
habitant en
Résidence pour
personnes autonomes
ou LesbiennesS
vivant à leur
domicile. Le Réseau
des lesbiennes du
Québec (RLQ) et Line
Chamberland,
professeure associée
à L'Alliance de
recherche IREF/Relais-Femmes
de l'UQÀM effectuent
une recherche sur la
situation des
lesbiennes âgées qui
vivent soit en
résidence privée ou
à leur domicile.
Votre opinion, vos
expériences, votre
vision nous
importent, car le
RLQ a un rôle à
jouer pour
sensibiliser les
différents paliers
gouvernementaux à la
situation des
lesbiennes âgées
vivant en résidence
ou à domicile. (...)
Respect et
confidentialité
assurés!
Suite : www.algi.qc.ca/asso/rlq-qln/ain_avisderech1.html
contacter : Gin
Bergeron, Agente de
liaison au Réseau
des lesbiennes du
Québec,
courriel :
rlq.qln@qc.aira.com
L'ADAPTATION DES
SERVICES LIÉS À
L'HÉBERGEMENT ET/OU
AU MAINTIEN À
DOMICILE AUX BESOINS
ET AUX RÉALITÉS DES
LESBIENNES ÂGÉES -
RAPPORT
PRÉLIMINAIRE
par Line Chamberland
avec la
collaboration de
Louise Brossard et
Diane Heffernan -
Décembre 2001
www.algi.qc.ca/asso/rlq-qln/ain_rechpreli1.html
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retour
Québec :Bientôt des résidences pour personnes âgées Gays Source La Presse, Montréal L'Association gaie Aînés et retraités de la communauté (ARC), de même que le Réseau des lesbiennes élaborent chacun de leur côté des projets de résidences à but non lucratif, afin d'offrir un environnement agréable aux membres âgés de leur communauté aux revenus moyens et faibles, pour qu'ils vieillissent avec dignité. (...)"
Le Réseau des lesbiennes, de son côté, veut réaliser trois projets différents pour améliorer la qualité de vie des lesbiennes âgées.«Il y a beaucoup de discrimination à leur endroit, constate Diane Hefferman, coordonnatrice de l'organisme. Actuellement, elles ne sont pas respectées et ne peuvent pas parler de leur vécu. Beaucoup s'isolent.»
Avec l'aide d'un groupe de ressources techniques, elles créeront une coopérative d'habitation intergénérationnelle. Celle-ci accueillera à la fois des lesbiennes âgées, des lesbiennes handicapées, des familles homoparentales (deux lesbiennes avec enfant) et de jeunes lesbiennes pauvres. - «Nous ne voulons pas créer un ghetto, explique Mme Hefferman, qui a elle-même 64 ans. Grâce à cette diversité, les femmes pourront s'impliquer et s'entraider. Ce sera un milieu de vie intéressant.»
Photo Rhonda and Ann
SITE :
http://www.goldenthreadsptown.org/womenGT06.htm
Le groupe de ressources techniques cherche présentement un terrain. Le Réseau des lesbiennes aimerait voir naître ce projet d'ici deux ans. Parallèlement, l'organisme veut créer une maison communautaire à but non lucratif pour des lesbiennes âgées démunies financièrement qui éprouvent des problèmes de santé. Les deux établissements seraient construits à proximité l'un de l'autre, pour partager certains services et encourager les résidantes à faire des activités ensemble. Les membres du Réseau seraient encouragées à y faire du bénévolat. Une troisième résidence, qui sera locative, sera aussi érigée non loin pour des lesbiennes professionnelles actives de plus de 60 ans. Les femmes intéressées à y emménager ont l'intention de partager certains de leurs services avec leurs consoeurs moins fortunées.
-«Je ne vois plus les lesbiennes de ma génération qui étaient si militantes autrefois, confie Mme Hefferman. Vieillissent-elles bien?
Nous voulons nous en assurer en créant une communauté et un mouvement d'appartenance. En tant qu'ancienne militante, je rêve toujours!» (...)
Suite de cet article :http://www.cyberpresse.ca/article/20060710/CPACTUEL/607080726/1015/CPACTUE
Palm Spring/Californie : Billie Jean King, l'ancienne championne de tennis projette de concevoir un Centre de tennis et de remise en forme pour les retraités LGBT. 365Gay 24/03/06 On s'attend à ce que des plans concernant son projet pour la communauté LGBT soient soumis à la ville en mai, avec une inauguration au début de l'année prochaine.
-"Ce sera un lieu pour se maintenir en forme. Vous ne devez pas être seul quand (vous) vieillissez. Il y a un sens à la sécurité, l'espoir et le choix de vie" a dit Bille JK, en annonçant son plan pour concevoir le King Fitness (...)
Suite en VO :http://www.365gay.com/Newscon06/03/032406king.htm
Billie Jean King
à Winbledon
Billie Jean King a gagné ses titres à Wimbledon (...) un triomphe qui a permis d'apporter une attention aux sports féminins. Elle a fait son "coming out" de lesbienne dans les années 80 (...) Dernière joueuse à réussir l'exploit de gagner les tournois simple, double et double mixte dans la même année a été la Nord-Américaine Billie Jean King, en 1973.
Elle détient le record absolu de trophées dans le tournoi, avec 20 victoires !!!
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retour Seniors homosexuels : discrimination et négligence dans la santé et les services sociaux
Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'Université McGill (Canada) démontre que les seniors homosexuels sont victimes de discrimination de la part des organismes de soins de santé et de services sociaux mandatés pour leur offrir le soutien dont ils ont besoin. Échelonnée sur quatre ans, cette nouvelle étude a démontré que les fournisseurs de soins de santé communautaire entretiennent une attitude discriminatoire à l'égard des gais et lesbiennes du troisième âge, ce qui a des répercussions négatives sur le bien-être de ces derniers.
- « Nous ne pouvons minimiser le fait que les gais et lesbiennes âgés, ayant grandi avant la création de mouvements de libération des homosexuels, doivent affronter de sérieux obstacles lorsqu'ils ont recours aux soins de santé. En outre, les aidants naturels qui les soutiennent, soit leurs conjoints, enfants et amis, sont à leur tour souvent victimes de marginalisation et de discrimination de la part des professionnels de la santé et des autres personnes âgées », a indiqué Shari Brotman, co-auteur et professeur à l'École de service social de l'Université McGill (...)Suite de l'article
:http://www.senioractu.com/Seniors-homosexuels-discrimination-et-negligence-dans-la-sante-et-les-services-sociaux_a5465.html
Le vieux
syndrome
du couple
"Billets d'humeur"
par Séniore - le 18
février 2006-"
Un jour, on se
dit que le quotidien
nous ennuie.
Un jour, un peu plus
tard, on se dit
qu’on va faire des
activités, changer
un peu d’air, voir
d’autres gens.
Un jour, encore un
peu plus tard, on a
envie de faire plus
que de voir des
gens.
Un jour, un tout
petit peu encore un
peu plus tard, on
fout tout en l’air.
Un soir, vous vous allongez
dans votre lit, avec la
femme qui partage votre vie,
et l’oppression vous gagne.
Comme un cancer. Comme si
cette femme, à côté de vous,
n’était plus la même que
celle pour qui vous auriez
décroché la lune, quelques
jours, quelques mois,
quelques années auparavant.
A bien y réfléchir, vous
l’aimez toujours. Et
pourtant, au plus profond de
vous-même, vous savez qu’il
y a un manque. Ce manque,
vous en souffrez par
intermittence. Parfois, il
disparaît et vous la
retrouvez. Parfois, il
revient et elle vous perd,
du moins elle perd une
partie de vous...
Cette partie pouvant parfois
entraîner le reste.
Histoires du quotidien (...)"
Lire la suite
Association LEsBiennées
Nancy :www.association-lesbiennees.org/article.php3?id_article=314
ARC -
Gais retraités, Canada
L'ARC est un groupement de personnes
gaies aînées et/ou retraitées qui
veulent participer à diverses
activités....
www.algi.qc.ca/asso/retraitesgais